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FACTEURS DE RECHUTE DU PEMPHIGUS (Etude uni centrique comparative de 219 cas sur 30 ans) / Farah El Hadadi
Titre : FACTEURS DE RECHUTE DU PEMPHIGUS (Etude uni centrique comparative de 219 cas sur 30 ans) Type de document : thèse Auteurs : Farah El Hadadi, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : pemphigus rechute rémission Résumé : Introduction : Le pemphigus est une maladie bulleuse auto-immune rare
chronique responsable de formation de bulles avec décollement cutané altérant
la qualité de vie des patients. Malgré l’avènement de nombreuses thérapies, les
rechutes ne sont pas rares. Le but de notre travail est de pouvoir identifier les
principaux facteurs de rechute dans notre contexte.
Matériels et Méthodes : il s’agit d’une étude rétro prospective uni centrique
réalisée au sein du service de dermatologie-vénérologie du CHU IBN SINA de
Rabat sur une période de 30 ans de janvier 1991 à juin 2021.
Résultats : nous avons colligé 219 cas de pemphigus : 127 rémissions (G1) et 92
rechutes (G2). L’âge moyen était de 54.48 ans G1 vs 50.23 G2 (P<0.05), le sex
ratio F/M était de 1.8, délai moyen de consultation était de (G1 : 13.13 mois et
G2 :15.23 mois). La localisation initiale des lésions était de (G1 : 22% muqueuse
buccale vs G2 : 32.7%) (p=0.028 <0.05). Le prurit a été retrouvé chez 16% du G1
et 49% du G2, Dans le groupe rechute, le phénomène de Koebner a été retrouvé
dans 20% des cas. Le PDAI était sévère (>45) et fortement corrélé au risque de
rechute (p<0.001). Les principales causes de rechute thérapeutique étaient :
39% une corticodépendance, 52% une prise anarchique du traitement par le
malade et 9% de rechute lors du sevrage (0 mg). Les rechutes sont survenues à
des doses de 0.3 mg/kg/j -0.7 mg/kg/j et lors du sevrage de la corticothérapie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0452022 Président : Karima SENOUCI FACTEURS DE RECHUTE DU PEMPHIGUS (Etude uni centrique comparative de 219 cas sur 30 ans) [thèse] / Farah El Hadadi, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : pemphigus rechute rémission Résumé : Introduction : Le pemphigus est une maladie bulleuse auto-immune rare
chronique responsable de formation de bulles avec décollement cutané altérant
la qualité de vie des patients. Malgré l’avènement de nombreuses thérapies, les
rechutes ne sont pas rares. Le but de notre travail est de pouvoir identifier les
principaux facteurs de rechute dans notre contexte.
Matériels et Méthodes : il s’agit d’une étude rétro prospective uni centrique
réalisée au sein du service de dermatologie-vénérologie du CHU IBN SINA de
Rabat sur une période de 30 ans de janvier 1991 à juin 2021.
Résultats : nous avons colligé 219 cas de pemphigus : 127 rémissions (G1) et 92
rechutes (G2). L’âge moyen était de 54.48 ans G1 vs 50.23 G2 (P<0.05), le sex
ratio F/M était de 1.8, délai moyen de consultation était de (G1 : 13.13 mois et
G2 :15.23 mois). La localisation initiale des lésions était de (G1 : 22% muqueuse
buccale vs G2 : 32.7%) (p=0.028 <0.05). Le prurit a été retrouvé chez 16% du G1
et 49% du G2, Dans le groupe rechute, le phénomène de Koebner a été retrouvé
dans 20% des cas. Le PDAI était sévère (>45) et fortement corrélé au risque de
rechute (p<0.001). Les principales causes de rechute thérapeutique étaient :
39% une corticodépendance, 52% une prise anarchique du traitement par le
malade et 9% de rechute lors du sevrage (0 mg). Les rechutes sont survenues à
des doses de 0.3 mg/kg/j -0.7 mg/kg/j et lors du sevrage de la corticothérapie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0452022 Président : Karima SENOUCI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0452022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
MS0452022URL LES INHIBITEURS DES CHECKPOINTS DANS LE LYMPHOME DE HODGKIN EN RECHUTE ET OU REFRACTAIRE : ETUDE MONOCENTRIQUE / HAWA MOUSSA BOUH
Titre : LES INHIBITEURS DES CHECKPOINTS DANS LE LYMPHOME DE HODGKIN EN RECHUTE ET OU REFRACTAIRE : ETUDE MONOCENTRIQUE Type de document : thèse Auteurs : HAWA MOUSSA BOUH, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lymphome de hodgkin Rechute Réfractaire Inhibiteurs de checkpoint Résumé : Objectif :
Décrire l’efficacité et l’innocuité des inhibiteurs de checkpoints (anti-PD1) chez les
patients atteints de LH en rechute et ou réfractaire.
