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APPORT DE LâIMAGERIE PAR RESONNANCE MAGNETIQUE DANS LE BILAN DâEXTENSION LOCOREGIONALE DU CANCER DE LâENDOMETRE : A PROPOS DE 45 CAS. / IRAQI HOUSSAINI Zaynab
Titre : APPORT DE LâIMAGERIE PAR RESONNANCE MAGNETIQUE DANS LE BILAN DâEXTENSION LOCOREGIONALE DU CANCER DE LâENDOMETRE : A PROPOS DE 45 CAS. Type de document : thĂšse Auteurs : IRAQI HOUSSAINI Zaynab, Auteur AnnĂ©e de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : EndomĂštre Cancer IRM Bilan dâextension RĂ©sumĂ© : Objectifs :
Préciser la place et l’apport de l’IRM dans le bilan d’extension locorégionale du cancer de l’endomètre.
Évaluer la fiabilité de l'IRM pour la détection de l'invasion du myomètre, de l'invasion du col utérin et des métastases ganglionnaires dans le cancer de l'endomètre en établissant une corrélation radio-chirurgicale et histologique.
Matériel et méthodes :
Notre travail repose sur une étude rétrospective de 45 cas de cancer de l’endomètre, colligés entre 2016 à 2018 au Service de Radiologie de l’Institut National d’Oncologie de Rabat.
Résultats :
La médiane d’âge est de 57 ans. Les métrorragies postménopausiques représentent le maître symptôme retrouvés chez toutes les patientes. L’adénocarcinome endométrioide est le type histologique le plus fréquent. L’IRM pelvienne a été réalisée chez toutes nos patientes.
Le stade FIGO IRM le plus représenté dans notre série est le stade IA (36%), suivi du stade IB (25%),stade IIIC1(15%) ,stade IIIC2 et IVB (9%),stade IIIB (4%), et le stade IVB (2%).
Le traitement a essentiellement reposé sur une hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale (66%)..
Conclusion :
l’IRM est devenue la technique d’imagerie de choix dans le bilan d’extension du cancer de l’endomètre. Les séquences injectée et de diffusion aident à améliorer la sensibilité et la spécificité pour détecter une invasion du myomètre. L'IRM montre une grande spécificité pour la détection de l'invasion cervicale et des métastases ganglionnaires dans le cancer de l'endomètre.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4682019 Président : CHAT.L Directeur : LATIB.R Juge : HACHI.H Juge : ELKACEMI.H Juge : EL KHANNOUSSI.B APPORT DE LâIMAGERIE PAR RESONNANCE MAGNETIQUE DANS LE BILAN DâEXTENSION LOCOREGIONALE DU CANCER DE LâENDOMETRE : A PROPOS DE 45 CAS. [thĂšse] / IRAQI HOUSSAINI Zaynab, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : EndomĂštre Cancer IRM Bilan dâextension RĂ©sumĂ© : Objectifs :
Préciser la place et l’apport de l’IRM dans le bilan d’extension locorégionale du cancer de l’endomètre.
Évaluer la fiabilité de l'IRM pour la détection de l'invasion du myomètre, de l'invasion du col utérin et des métastases ganglionnaires dans le cancer de l'endomètre en établissant une corrélation radio-chirurgicale et histologique.
Matériel et méthodes :
Notre travail repose sur une étude rétrospective de 45 cas de cancer de l’endomètre, colligés entre 2016 à 2018 au Service de Radiologie de l’Institut National d’Oncologie de Rabat.
Résultats :
La médiane d’âge est de 57 ans. Les métrorragies postménopausiques représentent le maître symptôme retrouvés chez toutes les patientes. L’adénocarcinome endométrioide est le type histologique le plus fréquent. L’IRM pelvienne a été réalisée chez toutes nos patientes.
Le stade FIGO IRM le plus représenté dans notre série est le stade IA (36%), suivi du stade IB (25%),stade IIIC1(15%) ,stade IIIC2 et IVB (9%),stade IIIB (4%), et le stade IVB (2%).
Le traitement a essentiellement reposé sur une hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale (66%)..
Conclusion :
l’IRM est devenue la technique d’imagerie de choix dans le bilan d’extension du cancer de l’endomètre. Les séquences injectée et de diffusion aident à améliorer la sensibilité et la spécificité pour détecter une invasion du myomètre. L'IRM montre une grande spécificité pour la détection de l'invasion cervicale et des métastases ganglionnaires dans le cancer de l'endomètre.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4682019 Président : CHAT.L Directeur : LATIB.R Juge : HACHI.H Juge : ELKACEMI.H Juge : EL KHANNOUSSI.B RĂ©servation
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M4682019URL APPORT DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION DU CANCER DU CAVUM / BOUJIDA Ismail
Titre : APPORT DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION DU CANCER DU CAVUM Type de document : thĂšse Auteurs : BOUJIDA Ismail, Auteur AnnĂ©e de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : IRM cancer du cavum bilan dâextension RĂ©sumĂ© : Le cavum constitue l’étage supérieur du nasopharynx. Cette localisation profonde asymptomatique et difficile à examiner fait retarder souvent le diagnostic.
La symptomatologie clinique est trompeuse puisqu’elle entraine des signes d’emprunts des différentes régions avoisinantes (otologique, rhinologique voir même neurologique).
Survient chez l’adulte jeune (2 pics : 10-20 et 50 ans), prédominance masculine.
La pathologie du cavum est dominée par les tumeurs malignes essentiellement UCNT.
Ils ont une incidence variable, intermédiaire pour le Maghreb très élevée pour l'Asie du sud-est et faible dans les pays occidentaux. Ils ont une relation évidente avec le virus Epstein Barr (EBV).
Le diagnostic positif est endoscopique, l’imagerie a pour but de faire le diagnostic topographique et le bilan d’extension tumorale et générale (classification TNM) permettant une orientation thérapeutique adéquate, ainsi que la surveillance post thérapeutique.
L’IRM par sa grande résolution en contraste est l’examen de choix pour l’analyse des parties molles et l’extension endocrânienne, alors que la TDM garde tout son rôle pour l’étude de l’extension osseuse.
L’IRM permet d’obtenir une meilleure définition des volumes cibles, avec l’avènement de la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité.
Le traitement repose sur la radiothérapie essentiellement, associée à une chimiothérapie première ou concomitante.
L’UCNT est le cancer le plus fréquent du nasopharynx. Le diagnostic positif repose essentiellement sur la rhinoscopie associée à une biopsie. L’imagerie et essentiellement l’IRM constitue l’examen de choix dans le bilan pré thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3352019 Président : ERRIHANI.H Directeur : LATIB.R Juge : FIKRI.M Juge : EL KACEMI.H Juge : NITASSI.S APPORT DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION DU CANCER DU CAVUM [thĂšse] / BOUJIDA Ismail, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : IRM cancer du cavum bilan dâextension RĂ©sumĂ© : Le cavum constitue l’étage supérieur du nasopharynx. Cette localisation profonde asymptomatique et difficile à examiner fait retarder souvent le diagnostic.
La symptomatologie clinique est trompeuse puisqu’elle entraine des signes d’emprunts des différentes régions avoisinantes (otologique, rhinologique voir même neurologique).
Survient chez l’adulte jeune (2 pics : 10-20 et 50 ans), prédominance masculine.
La pathologie du cavum est dominée par les tumeurs malignes essentiellement UCNT.
Ils ont une incidence variable, intermédiaire pour le Maghreb très élevée pour l'Asie du sud-est et faible dans les pays occidentaux. Ils ont une relation évidente avec le virus Epstein Barr (EBV).
Le diagnostic positif est endoscopique, l’imagerie a pour but de faire le diagnostic topographique et le bilan d’extension tumorale et générale (classification TNM) permettant une orientation thérapeutique adéquate, ainsi que la surveillance post thérapeutique.
L’IRM par sa grande résolution en contraste est l’examen de choix pour l’analyse des parties molles et l’extension endocrânienne, alors que la TDM garde tout son rôle pour l’étude de l’extension osseuse.
L’IRM permet d’obtenir une meilleure définition des volumes cibles, avec l’avènement de la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité.
Le traitement repose sur la radiothérapie essentiellement, associée à une chimiothérapie première ou concomitante.
L’UCNT est le cancer le plus fréquent du nasopharynx. Le diagnostic positif repose essentiellement sur la rhinoscopie associée à une biopsie. L’imagerie et essentiellement l’IRM constitue l’examen de choix dans le bilan pré thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3352019 Président : ERRIHANI.H Directeur : LATIB.R Juge : FIKRI.M Juge : EL KACEMI.H Juge : NITASSI.S RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M3352019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M3352019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible APPORT DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION DU CANCER DU CAVUM A PROPOS DE 36 CAS. / BOUJIDA, Ismail
Titre : APPORT DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION DU CANCER DU CAVUM A PROPOS DE 36 CAS. Type de document : thĂšse Auteurs : BOUJIDA, Ismail, Auteur AnnĂ©e de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : IRM cancer du cavum bilan dâextension RĂ©sumĂ© : Le cavum constitue l’étage supérieur du nasopharynx. Cette localisation profonde asymptomatique et difficile à examiner fait retarder souvent le diagnostic. La symptomatologie clinique est trompeuse puisqu’elle entraine des signes d’emprunts des différentes régions avoisinantes (otologique, rhinologique voir même neurologique). Survient chez l’adulte jeune (2 pics : 10-20 et 50 ans), prédominance masculine. La pathologie du cavum est dominée par les tumeurs malignes essentiellement UCNT. Ils ont une incidence variable, intermédiaire pour le Maghreb très élevée pour l'Asie du sud-est et faible dans les pays occidentaux. Ils ont une relation évidente avec le virus Epstein Barr (EBV). Le diagnostic positif est endoscopique, l’imagerie a pour but de faire le diagnostic topographique et le bilan d’extension tumorale et générale (classification TNM) permettant une orientation thérapeutique adéquate, ainsi que la surveillance post thérapeutique. L’IRM par sa grande résolution en contraste est l’examen de choix pour l’analyse des parties molles et l’extension endocrânienne, alors que la TDM garde tout son rôle pour l’étude de l’extension osseuse. L’IRM permet d’obtenir une meilleure définition des volumes cibles, avec l’avènement de la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité. Le traitement repose sur la radiothérapie essentiellement, associée à une chimiothérapie première ou concomitante. L’UCNT est le cancer le plus fréquent du nasopharynx. Le diagnostic positif repose essentiellement sur la rhinoscopie associée à une biopsie. L’imagerie et essentiellement l’IRM constitue l’examen de choix dans le bilan pré thérapeutique. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3352019 Président : ERRIHANI.H Directeur : LATIB.R Juge : EL KACEMI.H Juge : FIKRI.M Juge : NITASSI.S APPORT DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION DU CANCER DU CAVUM A PROPOS DE 36 CAS. [thĂšse] / BOUJIDA, Ismail, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : IRM cancer du cavum bilan dâextension RĂ©sumĂ© : Le cavum constitue l’étage supérieur du nasopharynx. Cette localisation profonde asymptomatique et difficile à examiner fait retarder souvent le diagnostic. La symptomatologie clinique est trompeuse puisqu’elle entraine des signes d’emprunts des différentes régions avoisinantes (otologique, rhinologique voir même neurologique). Survient chez l’adulte jeune (2 pics : 10-20 et 50 ans), prédominance masculine. La pathologie du cavum est dominée par les tumeurs malignes essentiellement UCNT. Ils ont une incidence variable, intermédiaire pour le Maghreb très élevée pour l'Asie du sud-est et faible dans les pays occidentaux. Ils ont une relation évidente avec le virus Epstein Barr (EBV). Le diagnostic positif est endoscopique, l’imagerie a pour but de faire le diagnostic topographique et le bilan d’extension tumorale et générale (classification TNM) permettant une orientation thérapeutique adéquate, ainsi que la surveillance post thérapeutique. L’IRM par sa grande résolution en contraste est l’examen de choix pour l’analyse des parties molles et l’extension endocrânienne, alors que la TDM garde tout son rôle pour l’étude de l’extension osseuse. L’IRM permet d’obtenir une meilleure définition des volumes cibles, avec l’avènement de la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité. Le traitement repose sur la radiothérapie essentiellement, associée à une chimiothérapie première ou concomitante. L’UCNT est le cancer le plus fréquent du nasopharynx. Le diagnostic positif repose essentiellement sur la rhinoscopie associée à une biopsie. L’imagerie et essentiellement l’IRM constitue l’examen de choix dans le bilan pré thérapeutique. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3352019 Président : ERRIHANI.H Directeur : LATIB.R Juge : EL KACEMI.H Juge : FIKRI.M Juge : NITASSI.S RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M3352019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M3352019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numĂ©riques
M3352019URL
Titre : APPORT DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION LOCORĂGIONAL DU CANCER DU RECTUM Type de document : thĂšse Auteurs : AĂŻda SAOUD, Auteur AnnĂ©e de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : cancer du rectum IRM bilan dâextension RĂ©sumĂ© : Introduction:
Le cancer du rectum représente le 2ème cancer digestif au Maroc. Son
pronostic est directement lié à l’infiltration du mésorectum et la capacité d’avoir
des marges de résection chirurgicale négatives. Pour cela, une stadification précise
est nécessaire avant toute prise en charge. Le but de notre travail est de préciser
l’apport de l’IRM dans la prise en charge initiale du cancer du rectum.
Matériel et méthodes:
Étude rétrospective portant sur une série de 68 patients atteints de cancer
rectal, bénéficiant d’une IRM pelvienne dans le cadre du bilan d’extension initial,
colligés au service de radiologie de l’Institut National d’Oncologie de Rabat sur
une période de 3 ans, avec revue de littérature.
Résultats:
L’âge moyen de nos patients étais de 57,8 ans, avec une prédominance
masculine (55,9%). Quatre cas de cancer colorectal familial ont été rapportés. La
manifestation clinique prédominante est la rectorragie. Tous nos patients ont eu une
exploration endoscopique préalable avec biopsie, revenant en faveur d’un
adénocarcinome lieberkunien dans 89% des cas.
Tous nos patients ont bénéficié d’une IRM rectale pour staging initial avec les
résultats suivants :
Apport de l’IRM dans le bilan d’extension locorégional du cancer du rectum
79
Prédominance de l’atteinte du bas rectum (44 cas) avec fréquence de l’atteinte
sphinctérienne retrouvée chez 37 patients.
La majorité des patients ont des tumeurs localement avancées (67% T3c ou
plus). Le stade le plus fréquent est le stade T3c (14 cas). La moyenne des EEM est
de 6,6 mm.
L’envahissement vasculaire extramural est retrouvé chez 2 patients.
Pour les tumeurs du moyen rectum, la moyenne des CRM est de 3,3 mm.
Seul 12 de nos patients n’ont aucune atteinte ganglionnaire.
Conclusion:
Le bilan d’extension local de la tumeur rectale comprend l’évaluation du
degré d’envahissement pariétal, la mesure de l’extension extra-murale et de la
marge de résection circonférentielle, l’envahissement des sphincters, l’extension
aux organes de voisinage et enfin la recherche de métastases ganglionnaires.
L’IRM pelvienne haute résolution est actuellement la technique la plus fiable pour
la stadification locorégionale initiale, permettant de sélectionner les patients avec
atteinte localement avancée candidats à un traitement néo-adjuvant, de guider la
planification du geste chirurgical, et d’identifier les facteurs de risque de récidive
locale et à distance.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2142020 Directeur : Rachida LATIB APPORT DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION LOCORĂGIONAL DU CANCER DU RECTUM [thĂšse] / AĂŻda SAOUD, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : cancer du rectum IRM bilan dâextension RĂ©sumĂ© : Introduction:
Le cancer du rectum représente le 2ème cancer digestif au Maroc. Son
pronostic est directement lié à l’infiltration du mésorectum et la capacité d’avoir
des marges de résection chirurgicale négatives. Pour cela, une stadification précise
est nécessaire avant toute prise en charge. Le but de notre travail est de préciser
l’apport de l’IRM dans la prise en charge initiale du cancer du rectum.
Matériel et méthodes:
Étude rétrospective portant sur une série de 68 patients atteints de cancer
rectal, bénéficiant d’une IRM pelvienne dans le cadre du bilan d’extension initial,
colligés au service de radiologie de l’Institut National d’Oncologie de Rabat sur
une période de 3 ans, avec revue de littérature.
Résultats:
L’âge moyen de nos patients étais de 57,8 ans, avec une prédominance
masculine (55,9%). Quatre cas de cancer colorectal familial ont été rapportés. La
manifestation clinique prédominante est la rectorragie. Tous nos patients ont eu une
exploration endoscopique préalable avec biopsie, revenant en faveur d’un
adénocarcinome lieberkunien dans 89% des cas.
Tous nos patients ont bénéficié d’une IRM rectale pour staging initial avec les
résultats suivants :
Apport de l’IRM dans le bilan d’extension locorégional du cancer du rectum
79
Prédominance de l’atteinte du bas rectum (44 cas) avec fréquence de l’atteinte
sphinctérienne retrouvée chez 37 patients.
La majorité des patients ont des tumeurs localement avancées (67% T3c ou
plus). Le stade le plus fréquent est le stade T3c (14 cas). La moyenne des EEM est
de 6,6 mm.
L’envahissement vasculaire extramural est retrouvé chez 2 patients.
Pour les tumeurs du moyen rectum, la moyenne des CRM est de 3,3 mm.
Seul 12 de nos patients n’ont aucune atteinte ganglionnaire.
Conclusion:
Le bilan d’extension local de la tumeur rectale comprend l’évaluation du
degré d’envahissement pariétal, la mesure de l’extension extra-murale et de la
marge de résection circonférentielle, l’envahissement des sphincters, l’extension
aux organes de voisinage et enfin la recherche de métastases ganglionnaires.
L’IRM pelvienne haute résolution est actuellement la technique la plus fiable pour
la stadification locorégionale initiale, permettant de sélectionner les patients avec
atteinte localement avancée candidats à un traitement néo-adjuvant, de guider la
planification du geste chirurgical, et d’identifier les facteurs de risque de récidive
locale et à distance.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2142020 Directeur : Rachida LATIB Exemplaires
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MS2142020URL LYMPHOMES MALINS NON HODGKINIENS EXTRA GANGLIONNAIRES DE LA SPHERE ORL / BAKR REGRAGUI
Titre : LYMPHOMES MALINS NON HODGKINIENS EXTRA GANGLIONNAIRES DE LA SPHERE ORL Type de document : thĂšse Auteurs : BAKR REGRAGUI, Auteur AnnĂ©e de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : LMNH EXTRA GANGLIONNAIRES HISTOLOGIE IMMUNOHISTOCHIMIE BILAN DâEXTENSION RITUXIMAB Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Dans la région tête et cou, 23%-30% des lymphomes ont une présentation extraganglionnaire. L’atteinte concerne dans plus de la moitié des cas l’anneau de Waldeyer mais la maladie peut également intéresser les cavités nasosinusiennes, les glandes salivaires, la cavité buccale, la mandibule, le Larynx ou encore la thyroïde.
Dans notre étude, nous rapportons 78 cas de LMNH extraganglionnaire de la sphère ORL. L’âge moyen était de 51 ans, le sex ratio de 1H/2F. Le site d’atteinte était dans 53% des cas l’anneau de Waldeyer.
Les circonstances du diagnostic et l’imagerie ne sont guère spécifiques. Seule la biopsie tumorale permet de poser le diagnostique. L’analyse histologique couplé dans la majorité des cas à l’IHC a permis de porter le diagnostic.
Histologiquement c’est le LDGB qui est le plus fréquent représentant plus de la moitié des cas répertoriés dans notre étude. Les autres types histologiques retrouvés sont les lymphomes indolents, les lymphomes de Burkitt, les plasmocytomes extra-médullaires et des lymphomes de phénotype T dont le lymphome NK/T de type sino nasal.
Le bilan d’extension de la maladie et l’évaluation des facteurs pronostiques représentent une étape fondamentale de la prise en charge, indispensable à la décision thérapeutique.
Les traitements ont considérablement évolué au cours des 10 dernières années grâce aux avancées dans le domaine de la chimiothérapie et de la radiothérapie, mais également grâce à l’introduction de thérapeutiques ciblées comme les anticorps monoclonaux.
Le protocole thérapeutique le plus souvent mis en place dans notre étude était le CHOP associé à la Radiothérapie. Nous déplorons dans notre série un manque de suivi à long terme des malades.
Les résultats thérapeutiques à long terme laissent envisager de véritables guérisons dans certaines entités anatomopathologiques, alors que d’autres sous-types de lymphomes restent des maladies soit incurables soit fatales
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0322011 Président : MOHAMMED KZADRI Directeur : LAILA ESSAKALLI HOSSYNI Juge : MOHAMMED ADNAOUI Juge : MALAK BOULAADAS LYMPHOMES MALINS NON HODGKINIENS EXTRA GANGLIONNAIRES DE LA SPHERE ORL [thĂšse] / BAKR REGRAGUI, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : LMNH EXTRA GANGLIONNAIRES HISTOLOGIE IMMUNOHISTOCHIMIE BILAN DâEXTENSION RITUXIMAB Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Dans la région tête et cou, 23%-30% des lymphomes ont une présentation extraganglionnaire. L’atteinte concerne dans plus de la moitié des cas l’anneau de Waldeyer mais la maladie peut également intéresser les cavités nasosinusiennes, les glandes salivaires, la cavité buccale, la mandibule, le Larynx ou encore la thyroïde.
Dans notre étude, nous rapportons 78 cas de LMNH extraganglionnaire de la sphère ORL. L’âge moyen était de 51 ans, le sex ratio de 1H/2F. Le site d’atteinte était dans 53% des cas l’anneau de Waldeyer.
Les circonstances du diagnostic et l’imagerie ne sont guère spécifiques. Seule la biopsie tumorale permet de poser le diagnostique. L’analyse histologique couplé dans la majorité des cas à l’IHC a permis de porter le diagnostic.
Histologiquement c’est le LDGB qui est le plus fréquent représentant plus de la moitié des cas répertoriés dans notre étude. Les autres types histologiques retrouvés sont les lymphomes indolents, les lymphomes de Burkitt, les plasmocytomes extra-médullaires et des lymphomes de phénotype T dont le lymphome NK/T de type sino nasal.
Le bilan d’extension de la maladie et l’évaluation des facteurs pronostiques représentent une étape fondamentale de la prise en charge, indispensable à la décision thérapeutique.
Les traitements ont considérablement évolué au cours des 10 dernières années grâce aux avancées dans le domaine de la chimiothérapie et de la radiothérapie, mais également grâce à l’introduction de thérapeutiques ciblées comme les anticorps monoclonaux.
Le protocole thérapeutique le plus souvent mis en place dans notre étude était le CHOP associé à la Radiothérapie. Nous déplorons dans notre série un manque de suivi à long terme des malades.
Les résultats thérapeutiques à long terme laissent envisager de véritables guérisons dans certaines entités anatomopathologiques, alors que d’autres sous-types de lymphomes restent des maladies soit incurables soit fatales
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0322011 Président : MOHAMMED KZADRI Directeur : LAILA ESSAKALLI HOSSYNI Juge : MOHAMMED ADNAOUI Juge : MALAK BOULAADAS RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0322011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible PLACE DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION DU CANCER DU BAS RECTUM / El Houss Salma
Titre : PLACE DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION DU CANCER DU BAS RECTUM Type de document : thĂšse Auteurs : El Houss Salma, Auteur AnnĂ©e de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Bas rectum AdĂ©nocarcinome Bilan dâextension IRM pelvienne Bilan de rĂ©Ă©valuation Chirurgie Radio-chimiothĂ©rapie RĂ©sumĂ© : Le cancer du bas rectum est un cancer digestif fréquemment diagnostiqué chez les
femmes. Le type histologique le plus courant est l'adénocarcinome. Le diagnostic du
cancer rectal est suspecté en présence de signes cliniques spécifiques tels que les
rectorragies, et confirmé par une rectoscopie avec biopsie. L'IRM permet d'évaluer
l'étendue locorégionale de la tumeur, bien que sa précision puisse diminuer après le
traitement, notamment pour la stadification T, la MRC et la stadification N.
Toutefois, elle reste fiable pour l'évaluation qualitative. La radio-chimiothérapie
préopératoire a démontré son efficacité pour réduire les récidives locales et faciliter
la résection de tumeurs initialement non résécables. Dans les cas du cancer
métastatique, la chimiothérapie systémique est souvent privilégiée.
Notre travail met en évidence les particularités épidémiologiques, cliniques et
thérapeutiques de cette localisation du cancer du rectum. L’intérêt de l'IRM dans le
bilan pré-thérapeutique du cancer du bas rectum ainsi que dans l'évaluation posttraitement néoadjuvant, souligne le rôle crucial de l'IRM dans la planification de la
prise en charge thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0382024 Directeur : OMOR Youssef PLACE DE LâIRM DANS LE BILAN DâEXTENSION DU CANCER DU BAS RECTUM [thĂšse] / El Houss Salma, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Bas rectum AdĂ©nocarcinome Bilan dâextension IRM pelvienne Bilan de rĂ©Ă©valuation Chirurgie Radio-chimiothĂ©rapie RĂ©sumĂ© : Le cancer du bas rectum est un cancer digestif fréquemment diagnostiqué chez les
femmes. Le type histologique le plus courant est l'adénocarcinome. Le diagnostic du
cancer rectal est suspecté en présence de signes cliniques spécifiques tels que les
rectorragies, et confirmé par une rectoscopie avec biopsie. L'IRM permet d'évaluer
l'étendue locorégionale de la tumeur, bien que sa précision puisse diminuer après le
traitement, notamment pour la stadification T, la MRC et la stadification N.
Toutefois, elle reste fiable pour l'évaluation qualitative. La radio-chimiothérapie
préopératoire a démontré son efficacité pour réduire les récidives locales et faciliter
la résection de tumeurs initialement non résécables. Dans les cas du cancer
métastatique, la chimiothérapie systémique est souvent privilégiée.
Notre travail met en évidence les particularités épidémiologiques, cliniques et
thérapeutiques de cette localisation du cancer du rectum. L’intérêt de l'IRM dans le
bilan pré-thérapeutique du cancer du bas rectum ainsi que dans l'évaluation posttraitement néoadjuvant, souligne le rôle crucial de l'IRM dans la planification de la
prise en charge thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0382024 Directeur : OMOR Youssef RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© MS0382024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Prise en charge des cancers bronchiques primitifs : expĂ©rience du service de pneumologie Ă lâHMIMV de Rabat / OUARDI Karima
Titre : Prise en charge des cancers bronchiques primitifs : expĂ©rience du service de pneumologie Ă lâHMIMV de Rabat Type de document : thĂšse Auteurs : OUARDI Karima, Auteur AnnĂ©e de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Cancer bronchique diagnostic bilan dâextension traitement Ă©valuation de la prise en charge. RĂ©sumĂ© : Le cancer bronchique représente la première cause de mortalité par cancer chez l’homme malgré les avancées thérapeutiques dans le domaine d’oncologie thoracique.
C’est une étude descriptive de la prise en charge (PEC) des cancers bronchique primitifs (CBP) intéressant l’expérience du service de pneumologie à l’HMIMV de Rabat durant l’année2015.
Résultats:70 patients sont colligés durant cette période, avec une prédominance masculine. L’âge moyen est de 58,21 ans. Le tabagisme actif est retrouvé chez 72,9% des cas. La biopsie scannoguidée a permet de poser le diagnostic dans 40% des cas, la biopsie bronchique dans 32,9 % des cas et par La biopsie pulmonaire transpariètale dans 8,6% des cas.
Le CBNPC est retrouvé chez 88,57%de cas et le CPC est retrouvé chez 11,4% des cas.
Le bilan d’extension des stades localisés potentiellement accessible à un traitement locorégionale comprenant un TEP-TDM et une imagerie cérébrale, alors que les stades métastatiques d’emblée ou patients dont l’état général était altérés, le bilan comprenait un TDM thoracique avec une scintigraphie osseuse.
Dix patients ont pu être opéré, dont 7 ont reçu une chimiothérapie associée, et un patient à bénéficier d’une radiothérapie pulmonaire après la chirurgie. 20% de nos patients ont reçu un traitement associant une radiothérapie et une chimiothérapie, alors que 46% des cas n’ont reçu qu’une chimiothérapie exclusive. Un traitement symptomatique de confort était prescrit chez 7,14% des cas.
Il ressort de cette étude que la PEC des CBP dans notre structure respecte globalement les recommandations.
Toutefois, des insuffisances sont observées aux plans diagnostique, thérapeutique, psychosocial et organisationnel, méritant des efforts en plus pour y remédier.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2642016 Président : BOURKADI.J.E Directeur : ABID.A Juge : ABDERRAHMANI RHORFI.I Juge : OUKABLI.M Juge : HERRAK.L Prise en charge des cancers bronchiques primitifs : expĂ©rience du service de pneumologie Ă lâHMIMV de Rabat [thĂšse] / OUARDI Karima, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Cancer bronchique diagnostic bilan dâextension traitement Ă©valuation de la prise en charge. RĂ©sumĂ© : Le cancer bronchique représente la première cause de mortalité par cancer chez l’homme malgré les avancées thérapeutiques dans le domaine d’oncologie thoracique.
C’est une étude descriptive de la prise en charge (PEC) des cancers bronchique primitifs (CBP) intéressant l’expérience du service de pneumologie à l’HMIMV de Rabat durant l’année2015.
Résultats:70 patients sont colligés durant cette période, avec une prédominance masculine. L’âge moyen est de 58,21 ans. Le tabagisme actif est retrouvé chez 72,9% des cas. La biopsie scannoguidée a permet de poser le diagnostic dans 40% des cas, la biopsie bronchique dans 32,9 % des cas et par La biopsie pulmonaire transpariètale dans 8,6% des cas.
Le CBNPC est retrouvé chez 88,57%de cas et le CPC est retrouvé chez 11,4% des cas.
Le bilan d’extension des stades localisés potentiellement accessible à un traitement locorégionale comprenant un TEP-TDM et une imagerie cérébrale, alors que les stades métastatiques d’emblée ou patients dont l’état général était altérés, le bilan comprenait un TDM thoracique avec une scintigraphie osseuse.
Dix patients ont pu être opéré, dont 7 ont reçu une chimiothérapie associée, et un patient à bénéficier d’une radiothérapie pulmonaire après la chirurgie. 20% de nos patients ont reçu un traitement associant une radiothérapie et une chimiothérapie, alors que 46% des cas n’ont reçu qu’une chimiothérapie exclusive. Un traitement symptomatique de confort était prescrit chez 7,14% des cas.
Il ressort de cette étude que la PEC des CBP dans notre structure respecte globalement les recommandations.
Toutefois, des insuffisances sont observées aux plans diagnostique, thérapeutique, psychosocial et organisationnel, méritant des efforts en plus pour y remédier.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2642016 Président : BOURKADI.J.E Directeur : ABID.A Juge : ABDERRAHMANI RHORFI.I Juge : OUKABLI.M Juge : HERRAK.L RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M2642016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M2642016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible