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4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'CARCINOME A CELLULES RENALES'
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Titre : CARCINOME A CELLULES RENALES ET BIOLOGIE MOLECULAIRE : UPDATE Type de document : thèse Auteurs : YOUSSEF MAHDI, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : CARCINOME A CELLULES RENALES VOIES DE SIGNALISATION FACTEURS PRONOSTIQUES ET PREDICTIFS THERAPIES CIBLEES Résumé : Le cancer du rein est le troisième cancer le plus fréquent de l’appareil urogénital. Il est lié à plusieurs facteurs de risque: génétiques, insuffisance rénale chronique, transplantation rénale....etc
Le carcinome à cellules rénale (CCR) représente 80 à 85 % du cancer du rein, représenté surtout par le carcinome à cellules claires du rein (CCCR), le carcinome papillaire et le carcinome chromophobe.
Plusieurs voies de signalisation sont impliquées dans la carcinogénèse. On distingue surtout la voie Von Hippel-Lindau- facteur induit par l’hypoxie- facteur de croissance de l’endothélium vasculaire, la voie phosphatidyl inositol kinase (PI3K)/ptotéine kinase 1 (AKt)/cible de la rapamycine chez les mammifères et la voie du facteur de croissance épidermique et des kinases des protéines mitogènes activatrices (MAPKinases) dans le CCCR, l'activation de MET des voies des MAPKinases et PI3K /AKt et les mutations du gène Fumarate Hydratase pour le carcinome papillaire.
La distinction des sous-types du CCR est d'une importance clinique capitale puisqu'ils ont des prises en charge et des pronostics différents. Une classification moléculaire précise utilisant la signature microARN a vu le jour.
Une large variété de marqueurs pronostiques et prédictifs thérapeutiques est décrite, portant sur les différentes molécules des voies de signalisation. Les résultats sont contradictoires, ne permettant pas d'adopter des recommandations cliniques. Ceci est dû à des obstacles méthodologiques, biologiques et histopathologiques, dominés par l'hétérogénéité histologique et génétique.
La chimiothérapie n’a pas d’efficacité, et l’immunothérapie n’entraîne de réponse objective que dans moins de 15 % des cas. La mise en évidence des anomalies moléculaires a donné naissance aux thérapies ciblées anti-angiogéniques, ce qui a révolutionné la prise en charge du cancer du rein métastatique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1842012 Président : ABBAR.M Directeur : ALBOUZIDI.A Juge : EL KHATTABI.A CARCINOME A CELLULES RENALES ET BIOLOGIE MOLECULAIRE : UPDATE [thèse] / YOUSSEF MAHDI, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CARCINOME A CELLULES RENALES VOIES DE SIGNALISATION FACTEURS PRONOSTIQUES ET PREDICTIFS THERAPIES CIBLEES Résumé : Le cancer du rein est le troisième cancer le plus fréquent de l’appareil urogénital. Il est lié à plusieurs facteurs de risque: génétiques, insuffisance rénale chronique, transplantation rénale....etc
Le carcinome à cellules rénale (CCR) représente 80 à 85 % du cancer du rein, représenté surtout par le carcinome à cellules claires du rein (CCCR), le carcinome papillaire et le carcinome chromophobe.
Plusieurs voies de signalisation sont impliquées dans la carcinogénèse. On distingue surtout la voie Von Hippel-Lindau- facteur induit par l’hypoxie- facteur de croissance de l’endothélium vasculaire, la voie phosphatidyl inositol kinase (PI3K)/ptotéine kinase 1 (AKt)/cible de la rapamycine chez les mammifères et la voie du facteur de croissance épidermique et des kinases des protéines mitogènes activatrices (MAPKinases) dans le CCCR, l'activation de MET des voies des MAPKinases et PI3K /AKt et les mutations du gène Fumarate Hydratase pour le carcinome papillaire.
La distinction des sous-types du CCR est d'une importance clinique capitale puisqu'ils ont des prises en charge et des pronostics différents. Une classification moléculaire précise utilisant la signature microARN a vu le jour.
Une large variété de marqueurs pronostiques et prédictifs thérapeutiques est décrite, portant sur les différentes molécules des voies de signalisation. Les résultats sont contradictoires, ne permettant pas d'adopter des recommandations cliniques. Ceci est dû à des obstacles méthodologiques, biologiques et histopathologiques, dominés par l'hétérogénéité histologique et génétique.
La chimiothérapie n’a pas d’efficacité, et l’immunothérapie n’entraîne de réponse objective que dans moins de 15 % des cas. La mise en évidence des anomalies moléculaires a donné naissance aux thérapies ciblées anti-angiogéniques, ce qui a révolutionné la prise en charge du cancer du rein métastatique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1842012 Président : ABBAR.M Directeur : ALBOUZIDI.A Juge : EL KHATTABI.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1842012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible Documents numériques
M1842012URL CARCINOME À CELLULES RÉNALES CHEZ L'ENFANT À PROPOS D'UN CAS / JAMIL YASMINE
Titre : CARCINOME À CELLULES RÉNALES CHEZ L'ENFANT À PROPOS D'UN CAS Type de document : thèse Auteurs : JAMIL YASMINE, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Carcinome à cellules rénales Enfant Diagnostic Traitement Néphrectomie partielle Suivi Renal Cell Carcinoma Child Diagnosis Treatment partial nephrectomy Follow-Up سرطان الخلايا الكلوية استئصال جزئي للكلية متابعة Résumé : Le carcinome à cellules rénales est une tumeur peu courante durant l’enfance. Un seul cas a été
diagnostiqué à l’hôpital d’enfants de Rabat au service de chirurgie C.
Il s’agit d’une patiente âgée de 13 ans, diagnostiquée à l’occasion d’une auto- palpation d’une
masse abdominale, dont l’examen physique a révélé une masse du flanc droit, indolore, peu
mobile, en contact avec la région lombaire.
Le diagnostic positif a été posé par des examens radiologiques (échographie, tomodensitométrie
abdominale et IRM abdominale).
Le diagnostic de certitude est apporté par une étude anatomopathologique d’une biopsie rénale.
Sur le plan thérapeutique, la patiente a bénéficié d’une néphrectomie partielle.
L’évolution était favorable en post opératoire.
Un suivi a été proposé comprenant une radiographie standard tous les 3 mois pour révéler les
éventuelles métastases pulmonaires et une échographie rénale tous les deux mois.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3332024 Président : Mohamed El Amine BOUHAFS Directeur : Mohamed RAMI Juge : Leila Hessissen Juge : Siham El Haddad Juge : Fejjal Nawfal CARCINOME À CELLULES RÉNALES CHEZ L'ENFANT À PROPOS D'UN CAS [thèse] / JAMIL YASMINE, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Carcinome à cellules rénales Enfant Diagnostic Traitement Néphrectomie partielle Suivi Renal Cell Carcinoma Child Diagnosis Treatment partial nephrectomy Follow-Up سرطان الخلايا الكلوية استئصال جزئي للكلية متابعة Résumé : Le carcinome à cellules rénales est une tumeur peu courante durant l’enfance. Un seul cas a été
diagnostiqué à l’hôpital d’enfants de Rabat au service de chirurgie C.
Il s’agit d’une patiente âgée de 13 ans, diagnostiquée à l’occasion d’une auto- palpation d’une
masse abdominale, dont l’examen physique a révélé une masse du flanc droit, indolore, peu
mobile, en contact avec la région lombaire.
Le diagnostic positif a été posé par des examens radiologiques (échographie, tomodensitométrie
abdominale et IRM abdominale).
Le diagnostic de certitude est apporté par une étude anatomopathologique d’une biopsie rénale.
Sur le plan thérapeutique, la patiente a bénéficié d’une néphrectomie partielle.
L’évolution était favorable en post opératoire.
Un suivi a été proposé comprenant une radiographie standard tous les 3 mois pour révéler les
éventuelles métastases pulmonaires et une échographie rénale tous les deux mois.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3332024 Président : Mohamed El Amine BOUHAFS Directeur : Mohamed RAMI Juge : Leila Hessissen Juge : Siham El Haddad Juge : Fejjal Nawfal Réservation
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Titre : CARCINOME A CELLULES RENALES CHEZ L’ENFANT : A PROPOS DE CINQ CAS. Type de document : thèse Auteurs : BELLOUKI OMAR., Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Carcinome à cellules rénales Enfant Diagnostic Traitement. Résumé : Contrairement à l’adulte, le carcinome à cellules rénales est une tumeur rare chez l’enfant.
Sur une période de vingt-quatre ans (1995-2019), seulement 8 cas de carcinomes à cellules rénales ont été diagnostiqués à l’Hôpital d’Enfants de Rabat. Seulement cinq dossiers sur huit étaient exploitables et donc inclus dans notre étude.
Il s’agit de 3 filles et 2 garçons. L’âge moyen au moment du diagnostic était de 11 ans, avec un sexe ratio M/F de 2/3.
La symptomatologie clinique est caractérisée par des épisodes d’hématurie (trois patients), la palpation d’une masse abdominale (deux patients) et la présence de douleur abdominale (deux patients).
Aucun patient n'a présenté la triade clinique : hématurie, douleur abdominale et masse abdominale.
Le diagnostic positif de tumeur rénale a été posé sur des examens radiologiques (échographie et TDM abdominales).
Cependant, le diagnosticdu carcinome à cellules rénales est rarement évoqué en préopératoire. Dans notre étude, il a été suspecté chez un seul patient.
Le diagnostic de certitude repose sur l’étude anatomopathologique de la pièce de néphrectomie.
Sur le plan thérapeutique, 4 patients ont eu une chimiothérapie préopératoire sans résultat. A noter que la tumeur est chimio-et-radio-résistante.
Tous nos patients ont été opérés avec une exérèse complète. Un seul patient a reçu une chimiothérapie postopératoire. Aucun patient n’a reçu une radiothérapie postopératoire.
L’évolution était bonne chez les 5 malades sur un recul maximal de 48 mois.
Le 5ème patient était vivant sans récidive ni métastases, après l’évolution n’a pas pu être évaluée car le patient a été perdu de vue.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1382020 Président : BENSLIMANE.L Directeur : KISRA.M Juge : NOUINI.Y Juge : HESSISSEN.L CARCINOME A CELLULES RENALES CHEZ L’ENFANT : A PROPOS DE CINQ CAS. [thèse] / BELLOUKI OMAR., Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Carcinome à cellules rénales Enfant Diagnostic Traitement. Résumé : Contrairement à l’adulte, le carcinome à cellules rénales est une tumeur rare chez l’enfant.
Sur une période de vingt-quatre ans (1995-2019), seulement 8 cas de carcinomes à cellules rénales ont été diagnostiqués à l’Hôpital d’Enfants de Rabat. Seulement cinq dossiers sur huit étaient exploitables et donc inclus dans notre étude.
Il s’agit de 3 filles et 2 garçons. L’âge moyen au moment du diagnostic était de 11 ans, avec un sexe ratio M/F de 2/3.
La symptomatologie clinique est caractérisée par des épisodes d’hématurie (trois patients), la palpation d’une masse abdominale (deux patients) et la présence de douleur abdominale (deux patients).
Aucun patient n'a présenté la triade clinique : hématurie, douleur abdominale et masse abdominale.
Le diagnostic positif de tumeur rénale a été posé sur des examens radiologiques (échographie et TDM abdominales).
Cependant, le diagnosticdu carcinome à cellules rénales est rarement évoqué en préopératoire. Dans notre étude, il a été suspecté chez un seul patient.
Le diagnostic de certitude repose sur l’étude anatomopathologique de la pièce de néphrectomie.
Sur le plan thérapeutique, 4 patients ont eu une chimiothérapie préopératoire sans résultat. A noter que la tumeur est chimio-et-radio-résistante.
Tous nos patients ont été opérés avec une exérèse complète. Un seul patient a reçu une chimiothérapie postopératoire. Aucun patient n’a reçu une radiothérapie postopératoire.
L’évolution était bonne chez les 5 malades sur un recul maximal de 48 mois.
Le 5ème patient était vivant sans récidive ni métastases, après l’évolution n’a pas pu être évaluée car le patient a été perdu de vue.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1382020 Président : BENSLIMANE.L Directeur : KISRA.M Juge : NOUINI.Y Juge : HESSISSEN.L Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1382020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M1382020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numériques
M1382020URL
Titre : Les tumeurs rénales avec thrombus de la veine cave inférieure Type de document : thèse Auteurs : JABBOUR Youness, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Carcinome à cellules rénales Thrombus de la veine cave Circulation extra corporelle Anti-angiogéniques. Résumé : Le cancer du rein occupe le troisième rang des cancers urogénitaux après celui de la vessie et de la prostate. Il suscite un intérêt particulier du fait de sa symptomatologie polymorphe, de son évolutivité insidieuse et déroutante.
C’est l’un des cancers qui ont bénéficié pendant ces dernières décennies des progrès réalisés dans le domaine des explorations radiologiques, de la génétique et de la prise en charge thérapeutique.
Le cancer du rein est susceptible d’impliquer les veines rénales, causant la formation du thrombus tumoral qui peut envahir la veine cave inférieure ou même progresser jusqu’à l’oreillette droite. Cette modalité évolutive est rare puisqu’il survient dans 4 à 10% des cancers du rein.
Notre travail est une étude rétrospective descriptive à propos de 11 cas de tumeurs rénales avec thrombus de la veine cave inférieure, colligé au sein du service du service d’urologie B du centre hospitalier universitaire de Rabat.
Ce travail à comme objectif de mettre en évidence particularités les modalités de PEC diagnostique et thérapeutique du cancer du rein compliqué de thrombus tumoral dans la veine cave inferieure.
Pendant une durée de dix ans (2004 – 2014), 11 patients, 4 hommes et 7 femmes dont l'âge varie entre 34 ans et 73 ans, ont été opérés d'un cancer du rein avec extension veineuse. L'échographie n’a pas permis en aucun cas de mettre en évidence le thrombus tumoral. Celui-ci a été identifié par l'examen tomodensitométrique, tandis que la précision du niveau supérieur du thrombus à nécessité l’imagerie par résonance magnétique nucléaire dans tous les cas. Huit de nos patients ont été opérés sous CEC à cœur battant en normothermie. Les suites opératoires immédiates ont été simples chez tous nos malades mis à part une embolie pulmonaire, une infection du site opératoire et un ictère post transfusionnel
A la fin de notre étude, sur les 11 patients 2 sont décédés d'une progression de la maladie et sur les 9 patients vivants 4 ont eu une progression de la maladie avec apparition soit de nouveaux sites métastatiques (2 cas) ou une récidive locale (1 cas) soit l’association des deux (1cas) parmi ces 4 patients deux sont perdus de vue. Finalement, 5 patients n'ont pas eu de progression de la maladie après la chirurgie dont 2ont été perdu de vue à 3 mois et à 4 mois. Les 3 patients toujours suivi avec un recul qui est respectivement de 53 mois, 26 mois et 7 mois.
Pour conclure, seulement un seul patient (9,09%) peut être considéré comme étant guéri sans progression de la maladie avec un recul suffisant (53 mois) après la chirurgie.
Puisque la présente étude porte sur un échantillon limité et avec une courte durée de suivi, et surtout un nombre assez important de perdu de vue plus de données sont nécessaires pour tirer une conclusion claire au sujet de la corrélation entre l’existence du thrombus son niveau l’envahissement de la surrénale et le pronostic.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1252015 Président : IBEN ATTYA.A Directeur : KOUTANI.A Juge : BENSLIMANE.L Juge : ALILOU.M Juge : RHISSASSI.M Les tumeurs rénales avec thrombus de la veine cave inférieure [thèse] / JABBOUR Youness, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Carcinome à cellules rénales Thrombus de la veine cave Circulation extra corporelle Anti-angiogéniques. Résumé : Le cancer du rein occupe le troisième rang des cancers urogénitaux après celui de la vessie et de la prostate. Il suscite un intérêt particulier du fait de sa symptomatologie polymorphe, de son évolutivité insidieuse et déroutante.
C’est l’un des cancers qui ont bénéficié pendant ces dernières décennies des progrès réalisés dans le domaine des explorations radiologiques, de la génétique et de la prise en charge thérapeutique.
Le cancer du rein est susceptible d’impliquer les veines rénales, causant la formation du thrombus tumoral qui peut envahir la veine cave inférieure ou même progresser jusqu’à l’oreillette droite. Cette modalité évolutive est rare puisqu’il survient dans 4 à 10% des cancers du rein.
Notre travail est une étude rétrospective descriptive à propos de 11 cas de tumeurs rénales avec thrombus de la veine cave inférieure, colligé au sein du service du service d’urologie B du centre hospitalier universitaire de Rabat.
Ce travail à comme objectif de mettre en évidence particularités les modalités de PEC diagnostique et thérapeutique du cancer du rein compliqué de thrombus tumoral dans la veine cave inferieure.
Pendant une durée de dix ans (2004 – 2014), 11 patients, 4 hommes et 7 femmes dont l'âge varie entre 34 ans et 73 ans, ont été opérés d'un cancer du rein avec extension veineuse. L'échographie n’a pas permis en aucun cas de mettre en évidence le thrombus tumoral. Celui-ci a été identifié par l'examen tomodensitométrique, tandis que la précision du niveau supérieur du thrombus à nécessité l’imagerie par résonance magnétique nucléaire dans tous les cas. Huit de nos patients ont été opérés sous CEC à cœur battant en normothermie. Les suites opératoires immédiates ont été simples chez tous nos malades mis à part une embolie pulmonaire, une infection du site opératoire et un ictère post transfusionnel
A la fin de notre étude, sur les 11 patients 2 sont décédés d'une progression de la maladie et sur les 9 patients vivants 4 ont eu une progression de la maladie avec apparition soit de nouveaux sites métastatiques (2 cas) ou une récidive locale (1 cas) soit l’association des deux (1cas) parmi ces 4 patients deux sont perdus de vue. Finalement, 5 patients n'ont pas eu de progression de la maladie après la chirurgie dont 2ont été perdu de vue à 3 mois et à 4 mois. Les 3 patients toujours suivi avec un recul qui est respectivement de 53 mois, 26 mois et 7 mois.
Pour conclure, seulement un seul patient (9,09%) peut être considéré comme étant guéri sans progression de la maladie avec un recul suffisant (53 mois) après la chirurgie.
Puisque la présente étude porte sur un échantillon limité et avec une courte durée de suivi, et surtout un nombre assez important de perdu de vue plus de données sont nécessaires pour tirer une conclusion claire au sujet de la corrélation entre l’existence du thrombus son niveau l’envahissement de la surrénale et le pronostic.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1252015 Président : IBEN ATTYA.A Directeur : KOUTANI.A Juge : BENSLIMANE.L Juge : ALILOU.M Juge : RHISSASSI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1252015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1252015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Documents numériques
M1252015URL