Patients et Méthode :
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur des patients atteints de Lymphome de
hodgkin classique suivi à l’Hôpital Militaire de Mohammed V de Rabat traités par un inhibiteur
de checkpoint entre Mai 2018 à Mai 2022.
Résultats :
Sept patients ont été inclus avec un âge médian de 22 ans et un sex- ratio à 0.75. Six
patients avaient reçu du Pembrolizumab et une patiente avait reçu du Nivolumab. La médiane
du nombre des cycles de traitement reçu était de 10 cycles. L’ORR était de 57% dominée par
un taux RP à 75%. Pour un suivi médian de 25 mois, la PFS médiane était de 18 mois [4-58
mois],la médiane de l’OS était non atteinte et le traitement a été bien toléré.
Conclusion :
Cette étude démontre que le traitement par un inhibiteur de checkpoint offre une efficacité
et innocuité chez ces patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2472023 Directeur : MAHTAT EL MEHDI LES INHIBITEURS DES CHECKPOINTS DANS LE LYMPHOME DE HODGKIN EN RECHUTE ET OU REFRACTAIRE : ETUDE MONOCENTRIQUE [thèse] / HAWA MOUSSA BOUH, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Lymphome de hodgkin Rechute Réfractaire Inhibiteurs de checkpoint Résumé : Objectif :
Décrire l’efficacité et l’innocuité des inhibiteurs de checkpoints (anti-PD1) chez les
patients atteints de LH en rechute et ou réfractaire.
Patients et Méthode :
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur des patients atteints de Lymphome de
hodgkin classique suivi à l’Hôpital Militaire de Mohammed V de Rabat traités par un inhibiteur
de checkpoint entre Mai 2018 à Mai 2022.
Résultats :
Sept patients ont été inclus avec un âge médian de 22 ans et un sex- ratio à 0.75. Six
patients avaient reçu du Pembrolizumab et une patiente avait reçu du Nivolumab. La médiane
du nombre des cycles de traitement reçu était de 10 cycles. L’ORR était de 57% dominée par
un taux RP à 75%. Pour un suivi médian de 25 mois, la PFS médiane était de 18 mois [4-58
mois],la médiane de l’OS était non atteinte et le traitement a été bien toléré.
Conclusion :
Cette étude démontre que le traitement par un inhibiteur de checkpoint offre une efficacité
et innocuité chez ces patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2472023 Directeur : MAHTAT EL MEHDI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS2472023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible INTERET DE RITUXIMAB DANS LE PEMPHIGUS (EVALUATION A M18) / Amani FLITI
Titre : INTERET DE RITUXIMAB DANS LE PEMPHIGUS (EVALUATION A M18) Type de document : thèse Auteurs : Amani FLITI, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : pemphigus Rituximab rémission rechute Résumé : Introduction : Le rituximab anti-CD20, représente une avancée majeure dans le
traitement du pemphigus. L'objectif de notre travail est d'évaluer l'efficacité des cures
répétitives de RTX jusqu'à la cure M18 dans le traitement du pemphigus.
Matériels et méthodes : une étude uni-centrique rétro prospective transversale
descriptive et analytique au sein du service de dermatologie du CHU Ibn Sina de Rabat sur une
période de 20 ans de 2003 à 2023.
Résultats : 69 malades avec un sexe ratio F/H=1.65 et un âge moyen de 49 ans, le délai
moyen de consultation était 13.64 semaines. 43.5% des patients avaient un pemphigus vulgaire
et 76.8% un PDAI sévère. Le RTX a été indique dans 50.7% des cas chez des patients « naïf »
et dans 49.3% des cas chez des patients « non naïf » (37.7% entaient en rechute, 11.6% avaient
un pemphigus récalcitrant). La durée moyenne de la phase de consolidation était de
5.6semaines. à M6 46.4% étaient des bons répondeurs, La rémission complète a été acquise sur
un temps moyen de 6.5 mois chez 82.6% des patients à M6, 89.9% à M12 et 97.1% à M18
prouvant l’efficacité de RTX en première intention en terme d’obtenir une rémission complète
à M18 (p<0.05). La dose moyenne de prednisone à J1 était de 80mg et 4.8mg à M18. 15.9%
ont rechuté sur une durée moyenne de 19.9mois
81,8 % des cas de rechute concernaient des patients pour lesquels une cure n’a pas été
administrée. 30 cas ont reçu une cure à M24.
Conclusion : Nos résultats mettent en évidence une efficacité notable du RTX en
première intention pour obtenir une rémission complète à M18 et elle constitue une référence
pour l'élaboration d'études multicentriques en vue d'établir un protocole national de prise en
charge du pemphigus, adapté à la population marocaine.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS040203 Directeur : Karima SENOUCI INTERET DE RITUXIMAB DANS LE PEMPHIGUS (EVALUATION A M18) [thèse] / Amani FLITI, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : pemphigus Rituximab rémission rechute Résumé : Introduction : Le rituximab anti-CD20, représente une avancée majeure dans le
traitement du pemphigus. L'objectif de notre travail est d'évaluer l'efficacité des cures
répétitives de RTX jusqu'à la cure M18 dans le traitement du pemphigus.
Matériels et méthodes : une étude uni-centrique rétro prospective transversale
descriptive et analytique au sein du service de dermatologie du CHU Ibn Sina de Rabat sur une
période de 20 ans de 2003 à 2023.
Résultats : 69 malades avec un sexe ratio F/H=1.65 et un âge moyen de 49 ans, le délai
moyen de consultation était 13.64 semaines. 43.5% des patients avaient un pemphigus vulgaire
et 76.8% un PDAI sévère. Le RTX a été indique dans 50.7% des cas chez des patients « naïf »
et dans 49.3% des cas chez des patients « non naïf » (37.7% entaient en rechute, 11.6% avaient
un pemphigus récalcitrant). La durée moyenne de la phase de consolidation était de
5.6semaines. à M6 46.4% étaient des bons répondeurs, La rémission complète a été acquise sur
un temps moyen de 6.5 mois chez 82.6% des patients à M6, 89.9% à M12 et 97.1% à M18
prouvant l’efficacité de RTX en première intention en terme d’obtenir une rémission complète
à M18 (p<0.05). La dose moyenne de prednisone à J1 était de 80mg et 4.8mg à M18. 15.9%
ont rechuté sur une durée moyenne de 19.9mois
81,8 % des cas de rechute concernaient des patients pour lesquels une cure n’a pas été
administrée. 30 cas ont reçu une cure à M24.
Conclusion : Nos résultats mettent en évidence une efficacité notable du RTX en
première intention pour obtenir une rémission complète à M18 et elle constitue une référence
pour l'élaboration d'études multicentriques en vue d'établir un protocole national de prise en
charge du pemphigus, adapté à la population marocaine.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS040203 Directeur : Karima SENOUCI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0402024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible RECHUTE DE LA TUBERCULOSE : A PROPOS DE 18 CAS DU SERVICE DE PNEUMOLOGIE DE L’HMIMV DE RABAT. / ORAGWU NGOZI
Titre : RECHUTE DE LA TUBERCULOSE : A PROPOS DE 18 CAS DU SERVICE DE PNEUMOLOGIE DE L’HMIMV DE RABAT. Type de document : thèse Auteurs : ORAGWU NGOZI, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : RECHUTE TUBERCULOSE REGIME THERAPEUTIQUE FACTEURS DE RISQUE TEST DE PHARMACOSENSIBILITE Résumé : Introduction : Une étude rétrospective et descriptive a été réalisée dans le but de décrire 18 cas traités et suivis pour au moins une rechute tuberculeuse au service de pneumologie de l’HMIMV de Rabat, de 2007 à 2010.
Matériel et Méthodes : Des dossiers médicaux des 18 cas on a relevé les données suivantes : sexe, âge, ville de résidence, tares associées, délai de rechute, examens préthérapeutiques, diagnostic, traitement et résultats du traitement.
Résultats : Le sexe ratio M/F est 2, l’âge moyen est 32 ans. 78 % des rechutes ont survenu dans les deux premières années suivant l’arrêt du traitement initial. La rechute était pulmonaire dans 72 % des cas. Les épisodes initiaux ont rechuté sous la même forme dans 92 % des cas (forme pulmonaire) et dans 80 % des cas (forme extrapulmonaire). 56 % des cas avaient des tares associées dont 80 % étaient des tabagiques. 61 % des cas ont reçu un régime à base des cinq antibacillaires du régime standardisé de retraitement. Tous les cas (à résultats de retraitement disponible) ont été déclarés guéris. 17 % des cas ont eu des rechutes multiples – tous les multiples rechutes ont été déclarées guéries.
Discussion : Les épisodes initiaux de la tuberculose rechutent souvent sous les mêmes formes. La rechute tuberculeuse est souvent sous forme pulmonaire. Les patients tuberculeux aux tares associées ont tendance à rechuter d’autant plus qu’il s’agit des patients tabagiques. Les cas à multiples rechutes ont souvent des complications ainsi que des bacilles mutirésistants aux antituberculeux.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0572012 Président : ABDERRAHMANI RHORFI.I Directeur : ZOUHDI.M Juge : MESSAOUDI.N RECHUTE DE LA TUBERCULOSE : A PROPOS DE 18 CAS DU SERVICE DE PNEUMOLOGIE DE L’HMIMV DE RABAT. [thèse] / ORAGWU NGOZI, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : RECHUTE TUBERCULOSE REGIME THERAPEUTIQUE FACTEURS DE RISQUE TEST DE PHARMACOSENSIBILITE Résumé : Introduction : Une étude rétrospective et descriptive a été réalisée dans le but de décrire 18 cas traités et suivis pour au moins une rechute tuberculeuse au service de pneumologie de l’HMIMV de Rabat, de 2007 à 2010.
Matériel et Méthodes : Des dossiers médicaux des 18 cas on a relevé les données suivantes : sexe, âge, ville de résidence, tares associées, délai de rechute, examens préthérapeutiques, diagnostic, traitement et résultats du traitement.
Résultats : Le sexe ratio M/F est 2, l’âge moyen est 32 ans. 78 % des rechutes ont survenu dans les deux premières années suivant l’arrêt du traitement initial. La rechute était pulmonaire dans 72 % des cas. Les épisodes initiaux ont rechuté sous la même forme dans 92 % des cas (forme pulmonaire) et dans 80 % des cas (forme extrapulmonaire). 56 % des cas avaient des tares associées dont 80 % étaient des tabagiques. 61 % des cas ont reçu un régime à base des cinq antibacillaires du régime standardisé de retraitement. Tous les cas (à résultats de retraitement disponible) ont été déclarés guéris. 17 % des cas ont eu des rechutes multiples – tous les multiples rechutes ont été déclarées guéries.
Discussion : Les épisodes initiaux de la tuberculose rechutent souvent sous les mêmes formes. La rechute tuberculeuse est souvent sous forme pulmonaire. Les patients tuberculeux aux tares associées ont tendance à rechuter d’autant plus qu’il s’agit des patients tabagiques. Les cas à multiples rechutes ont souvent des complications ainsi que des bacilles mutirésistants aux antituberculeux.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0572012 Président : ABDERRAHMANI RHORFI.I Directeur : ZOUHDI.M Juge : MESSAOUDI.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0572012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2012 Disponible LES RECHUTES DANS LE LYMPHOME DE BURKITT DE L’ENFANT. EXPERIENCE DU SERVICE D’HEMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PEDIATRIQUE DE RABAT / FASKAOUNE ATIKA
Titre : LES RECHUTES DANS LE LYMPHOME DE BURKITT DE L’ENFANT. EXPERIENCE DU SERVICE D’HEMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PEDIATRIQUE DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : FASKAOUNE ATIKA, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Enfant lymphome de Burkitt rechute chimiothérapie autogreffe child Burkitt lymphoma relapse chemotherapy autogenetic transplantation الطفل سرطان الغدد الليمفاوية بوركيت الانتكاس الطفل العلاج الكيميائي الطعم
الذاتيRésumé : Objectifs : décrire et analyser les rechutes du lymphome de Burkitt de l’enfant au service d’hématologie et oncologie pédiatrique (SHOP) de l’hôpital d’enfant de Rabat.
Matériels et méthodes : Etude rétrospective descriptive et analytique sur une période de 10 ans entre Aout 2009 et Aout 2019, rapportant les résultats de l’étude de 11 cas de rechute chez des enfants porteurs de lymphome de Burkitt.
Résultats : Une prédominance masculine a été notée avec un sex-ratio de 4.5. L’âge médian était de sept ans et 10 mois (2ans 7mois -15ans). Neuf patients ont été traités comme un groupe thérapeutique B initialement (82%) et deux patients ont été traités d’emblée comme groupe C. La principale localisation initiale est abdominale seule ou associée à d’autre localisation. Le délai médian de rechute après la rémission complète était de deux mois (intervalle de 1,5 mois à 12mois). Le siège de rechute le plus fréquent est le système nerveux central, le site de rechute était isolé chez 55% des cas et multiple chez 45%. Tous les patients ont reçu une chimiothérapie de rattrapage, 36% ont reçu du Rituximab et 36% ont reçu en plus une chimiothérapie haute dose avec autogreffe de cellules souches hématopoïétiques (CSH). Le taux de réponse à la chimiothérapie de rattrapage de première intention était de 36 %, un patient de notre série a présenté une 2ème rechute neuroméningée survenue huit mois après sa 2ème rémission complète (RC), ce patient a été mis en 3ème RC après une chimiothérapie à haute dose suivie d’autogreffe de CSH. La principale cause de décès dans notre série après traitement de rattrapage était la progression de la maladie (71%).Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0252023 Président : KILI Amina Directeur : EL KABABRI Maria Juge : EL KHOURASSANI Mohamed Juge : LAMALMI Najat Juge : HSSISSEN Laila LES RECHUTES DANS LE LYMPHOME DE BURKITT DE L’ENFANT. EXPERIENCE DU SERVICE D’HEMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PEDIATRIQUE DE RABAT [thèse] / FASKAOUNE ATIKA, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Enfant lymphome de Burkitt rechute chimiothérapie autogreffe child Burkitt lymphoma relapse chemotherapy autogenetic transplantation الطفل سرطان الغدد الليمفاوية بوركيت الانتكاس الطفل العلاج الكيميائي الطعم
الذاتيRésumé : Objectifs : décrire et analyser les rechutes du lymphome de Burkitt de l’enfant au service d’hématologie et oncologie pédiatrique (SHOP) de l’hôpital d’enfant de Rabat.
Matériels et méthodes : Etude rétrospective descriptive et analytique sur une période de 10 ans entre Aout 2009 et Aout 2019, rapportant les résultats de l’étude de 11 cas de rechute chez des enfants porteurs de lymphome de Burkitt.
Résultats : Une prédominance masculine a été notée avec un sex-ratio de 4.5. L’âge médian était de sept ans et 10 mois (2ans 7mois -15ans). Neuf patients ont été traités comme un groupe thérapeutique B initialement (82%) et deux patients ont été traités d’emblée comme groupe C. La principale localisation initiale est abdominale seule ou associée à d’autre localisation. Le délai médian de rechute après la rémission complète était de deux mois (intervalle de 1,5 mois à 12mois). Le siège de rechute le plus fréquent est le système nerveux central, le site de rechute était isolé chez 55% des cas et multiple chez 45%. Tous les patients ont reçu une chimiothérapie de rattrapage, 36% ont reçu du Rituximab et 36% ont reçu en plus une chimiothérapie haute dose avec autogreffe de cellules souches hématopoïétiques (CSH). Le taux de réponse à la chimiothérapie de rattrapage de première intention était de 36 %, un patient de notre série a présenté une 2ème rechute neuroméningée survenue huit mois après sa 2ème rémission complète (RC), ce patient a été mis en 3ème RC après une chimiothérapie à haute dose suivie d’autogreffe de CSH. La principale cause de décès dans notre série après traitement de rattrapage était la progression de la maladie (71%).Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0252023 Président : KILI Amina Directeur : EL KABABRI Maria Juge : EL KHOURASSANI Mohamed Juge : LAMALMI Najat Juge : HSSISSEN Laila Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0252023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible
Titre : LES RECHUTES DE LA SARCOïDOSE Type de document : thèse Auteurs : Sara EL HAJJOUJI, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sarcoïdose Facteurs de risque Rechute Sarcoidosis risk factors relapse الغرناویة عوامل الخطر الانتكاس Résumé : Introduction : La sarcoïdose est une maladie multi systémique dont l’évolution
clinique est très variable et le traitement est basé généralement sur les corticoïdes. Les
rechutes à son arrêt ne sont pas rares. Par conséquent, la prédiction des rechutes peut changer
l’évolutivité de la maladie.
But : L’objectif de notre étude est d’identifier les facteurs de risque de rechute de la sarcoïdose
Matériel et méthodes : C’est une étude rétrospective à visée analytique portant sur 110
patients, admis au sein du service de pneumologie de l'Hôpital Moulay Youssef de Rabat,
étalée sur une période de 7 ans, allant de janvier 2014 jusqu'au décembre 2021. L’analyse et la
saisie des données a été faite par le logiciel Excel Pro.
Résultats : 16.4% des patients ont rechuté minimum une seule fois. Les rechutes ont
survenu après un délai moyen de 5.1 ans avec une localisation médiastino-pulmonaire dans
tous les cas. Les facteurs de risque de rechute étaient : l’âge avancé, les comorbidités, les
antécédents de tabagisme, l’asthénie et l’amaigrissement au moment de la présentation
initiale, la forte activité de la maladie jugée par des critères cliniques et paracliniques, le
traitement par la corticothérapie.
Conclusion : Les patients âgés, les tabagiques, ceux ayant des comorbidités, ceux ayant
rapporté une asthénie ou un amaigrissement lors de la présentation initiale de la maladie, ceux
dont l’activité de leur maladie était assez forte sur le plan clinique ou paraclinique et/ou ceux
qui ont été traité par les corticoïdes sont plus susceptibles de rechuter au cours de l’évolution
de leur maladie. L’éducation thérapeutique, l’aide au sevrage tabagique, le suivi rapproché
des malades à risque de rechute, la prescription raisonnable de la corticothérapie et la
dégression progressive de ce médicament peuvent aider à améliorer l’évolution des patients et
permettre un meilleur contrôle de la maladie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0772022 Président : Jamal-Eddine BOURKADI Directeur : Jamal-Eddine BOURKADI Juge : Jouda BENAMOR Juge : Mouna SOUALHI Juge : Rachida ZAHRAOUI ; Karima MARC LES RECHUTES DE LA SARCOïDOSE [thèse] / Sara EL HAJJOUJI, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sarcoïdose Facteurs de risque Rechute Sarcoidosis risk factors relapse الغرناویة عوامل الخطر الانتكاس Résumé : Introduction : La sarcoïdose est une maladie multi systémique dont l’évolution
clinique est très variable et le traitement est basé généralement sur les corticoïdes. Les
rechutes à son arrêt ne sont pas rares. Par conséquent, la prédiction des rechutes peut changer
l’évolutivité de la maladie.
But : L’objectif de notre étude est d’identifier les facteurs de risque de rechute de la sarcoïdose
Matériel et méthodes : C’est une étude rétrospective à visée analytique portant sur 110
patients, admis au sein du service de pneumologie de l'Hôpital Moulay Youssef de Rabat,
étalée sur une période de 7 ans, allant de janvier 2014 jusqu'au décembre 2021. L’analyse et la
saisie des données a été faite par le logiciel Excel Pro.
Résultats : 16.4% des patients ont rechuté minimum une seule fois. Les rechutes ont
survenu après un délai moyen de 5.1 ans avec une localisation médiastino-pulmonaire dans
tous les cas. Les facteurs de risque de rechute étaient : l’âge avancé, les comorbidités, les
antécédents de tabagisme, l’asthénie et l’amaigrissement au moment de la présentation
initiale, la forte activité de la maladie jugée par des critères cliniques et paracliniques, le
traitement par la corticothérapie.
Conclusion : Les patients âgés, les tabagiques, ceux ayant des comorbidités, ceux ayant
rapporté une asthénie ou un amaigrissement lors de la présentation initiale de la maladie, ceux
dont l’activité de leur maladie était assez forte sur le plan clinique ou paraclinique et/ou ceux
qui ont été traité par les corticoïdes sont plus susceptibles de rechuter au cours de l’évolution
de leur maladie. L’éducation thérapeutique, l’aide au sevrage tabagique, le suivi rapproché
des malades à risque de rechute, la prescription raisonnable de la corticothérapie et la
dégression progressive de ce médicament peuvent aider à améliorer l’évolution des patients et
permettre un meilleur contrôle de la maladie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0772022 Président : Jamal-Eddine BOURKADI Directeur : Jamal-Eddine BOURKADI Juge : Jouda BENAMOR Juge : Mouna SOUALHI Juge : Rachida ZAHRAOUI ; Karima MARC Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0772022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M0772022URL SYNDROME NEPHROTIQUE CORTICODEPENDANT / Najoua BENHAMMADI
Titre : SYNDROME NEPHROTIQUE CORTICODEPENDANT Type de document : thèse Auteurs : Najoua BENHAMMADI, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome néphrotique Corticodépendant Rechute Immunosuppresseur Résumé : ntroduction : le syndrome néphrotique corticodépendant représente une forme particulière du
syndrome néphrotique, définie par la survenue d’une rechute pendant la diminution ou l’arrêt des
corticoïdes (dans les 3 mois selon la DF et dans les 15jours selon la DI)
Objectifs : Décrire le profil clinique, biologique, thérapeutique et évolutif du SNCD.
Matériels et méthodes : Etude rétrospective descriptive incluant les patients atteints de SNCD
de 2012 à 2023
Résultats : Six patients ont été colligés. L’âge médian de début de la maladie était à 24 ans
(extrêmes allant de 5 à 69 ans) avec un sexe ratio à 2. La symptomatologie initiale était dominée par le
syndrome œdémateux. La protéinurie moyenne était de 5,9 g/24h.La protidémie moyenne était de 45
g/l. L’albuminémie moyenne était de 18,2 g/l. La moyenne du DFG est de 129,3 ml/min /1.73m2
. La
dyslipidémie a été retrouvée chez 3 patients. Le type histologique le plus retrouvé était la LGM. La
durée moyenne de la maladie était de 7,33 ±3,9 ans avec un nombre moyen de rechute de 5 ± 1,53. La
corticothérapie représente le traitement de fond de première intention. Le recours aux
immunosuppresseurs a été fait chez 5 patients :3 pour la survenue de complications cortico-induites et
2 pour la multiplicité des rechutes. Les traitements utilisés sont le cyclophosphamide, la cyclosporine,
le MMF, le tacrolimus et le rituximab. Aux dernières nouvelles tous nos patients sont en rémission. Les
effets secondaires liées aux corticoïdes observés chez nos patients sont le faciès cushingoïde,
l’ostéoporose, l’acné et les vergetures abdominales.
Conclusion : Le syndrome néphrotique idiopathique corticodépendant constitue un défi
thérapeutique majeur nécessitant une gestion précise et une surveillance régulière.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0942024 Président : Rachid ABILKASSEM Directeur : Driss EL KABBAJ Juge : Kawtar HASSANI Juge : Dina IBRAHIM MOUNTASSER SYNDROME NEPHROTIQUE CORTICODEPENDANT [thèse] / Najoua BENHAMMADI, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syndrome néphrotique Corticodépendant Rechute Immunosuppresseur Résumé : ntroduction : le syndrome néphrotique corticodépendant représente une forme particulière du
syndrome néphrotique, définie par la survenue d’une rechute pendant la diminution ou l’arrêt des
corticoïdes (dans les 3 mois selon la DF et dans les 15jours selon la DI)
Objectifs : Décrire le profil clinique, biologique, thérapeutique et évolutif du SNCD.
Matériels et méthodes : Etude rétrospective descriptive incluant les patients atteints de SNCD
de 2012 à 2023
Résultats : Six patients ont été colligés. L’âge médian de début de la maladie était à 24 ans
(extrêmes allant de 5 à 69 ans) avec un sexe ratio à 2. La symptomatologie initiale était dominée par le
syndrome œdémateux. La protéinurie moyenne était de 5,9 g/24h.La protidémie moyenne était de 45
g/l. L’albuminémie moyenne était de 18,2 g/l. La moyenne du DFG est de 129,3 ml/min /1.73m2
. La
dyslipidémie a été retrouvée chez 3 patients. Le type histologique le plus retrouvé était la LGM. La
durée moyenne de la maladie était de 7,33 ±3,9 ans avec un nombre moyen de rechute de 5 ± 1,53. La
corticothérapie représente le traitement de fond de première intention. Le recours aux
immunosuppresseurs a été fait chez 5 patients :3 pour la survenue de complications cortico-induites et
2 pour la multiplicité des rechutes. Les traitements utilisés sont le cyclophosphamide, la cyclosporine,
le MMF, le tacrolimus et le rituximab. Aux dernières nouvelles tous nos patients sont en rémission. Les
effets secondaires liées aux corticoïdes observés chez nos patients sont le faciès cushingoïde,
l’ostéoporose, l’acné et les vergetures abdominales.
Conclusion : Le syndrome néphrotique idiopathique corticodépendant constitue un défi
thérapeutique majeur nécessitant une gestion précise et une surveillance régulière.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0942024 Président : Rachid ABILKASSEM Directeur : Driss EL KABBAJ Juge : Kawtar HASSANI Juge : Dina IBRAHIM MOUNTASSER Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0942024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible