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L’APPORT DE LA CŒLIOSCOPIE DANS LA PRISE EN CHARGE DU SYNDROME DE LA JONCTION PYELO-URETERALE CHEZ L’ENFANT. / SIHAM BAROUDI
Titre : L’APPORT DE LA CŒLIOSCOPIE DANS LA PRISE EN CHARGE DU SYNDROME DE LA JONCTION PYELO-URETERALE CHEZ L’ENFANT. Type de document : thèse Auteurs : SIHAM BAROUDI, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : REIN URETERE PYELOPLASTIE LAPAROSCOPIE ENFANT Résumé : évaluer les résultats de la cœlioscopie dans la prise en charge du syndrome de la Jonction pyélo-urétérale chez l’enfant.
Matériels et méthodes : il s’agit d’une étude rétrospective de 3 cas de syndrome de jonction pyélo-urétérale traités par pyéloplastie cœlioscopique selon une approche transpéritonélae assistée chez 3 enfants (2 garçons et une fille) d’âge moyen de 7 ans (6-8ans). La symptomatologie était faite de douleurs lombaires (3cas /3) et d’infection urinaire (2cas /3). Le bilan radiologique incluait une échographie qui a révélé une hydronéphrose avec altération du parenchyme rénal, et une scintigraphie qui a montré une diminution de la fonction rénale relative.
la durée opératoire moyenne était de 100 min (90-110 min). Aucune conversion n’a été nécessaire.
Après l’intervention, tous les enfants se sont améliorés cliniquement, les suites opératoires étaient simples sauf pour un enfant, qui a développé un hématome abcédé, chez qui l’infection a régressé sous traitement antibiotique seul. La dilatation pyélocalicielle a nettement régressé chez 2 cas avec persistance d’une dilatation modérée chez l’enfant qui a eu l’hématome.
Le séjour hospitalier moyen était de 3jours avec un recul moyen de 18mois (12-24mois).
les résultats de notre étude rejoignent ceux de la littérature pour confirmer que la technique cœlioscopique dans la prise en charge du syndrome de jonction pyélo-urétérale chez l’enfant, est une approche mini-invasive dont les taux de réussite sont supérieurs aux différentes techniques d’endopyélotomie et équivalents à la voie ouverte avec une réduction de la douleur postopératoire et de la durée d’hospitalisation.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0432012 Président : RACHID BELKACEM Directeur : PMOUHAMMED AMINE BOUHAFS Juge : MOHAMMED ANOUAR DANDANE Juge : MOUNIA CHELLAOUI L’APPORT DE LA CŒLIOSCOPIE DANS LA PRISE EN CHARGE DU SYNDROME DE LA JONCTION PYELO-URETERALE CHEZ L’ENFANT. [thèse] / SIHAM BAROUDI, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : REIN URETERE PYELOPLASTIE LAPAROSCOPIE ENFANT Résumé : évaluer les résultats de la cœlioscopie dans la prise en charge du syndrome de la Jonction pyélo-urétérale chez l’enfant.
Matériels et méthodes : il s’agit d’une étude rétrospective de 3 cas de syndrome de jonction pyélo-urétérale traités par pyéloplastie cœlioscopique selon une approche transpéritonélae assistée chez 3 enfants (2 garçons et une fille) d’âge moyen de 7 ans (6-8ans). La symptomatologie était faite de douleurs lombaires (3cas /3) et d’infection urinaire (2cas /3). Le bilan radiologique incluait une échographie qui a révélé une hydronéphrose avec altération du parenchyme rénal, et une scintigraphie qui a montré une diminution de la fonction rénale relative.
la durée opératoire moyenne était de 100 min (90-110 min). Aucune conversion n’a été nécessaire.
Après l’intervention, tous les enfants se sont améliorés cliniquement, les suites opératoires étaient simples sauf pour un enfant, qui a développé un hématome abcédé, chez qui l’infection a régressé sous traitement antibiotique seul. La dilatation pyélocalicielle a nettement régressé chez 2 cas avec persistance d’une dilatation modérée chez l’enfant qui a eu l’hématome.
Le séjour hospitalier moyen était de 3jours avec un recul moyen de 18mois (12-24mois).
les résultats de notre étude rejoignent ceux de la littérature pour confirmer que la technique cœlioscopique dans la prise en charge du syndrome de jonction pyélo-urétérale chez l’enfant, est une approche mini-invasive dont les taux de réussite sont supérieurs aux différentes techniques d’endopyélotomie et équivalents à la voie ouverte avec une réduction de la douleur postopératoire et de la durée d’hospitalisation.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0432012 Président : RACHID BELKACEM Directeur : PMOUHAMMED AMINE BOUHAFS Juge : MOHAMMED ANOUAR DANDANE Juge : MOUNIA CHELLAOUI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0432012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible La pyéloplastie à ciel ouvert selon Anderson-Hynes chez l’enfant : quelle place à l’ère de la chirurgie mini-invasive ? / Mohammed Alaë TOUZANI
Titre : La pyéloplastie à ciel ouvert selon Anderson-Hynes chez l’enfant : quelle place à l’ère de la chirurgie mini-invasive ? Type de document : thèse Auteurs : Mohammed Alaë TOUZANI, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Jonction pyélo-urétérale Enfant Pyéloplastie Anderson Hynes Laparoscopie Laparo-assistée Endopyélotomie Résumé : Introduction: Le syndrome de la jonction pyélo-urétérale est la plus fréquente des uropathies malformatives. Le traitement de référence était classiquement la pyéloplastie à ciel ouvert selon la technique d’Anderson-Hynes. Le but de se travail est de déterminer si la chirurgie ouverte a toujours sa place à l’ère de la chirurgie laparoscopique.
Matériel et méthodes: Il s’agit d’une étude rétrospective incluant tous les patients ayant étés opérés à ciel ouvert pour syndrome de la jonction pyélo-urétérale par la technique d’Anderson-Hynes au service de Chirurgie Pédiatrique A de l’Hôpital d’Enfants de Rabat, entre Janvier 2010 et Décembre 2014.
Résultats: Durant la période d’étude, 39 patients ont été pris en charge pour syndrome de la jonction. La durée moyenne des interventions chirurgicales était de 89 minutes (70 - 130 min). Un vaisseau polaire a été découvert dans 15,4 % des cas (6 cas). La durée moyenne d’hospitalisation postopératoire était de 8,1 jours (2 – 15 jours). Trois patients (7,7 %) ont eu des complications postopératoires. Tous les patients, sauf un, ont été suivis avec un recul moyen de 22,7 mois (6 à 60 mois). Le taux de réussite de la pyéloplastie était de 94,7 % (n = 36/38).
Conclusion: Ce travail montre que la pyéloplastie à ciel ouvert a toujours gardé de très bons résultats, avec des temps opératoires courts. Cependant, la chirurgie laparoscopique a su s’imposer en proposant une alternative avec moins de complications, un séjour hospitalier court, avec des résultats fonctionnels au minimum équivalents. Les endopyélotomies présentent les mêmes avantages que la laparoscopie, mais avec des résultats très décevants.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2102016 Président : BENHMAMOUCH.M.N Directeur : MOUNIR.K Juge : MBAREK.A Juge : OULAHYANE.R La pyéloplastie à ciel ouvert selon Anderson-Hynes chez l’enfant : quelle place à l’ère de la chirurgie mini-invasive ? [thèse] / Mohammed Alaë TOUZANI, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Jonction pyélo-urétérale Enfant Pyéloplastie Anderson Hynes Laparoscopie Laparo-assistée Endopyélotomie Résumé : Introduction: Le syndrome de la jonction pyélo-urétérale est la plus fréquente des uropathies malformatives. Le traitement de référence était classiquement la pyéloplastie à ciel ouvert selon la technique d’Anderson-Hynes. Le but de se travail est de déterminer si la chirurgie ouverte a toujours sa place à l’ère de la chirurgie laparoscopique.
Matériel et méthodes: Il s’agit d’une étude rétrospective incluant tous les patients ayant étés opérés à ciel ouvert pour syndrome de la jonction pyélo-urétérale par la technique d’Anderson-Hynes au service de Chirurgie Pédiatrique A de l’Hôpital d’Enfants de Rabat, entre Janvier 2010 et Décembre 2014.
Résultats: Durant la période d’étude, 39 patients ont été pris en charge pour syndrome de la jonction. La durée moyenne des interventions chirurgicales était de 89 minutes (70 - 130 min). Un vaisseau polaire a été découvert dans 15,4 % des cas (6 cas). La durée moyenne d’hospitalisation postopératoire était de 8,1 jours (2 – 15 jours). Trois patients (7,7 %) ont eu des complications postopératoires. Tous les patients, sauf un, ont été suivis avec un recul moyen de 22,7 mois (6 à 60 mois). Le taux de réussite de la pyéloplastie était de 94,7 % (n = 36/38).
Conclusion: Ce travail montre que la pyéloplastie à ciel ouvert a toujours gardé de très bons résultats, avec des temps opératoires courts. Cependant, la chirurgie laparoscopique a su s’imposer en proposant une alternative avec moins de complications, un séjour hospitalier court, avec des résultats fonctionnels au minimum équivalents. Les endopyélotomies présentent les mêmes avantages que la laparoscopie, mais avec des résultats très décevants.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2102016 Président : BENHMAMOUCH.M.N Directeur : MOUNIR.K Juge : MBAREK.A Juge : OULAHYANE.R Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2102016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M2102016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible PYELOPLASTIE LAPAROSCOPIQUE TRANSPERITONEALE (A PROPOS DE 25 CAS) / BRAHIM RATBI
Titre : PYELOPLASTIE LAPAROSCOPIQUE TRANSPERITONEALE (A PROPOS DE 25 CAS) Type de document : thèse Auteurs : BRAHIM RATBI, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : SYNDROME DE LA JONCTION PYELO-URETERALE LAPAROSCOPIE TRANSPERITONEALE PYELOPLASTIE KÜSS-ANDERSON-HYNES. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Evaluer les résultats du traitement chirurgical du syndrome de la jonction pyélo-urétérale (JPU) par laparoscopie transpéritonéale.
Matériel et Méthodes :
Etude rétrospective de 25 pyéloplasties laparoscopiques type Küss-Anderson-Hynes consécutives réalisées en 2 ans (Janvier 2006-Décembre 2007) chez des adultes (16 femmes, 9 hommes) d’âge moyen 28,5 ans (20-38 ans).
Résultats :
La durée moyenne d’intervention a été de 185 minutes (150-220 minutes). La conversion a été nécessaire dans 2 cas : difficultés de dissection, échec de positionnement de la sonde JJ. La durée moyenne d’hospitalisation a été de 3 jours.
Avec un recul moyen de 10 mois, le taux de succès clinique est de 100% et le taux de succès paraclinique (UIV) de 84%.
Conclusion :
Notre série confirme que la technique de pyéloplastie par laparoscopie constitue une approche mini-invasive dont les résultats sont supérieurs aux différentes techniques d’endopyélotomie et équivalents à la voie ouverte avec une morbidité réduite.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0542010 Président : MOHAMED FAIK Directeur : ALI IKEN Juge : AHMED EL HIJRI Juge : YASSINE NOUINI PYELOPLASTIE LAPAROSCOPIQUE TRANSPERITONEALE (A PROPOS DE 25 CAS) [thèse] / BRAHIM RATBI, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SYNDROME DE LA JONCTION PYELO-URETERALE LAPAROSCOPIE TRANSPERITONEALE PYELOPLASTIE KÜSS-ANDERSON-HYNES. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Evaluer les résultats du traitement chirurgical du syndrome de la jonction pyélo-urétérale (JPU) par laparoscopie transpéritonéale.
Matériel et Méthodes :
Etude rétrospective de 25 pyéloplasties laparoscopiques type Küss-Anderson-Hynes consécutives réalisées en 2 ans (Janvier 2006-Décembre 2007) chez des adultes (16 femmes, 9 hommes) d’âge moyen 28,5 ans (20-38 ans).
Résultats :
La durée moyenne d’intervention a été de 185 minutes (150-220 minutes). La conversion a été nécessaire dans 2 cas : difficultés de dissection, échec de positionnement de la sonde JJ. La durée moyenne d’hospitalisation a été de 3 jours.
Avec un recul moyen de 10 mois, le taux de succès clinique est de 100% et le taux de succès paraclinique (UIV) de 84%.
Conclusion :
Notre série confirme que la technique de pyéloplastie par laparoscopie constitue une approche mini-invasive dont les résultats sont supérieurs aux différentes techniques d’endopyélotomie et équivalents à la voie ouverte avec une morbidité réduite.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0542010 Président : MOHAMED FAIK Directeur : ALI IKEN Juge : AHMED EL HIJRI Juge : YASSINE NOUINI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0542010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible Syndrome de la jonction pyélo-urétérale : aspects thérapeutiques et apport de la scintigraphie rénale au DTPA / FAILAL Imane
Titre : Syndrome de la jonction pyélo-urétérale : aspects thérapeutiques et apport de la scintigraphie rénale au DTPA Type de document : thèse Auteurs : FAILAL Imane, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome de la jonction pyélo-urétérale Scintigraphie DTPA Pyéloplastie Endopyélotomie. Résumé : Le syndrome de la jonction pyélo-urétérale, détermine l’écoulement des urines entre le bassinet et l’uretére proximal.
Notre travail a consisté en une étude rétrospective de 26 cas de syndrome de JPU , colligés au service d’urologie à l’Hôpital Militaire Med V de RABAT, durant une période de 04 ans allant de 2010 à 2013.
L’âge moyen était de 36 ans avec un sexe ratio de 1,4. Le type UIV II était le plus représenté chez 48,4% des patients. La jonction était localisée dans 54,8% des cas à gauche. 29% des patients avaient des anomalies associées avec une prépondérance de l’association jonction intrinsèque et atrésie urétérale. 22,6% des SJPU étaient associés à une lithiase. La pyéloplastie a été réalisée chez 51,6% des patients. Seul 13 patients avaient réalisés une scintigraphie rénale au DTPA et 69,2% avaient une valeur < 40%. En post opératoire 77% des patients avaient une valeur de la scintigraphie > ou = 40%.
Cette étude nous a permis de confirmer les données existantes sur le SJPU. L’UIV garde sa place privilégié dans l’évaluation de l’importance de la pathologie. L’Uro TDM apporte une information sur l’état du parenchyme rénal et permet le diagnostic d’autres anomalies associées à la jonction. La scintigraphie rénale fait la distinction entre une dilatation sur stase fonctionnelle et une obstruction organique relevant d’un geste chirurgical ou endoscopique .La lithiase, est la pathologie la plus souvent associée. La ptéloplastie par chirurgie ouverte est l’indication de choix pour les dilatations de modérée à sévère. L’endopyélotomie est indiquée pour les dilatations de faible à modérée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1582016 Président : EL KHADER.K Directeur : GHADOUANE.M Juge : BIYI.A Juge : JANANE.A Juge : EN-NOUALI.H Syndrome de la jonction pyélo-urétérale : aspects thérapeutiques et apport de la scintigraphie rénale au DTPA [thèse] / FAILAL Imane, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syndrome de la jonction pyélo-urétérale Scintigraphie DTPA Pyéloplastie Endopyélotomie. Résumé : Le syndrome de la jonction pyélo-urétérale, détermine l’écoulement des urines entre le bassinet et l’uretére proximal.
Notre travail a consisté en une étude rétrospective de 26 cas de syndrome de JPU , colligés au service d’urologie à l’Hôpital Militaire Med V de RABAT, durant une période de 04 ans allant de 2010 à 2013.
L’âge moyen était de 36 ans avec un sexe ratio de 1,4. Le type UIV II était le plus représenté chez 48,4% des patients. La jonction était localisée dans 54,8% des cas à gauche. 29% des patients avaient des anomalies associées avec une prépondérance de l’association jonction intrinsèque et atrésie urétérale. 22,6% des SJPU étaient associés à une lithiase. La pyéloplastie a été réalisée chez 51,6% des patients. Seul 13 patients avaient réalisés une scintigraphie rénale au DTPA et 69,2% avaient une valeur < 40%. En post opératoire 77% des patients avaient une valeur de la scintigraphie > ou = 40%.
Cette étude nous a permis de confirmer les données existantes sur le SJPU. L’UIV garde sa place privilégié dans l’évaluation de l’importance de la pathologie. L’Uro TDM apporte une information sur l’état du parenchyme rénal et permet le diagnostic d’autres anomalies associées à la jonction. La scintigraphie rénale fait la distinction entre une dilatation sur stase fonctionnelle et une obstruction organique relevant d’un geste chirurgical ou endoscopique .La lithiase, est la pathologie la plus souvent associée. La ptéloplastie par chirurgie ouverte est l’indication de choix pour les dilatations de modérée à sévère. L’endopyélotomie est indiquée pour les dilatations de faible à modérée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1582016 Président : EL KHADER.K Directeur : GHADOUANE.M Juge : BIYI.A Juge : JANANE.A Juge : EN-NOUALI.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1582016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M1582016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible SYNDROME DE LA JONCTION PYELO-URETERALE CHEZ L’ENFANT A PROPOS DE 23 CAS / EL MEHDI EL HICHOU
Titre : SYNDROME DE LA JONCTION PYELO-URETERALE CHEZ L’ENFANT A PROPOS DE 23 CAS Type de document : thèse Auteurs : EL MEHDI EL HICHOU, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Obstruction de la jonction pyélo-urétérale Difficultés diagnostiques Pyéloplastie Dilatation pyélo calicielle Population pédiatrique Résumé : Introduction : Le syndrome de la jonction pyélo-urétérale (JPU) est l'uropathie
obstructive congénitale la plus fréquente chez l'enfant. Un diagnostic précoce est crucial pour
prévenir la détérioration rénale. La pyéloplastie selon Anderson-Hynes par voie ouverte reste
la norme, bien que les techniques mini-invasives gagnent en popularité. Cette étude vise à
évaluer notre prise en charge du syndrome de JPU et comparer nos résultats aux données de la
littérature.
Matériels et Méthodes : Nous avons mené une étude rétrospective descriptive sur 23
enfants traités pour syndrome de JPU au service de Chirurgie Pédiatrique A de l'HER CHU
Avicenne entre 2018 et 2022.
Résultats : Nous avons colligé 23 cas en 5 ans soit une moyenne annuelle de 4.6 cas.
L'âge moyen était de 6.45 ans, le sexe-ratio H/F était de 2.83, l’atteinte gauche était dans 57%
et 43% au côté droit alors que l’atteinte bilatérale n’a pas été objectivée dans aucun cas. Le
diagnostic était anténatal dans 1 cas (4%) et fortuit dans 2 cas (9%). La présentation clinique la
plus fréquente était la douleur (46%), suivie par les infections urinaires (23%). L’examen
physique était normal chez 70 % des malades. L'échographie et la scintigraphie rénale ont révélé
une dilatation pyélocalicielle et un mauvais drainage urinaire chez tous les patients. La
pyéloplastie selon Anderson et Hynes à ciel ouvert a été faite dans 91 %, et la néphrectomie
dans 9 %. La durée moyenne de l'intervention était de 90 min. Les suites opératoires ont été
simples dans 21 cas (92%). Nous avons enregistré un cas de fuite urinaire (4%) et un cas
d’infection de la paroi (4%). Aucune complication majeure n'a été observée. La durée moyenne
d’hospitalisation post opératoire était de 9 jours. Le taux de réussite était de 100 % avec un
suivi moyen de 24 mois.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2962024 Président : Houssain TLIGUI Directeur : Mounir KISRA Juge : Lamiaa ROUAS Juge : Aziza BENTALHA SYNDROME DE LA JONCTION PYELO-URETERALE CHEZ L’ENFANT A PROPOS DE 23 CAS [thèse] / EL MEHDI EL HICHOU, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Obstruction de la jonction pyélo-urétérale Difficultés diagnostiques Pyéloplastie Dilatation pyélo calicielle Population pédiatrique Résumé : Introduction : Le syndrome de la jonction pyélo-urétérale (JPU) est l'uropathie
obstructive congénitale la plus fréquente chez l'enfant. Un diagnostic précoce est crucial pour
prévenir la détérioration rénale. La pyéloplastie selon Anderson-Hynes par voie ouverte reste
la norme, bien que les techniques mini-invasives gagnent en popularité. Cette étude vise à
évaluer notre prise en charge du syndrome de JPU et comparer nos résultats aux données de la
littérature.
Matériels et Méthodes : Nous avons mené une étude rétrospective descriptive sur 23
enfants traités pour syndrome de JPU au service de Chirurgie Pédiatrique A de l'HER CHU
Avicenne entre 2018 et 2022.
Résultats : Nous avons colligé 23 cas en 5 ans soit une moyenne annuelle de 4.6 cas.
L'âge moyen était de 6.45 ans, le sexe-ratio H/F était de 2.83, l’atteinte gauche était dans 57%
et 43% au côté droit alors que l’atteinte bilatérale n’a pas été objectivée dans aucun cas. Le
diagnostic était anténatal dans 1 cas (4%) et fortuit dans 2 cas (9%). La présentation clinique la
plus fréquente était la douleur (46%), suivie par les infections urinaires (23%). L’examen
physique était normal chez 70 % des malades. L'échographie et la scintigraphie rénale ont révélé
une dilatation pyélocalicielle et un mauvais drainage urinaire chez tous les patients. La
pyéloplastie selon Anderson et Hynes à ciel ouvert a été faite dans 91 %, et la néphrectomie
dans 9 %. La durée moyenne de l'intervention était de 90 min. Les suites opératoires ont été
simples dans 21 cas (92%). Nous avons enregistré un cas de fuite urinaire (4%) et un cas
d’infection de la paroi (4%). Aucune complication majeure n'a été observée. La durée moyenne
d’hospitalisation post opératoire était de 9 jours. Le taux de réussite était de 100 % avec un
suivi moyen de 24 mois.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2962024 Président : Houssain TLIGUI Directeur : Mounir KISRA Juge : Lamiaa ROUAS Juge : Aziza BENTALHA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2962024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible
Titre : SYNDROME DE JONCTION PYELO-URETERALE (A-PROPOS DE 38 CAS) Type de document : thèse Auteurs : Zakaria TLEMSANI MAGHRAOUI, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : syndrome de jonction pyélo-urétérale diagnostic pyéloplastie chirurgie Résumé : Introduction :
L’anomalie de la jonction pyélo-urétérale (JPU) est la malformation congénitale la plus
fréquente. Le traitement de référence est la chirurgie de pyéloplastie ouverte selon Anderson-
Hynes. Le but de ce travail est d’étudier le SJPU dans le Service de Chirurgie A.
Matériel et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective incluant des patients ayant été hospitalisé pour syndrome de
la jonction pyélo-urétérale (SJPU) au service de Chirurgie Pédiatrique A de l’HER CHU-
Avicenne, entre 2015 et 2020.
Résultats :
38 patients ont été pris en charge pour SJPU. L’âge moyen est de 5,48 avec des extrêmes (1
mois-15 ans), le sexe-ratio était de 1,7/1 (H/F), l’atteinte gauche était dans 57,8 % et 34,21 %
au côté droit alors que l’atteinte bilatérale était de l’ordre de 7,8 %. Le SJPU était dans 5,2 %
de découverte anténatale, et de 10,52 % de découverte fortuite. L’infection urinaire, la
douleur, la fièvre et ballonnement abdominale étaient les signes fonctionnels qui ont dévoilé
le SJPU respectivement dans 35 %, 37 %, 26 %, 2,63 %.
L’examen clinique a trouvé seulement la sensibilité abdominale dans 18.42 % des cas, un
contact lombaire positif dans 2,6 %.
L’échographie et la scintigraphie rénale représentent un grand intérêt dans le diagnostic,
l’évaluation, le suivi de la maladie. La pyéloplastie selon Anderson et Hynes à ciel ouvert a
été faite dans 95 %, alors que la néphrectomie totale n’a été faite que dans 5 % des cas. La
durée des interventions chirurgicales était de 93min en moyenne. La durée moyenne
d’hospitalisation postopératoire était de 5,98jours (2 – 12jours).
Aucune complication postopératoire n’a été rapportée dans notre série. Le taux de réussite de
la pyéloplastie était de 100 %(n =35/35).Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0302021 Président : KISRA.M Directeur : KISRA.M Juge : ZERHONI.H Juge : TLIGUI.H Juge : EL SAYEGH.H SYNDROME DE JONCTION PYELO-URETERALE (A-PROPOS DE 38 CAS) [thèse] / Zakaria TLEMSANI MAGHRAOUI, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : syndrome de jonction pyélo-urétérale diagnostic pyéloplastie chirurgie Résumé : Introduction :
L’anomalie de la jonction pyélo-urétérale (JPU) est la malformation congénitale la plus
fréquente. Le traitement de référence est la chirurgie de pyéloplastie ouverte selon Anderson-
Hynes. Le but de ce travail est d’étudier le SJPU dans le Service de Chirurgie A.
Matériel et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective incluant des patients ayant été hospitalisé pour syndrome de
la jonction pyélo-urétérale (SJPU) au service de Chirurgie Pédiatrique A de l’HER CHU-
Avicenne, entre 2015 et 2020.
Résultats :
38 patients ont été pris en charge pour SJPU. L’âge moyen est de 5,48 avec des extrêmes (1
mois-15 ans), le sexe-ratio était de 1,7/1 (H/F), l’atteinte gauche était dans 57,8 % et 34,21 %
au côté droit alors que l’atteinte bilatérale était de l’ordre de 7,8 %. Le SJPU était dans 5,2 %
de découverte anténatale, et de 10,52 % de découverte fortuite. L’infection urinaire, la
douleur, la fièvre et ballonnement abdominale étaient les signes fonctionnels qui ont dévoilé
le SJPU respectivement dans 35 %, 37 %, 26 %, 2,63 %.
L’examen clinique a trouvé seulement la sensibilité abdominale dans 18.42 % des cas, un
contact lombaire positif dans 2,6 %.
L’échographie et la scintigraphie rénale représentent un grand intérêt dans le diagnostic,
l’évaluation, le suivi de la maladie. La pyéloplastie selon Anderson et Hynes à ciel ouvert a
été faite dans 95 %, alors que la néphrectomie totale n’a été faite que dans 5 % des cas. La
durée des interventions chirurgicales était de 93min en moyenne. La durée moyenne
d’hospitalisation postopératoire était de 5,98jours (2 – 12jours).
Aucune complication postopératoire n’a été rapportée dans notre série. Le taux de réussite de
la pyéloplastie était de 100 %(n =35/35).Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0302021 Président : KISRA.M Directeur : KISRA.M Juge : ZERHONI.H Juge : TLIGUI.H Juge : EL SAYEGH.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0302021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M0302021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M0302021URL