Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
18 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Rituximab'
Affiner la recherche Faire une suggestion
Les cryoglobulinémies : Avancées diagnostiques et perspectives thérapeutiques / SOUILK Houda
Titre : Les cryoglobulinémies : Avancées diagnostiques et perspectives thérapeutiques Type de document : thèse Auteurs : SOUILK Houda, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : Cryoglobuline Vascularite Hépatite C Rituximab Interféron-alpha Résumé : Les cryoglobulines sont des globulines sériques dont la caractéristique est de précipiter, à une température inférieure à 37 °C, se ressolubiliser après réchauffement et entrainent de vascularitesdespetits etplus rarement vaisseaux de moyen calibre.
La cryoglobulinémie est un syndrome résultant d’une inflammation systémique due à la présence persistante dans le sang de cryoglobulinesde caractère monoclonal (type I) ou polyclonal.
Tous les acteurs du système immunitaire sont impliqués dans sa physiopathologie: immunitéhumorale et cellulaire B et T.
L’orientation étiologique est en grande partie déterminée par son type immunochimique.
Les cryoglobulinémies peuvent être secondaires à des hémopathies, des maladies auto-immunes ou des infections. La proportion des cryoglobulinémies essentielles est en forte diminution depuis quelques années depuis la découverte de l’implication du VHC dans les cryoglobulinémies.
Historiquement le tableau clinique se traduit par la triade : purpura, arthralgies et asthénie.
Les symptômes résultent de deux mécanismes principaux : précipitation intravasculaire de la cryoglobuline(ischémie) ou altération endothéliale par les complexes immuns responsable de vascularite (GNMP,neuropathiepériphérique,pneumopathies interstitielles, troubles endocriniens).
Son diagnostic repose essentiellement sur la mise en évidence de cryoglobuline dans le sérum nécessitant des précautions rigoureuses.
Biologiquement, on note souvent une hypocomplémentémie, présence du facteur rhumatoïde (cryoglobulinémie mixte) et/ou du composant M.
Le traitement des cryoglobulinémiesest d’abord étiologique ets'articule sur la réduction de la charge virale (cas du VHC) idéalement par une association interféron alpha pegylé et ribavirine, ensuite le contrôle des symptômes par le rituximab et la réduction de la quantité de cryoglobulines en agissant sur les lymphocytes B. L’adjonction du prednisone, des échanges plasmatiques ou d'autres immunosuppresseurs est discutée dans les formes sévères ou réfractaires.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0362018 Président : NAZIH.M Directeur : MASRAR.A Juge : DAMI.A Juge : BENKIRANE.S Les cryoglobulinémies : Avancées diagnostiques et perspectives thérapeutiques [thèse] / SOUILK Houda, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cryoglobuline Vascularite Hépatite C Rituximab Interféron-alpha Résumé : Les cryoglobulines sont des globulines sériques dont la caractéristique est de précipiter, à une température inférieure à 37 °C, se ressolubiliser après réchauffement et entrainent de vascularitesdespetits etplus rarement vaisseaux de moyen calibre.
La cryoglobulinémie est un syndrome résultant d’une inflammation systémique due à la présence persistante dans le sang de cryoglobulinesde caractère monoclonal (type I) ou polyclonal.
Tous les acteurs du système immunitaire sont impliqués dans sa physiopathologie: immunitéhumorale et cellulaire B et T.
L’orientation étiologique est en grande partie déterminée par son type immunochimique.
Les cryoglobulinémies peuvent être secondaires à des hémopathies, des maladies auto-immunes ou des infections. La proportion des cryoglobulinémies essentielles est en forte diminution depuis quelques années depuis la découverte de l’implication du VHC dans les cryoglobulinémies.
Historiquement le tableau clinique se traduit par la triade : purpura, arthralgies et asthénie.
Les symptômes résultent de deux mécanismes principaux : précipitation intravasculaire de la cryoglobuline(ischémie) ou altération endothéliale par les complexes immuns responsable de vascularite (GNMP,neuropathiepériphérique,pneumopathies interstitielles, troubles endocriniens).
Son diagnostic repose essentiellement sur la mise en évidence de cryoglobuline dans le sérum nécessitant des précautions rigoureuses.
Biologiquement, on note souvent une hypocomplémentémie, présence du facteur rhumatoïde (cryoglobulinémie mixte) et/ou du composant M.
Le traitement des cryoglobulinémiesest d’abord étiologique ets'articule sur la réduction de la charge virale (cas du VHC) idéalement par une association interféron alpha pegylé et ribavirine, ensuite le contrôle des symptômes par le rituximab et la réduction de la quantité de cryoglobulines en agissant sur les lymphocytes B. L’adjonction du prednisone, des échanges plasmatiques ou d'autres immunosuppresseurs est discutée dans les formes sévères ou réfractaires.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0362018 Président : NAZIH.M Directeur : MASRAR.A Juge : DAMI.A Juge : BENKIRANE.S Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0362018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M0362018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible DONNEES EPIDEMIOLOGIQUES, PHYSIOPATHOLOGIQUES, CLINIQUES ET THERAPEUTIQUES DES LYMPHOMES DU TUBE DIGESTIF / AIT OUBAH WIAM
Titre : DONNEES EPIDEMIOLOGIQUES, PHYSIOPATHOLOGIQUES, CLINIQUES ET THERAPEUTIQUES DES LYMPHOMES DU TUBE DIGESTIF Type de document : thèse Auteurs : AIT OUBAH WIAM, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lymphome non hodgkinien H. Pylori Biopsie endoscopique Chimiothérapie Rituximab Non-Hodgkin lymphoma H. Pylori endoscopic biopsy chemotherapy Rituximab سرطان الغدد الليمفاوية اللاهودجكينية H. Pylori الخزعة بالمنظار العلاج
الكيميائي ريتوكسيمابRésumé : Les lymphomes du tube digestif sont des lymphomes non hodgkiniens extraganglionnaires qui regroupent différentes entités anatomocliniques. Les BCL sont les plus fréquents et le site les plus fréquemment touché est l’estomac. Cependant, Les lymphomes gastro-intestinaux restent rares.
L’objectif de notre travail est de mettre le point sur les données épidémiologiques, physiopathologiques, cliniques et thérapeutiques des lymphomes du tube digestif.
La prolifération maligne de ces cellules T ou B suite à une dérégulation du cycle cellulaire peut être à l’origine du lymphome. Des facteurs de risque peuvent être à l’origine de cette transformation lymphocytaire comme : Le H. Pylori, la maladie coeliaque, le déficit immunitaire, etc.
La dernière classification d’OMS en 2016 classifient ces lymphomes en se basant sur leur caractéristiques morphologiques et immunohistochimiques. Il s’agit de lymphome B ou lymphome T avec divers sous-entités.
Cliniquement, leur symptomatologie est non spécifique et varie selon la localisation. Le diagnostic est souvent confirmé par des biopsies endoscopiques. Le bilan d’extension comporte plusieurs examens cliniques, biologiques et endoscopiques. Grâce à ce bilan, le lymphome peut être classé selon la classification d’Ann Arbor modifiée par Musshof ou d’autres classifications spécifiques du tube digestif. En effet, l’IPI permet d’évaluer le pronostic des LPTD et conditionne leur prise en charge qui est multidisciplinaire. Les principales modalités du traitement sont : La chimiothérapie, la radiothérapie, l’immunothérapie, la chirurgie et l’antibiothérapie. Actuellement, le rôle de la radiothérapie et de la chirurgie est limité. L’indication du Rituximab a révolutionné leur prise en charge. En cas de difficulté, une autogreffe des cellules souches peut être nécessaire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4892022 Président : Azlarab MASRAR Directeur : Souad BENKIRANE Juge : Anass JEAIDI Juge : Hafid ZAHID DONNEES EPIDEMIOLOGIQUES, PHYSIOPATHOLOGIQUES, CLINIQUES ET THERAPEUTIQUES DES LYMPHOMES DU TUBE DIGESTIF [thèse] / AIT OUBAH WIAM, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Lymphome non hodgkinien H. Pylori Biopsie endoscopique Chimiothérapie Rituximab Non-Hodgkin lymphoma H. Pylori endoscopic biopsy chemotherapy Rituximab سرطان الغدد الليمفاوية اللاهودجكينية H. Pylori الخزعة بالمنظار العلاج
الكيميائي ريتوكسيمابRésumé : Les lymphomes du tube digestif sont des lymphomes non hodgkiniens extraganglionnaires qui regroupent différentes entités anatomocliniques. Les BCL sont les plus fréquents et le site les plus fréquemment touché est l’estomac. Cependant, Les lymphomes gastro-intestinaux restent rares.
L’objectif de notre travail est de mettre le point sur les données épidémiologiques, physiopathologiques, cliniques et thérapeutiques des lymphomes du tube digestif.
La prolifération maligne de ces cellules T ou B suite à une dérégulation du cycle cellulaire peut être à l’origine du lymphome. Des facteurs de risque peuvent être à l’origine de cette transformation lymphocytaire comme : Le H. Pylori, la maladie coeliaque, le déficit immunitaire, etc.
La dernière classification d’OMS en 2016 classifient ces lymphomes en se basant sur leur caractéristiques morphologiques et immunohistochimiques. Il s’agit de lymphome B ou lymphome T avec divers sous-entités.
Cliniquement, leur symptomatologie est non spécifique et varie selon la localisation. Le diagnostic est souvent confirmé par des biopsies endoscopiques. Le bilan d’extension comporte plusieurs examens cliniques, biologiques et endoscopiques. Grâce à ce bilan, le lymphome peut être classé selon la classification d’Ann Arbor modifiée par Musshof ou d’autres classifications spécifiques du tube digestif. En effet, l’IPI permet d’évaluer le pronostic des LPTD et conditionne leur prise en charge qui est multidisciplinaire. Les principales modalités du traitement sont : La chimiothérapie, la radiothérapie, l’immunothérapie, la chirurgie et l’antibiothérapie. Actuellement, le rôle de la radiothérapie et de la chirurgie est limité. L’indication du Rituximab a révolutionné leur prise en charge. En cas de difficulté, une autogreffe des cellules souches peut être nécessaire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4892022 Président : Azlarab MASRAR Directeur : Souad BENKIRANE Juge : Anass JEAIDI Juge : Hafid ZAHID Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4892022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M4892022URL ETUDE PROSPECTIVE EVALUANT L'interet du rituximab en association a la chimiotherapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens b, cd 20+ experience du service d'oncologie medical a l'institut national d'oncologie / INRHAOUN HANANE
Titre : ETUDE PROSPECTIVE EVALUANT L'interet du rituximab en association a la chimiotherapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens b, cd 20+ experience du service d'oncologie medical a l'institut national d'oncologie Type de document : thèse Auteurs : INRHAOUN HANANE, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rituximab Anticorps monoclonal LNH Prospective Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les lymphomes non hodgkiniens (LNH) représentent un groupe hétérogène de proliférations malignes du système lymphoïde. Leur hétérogénéité se traduit par des présentations cliniques, morphologiques, immunologiques et cytogénétiques variées qui expliquent leurs différentes classifications dont la dernière en date a été publiée en 2001 sous l’égide de l’OMS.
Les LNH occupent le cinquième rang des cancres, en raison d’un triplement de leur incidence en vingt ans. Les causes de cette augmentation restent inconnues, mais leur prise en charge thérapeutique a connu d’importants progrès tel l’avènement du rituximab ou l’anti-CD20. Ce dernier a été le premier anticorps monoclonal chimérique commercialisé. Aujourd’hui son efficacité a été largement démontrée dans le traitement des LNH à grandes cellules B, CD 20+.
Notre travail est une étude prospective s’étalant du Janvier 2003 à septembre 2008. Elle vise à montrer l’intérêt de l’association du rituximab à la chimiothérapie, dans le traitement des LNH CD 20+, chez 36 malades dont les localisations et l’histologie sont très variées. Tous les patients ont été pris en charge dans le service d’oncologie médicale à l’institut national d’oncologie à Rabat. Le rituximab a permis d’obtenir 13 rémissions complètes dans les lymphomes ganglionnaires, et 5 réponses complètes dans les autres localisations. Ces réponses ont été maintenues durant toute la période que couvre notre travail avec une bonne tolérance. Ceci rejoint les données de la littérature qui confirment que le rituximab joue un rôle majeur dans le traitement des LNH B.
Le rituximab a révolutionné le traitement des LNH B, mais son coût élevé demeure un obstacle de taille qui empêche de le standardiser et d’en faire bénéficier tous les patients notamment dans notre pays.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1562008 Président : EL KHALIL EL GUEDDARI BRAHIM Directeur : ERRIHANI HASSAN Juge : CHAMI ILHAM ETUDE PROSPECTIVE EVALUANT L'interet du rituximab en association a la chimiotherapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens b, cd 20+ experience du service d'oncologie medical a l'institut national d'oncologie [thèse] / INRHAOUN HANANE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Rituximab Anticorps monoclonal LNH Prospective Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les lymphomes non hodgkiniens (LNH) représentent un groupe hétérogène de proliférations malignes du système lymphoïde. Leur hétérogénéité se traduit par des présentations cliniques, morphologiques, immunologiques et cytogénétiques variées qui expliquent leurs différentes classifications dont la dernière en date a été publiée en 2001 sous l’égide de l’OMS.
Les LNH occupent le cinquième rang des cancres, en raison d’un triplement de leur incidence en vingt ans. Les causes de cette augmentation restent inconnues, mais leur prise en charge thérapeutique a connu d’importants progrès tel l’avènement du rituximab ou l’anti-CD20. Ce dernier a été le premier anticorps monoclonal chimérique commercialisé. Aujourd’hui son efficacité a été largement démontrée dans le traitement des LNH à grandes cellules B, CD 20+.
Notre travail est une étude prospective s’étalant du Janvier 2003 à septembre 2008. Elle vise à montrer l’intérêt de l’association du rituximab à la chimiothérapie, dans le traitement des LNH CD 20+, chez 36 malades dont les localisations et l’histologie sont très variées. Tous les patients ont été pris en charge dans le service d’oncologie médicale à l’institut national d’oncologie à Rabat. Le rituximab a permis d’obtenir 13 rémissions complètes dans les lymphomes ganglionnaires, et 5 réponses complètes dans les autres localisations. Ces réponses ont été maintenues durant toute la période que couvre notre travail avec une bonne tolérance. Ceci rejoint les données de la littérature qui confirment que le rituximab joue un rôle majeur dans le traitement des LNH B.
Le rituximab a révolutionné le traitement des LNH B, mais son coût élevé demeure un obstacle de taille qui empêche de le standardiser et d’en faire bénéficier tous les patients notamment dans notre pays.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1562008 Président : EL KHALIL EL GUEDDARI BRAHIM Directeur : ERRIHANI HASSAN Juge : CHAMI ILHAM Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1562008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible EVALUATION DES EFFETS INDESIRABLES DU RITUXIMAB DANS LA PRISE EN CHARGE DU PEMPHIGUS / Meryem ELOMARI ALAOUI
Titre : EVALUATION DES EFFETS INDESIRABLES DU RITUXIMAB DANS LA PRISE EN CHARGE DU PEMPHIGUS Type de document : thèse Auteurs : Meryem ELOMARI ALAOUI, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : pemphigus rituximab effets indésirables Résumé : Introduction :
La prise en charge du pemphigus dépend de la gravité et de l'étendue des lésions.
Historiquement, une corticothérapie systémique seule ou associée à des immunosuppresseurs
était le traitement de première intention. Cependant, l'utilisation récente du rituximab a
considérablement amélioré l'arsenal thérapeutique, offrant un avantage clair en première ligne
de traitement.L’objectif de l’étude est d’évaluer la tolérance du RTX et de chercher les facteurs
de risque associés aux effets indésirables du médicament.
Matériel et méthode : il s’agit d’une étude descriptive analytique rétro prospective uni
centrique au sein du service de dermatologie du CHU Ibn Sina Rabat et ceci de 2020 à 2023
Résultats 130 malades ont été inclus dans notre étude dont 27 ont présenté des effets
indésirables suite au traitement par le Rituximab : 55,5% étaient dans le groupe « naïf »
contre 44,4% étaient dans le groupe « non naïf ». Dans le groupe non naïf 5 patients étaient
sous corticothérapie seule contre 10 étaient sous corticothérapie et IS.Plus de 60% de patients
ont fait des effets secondaire liés à la perfusion , contre juste 18,5% ont fait des réactions sévères
nécessitant l’arrêt de la perfusion et la contre-indication de toute reprise ultérieure. 66% des
patients qui ont les effets indésirables ont reçu plus de trois cures, alors que 22,2% ont reçu
qu’une seule cure. Et pour la dose cumulée de ritux la majorité des patients soit 59,2% ont reçu
plus de 1,5g.
Conclusion : Des études nationales multicentriques et prospective, ont évalué l’efficacité
du rituximab mais pas d’études qui ont évalué sa tolérance à long terme d’où la nécessité de
mener des études prospectives plus larges pour évaluer sa tolérance à long terme dans le
traitement du pemphigusNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS0392024 Directeur : Karima SENOUCI EVALUATION DES EFFETS INDESIRABLES DU RITUXIMAB DANS LA PRISE EN CHARGE DU PEMPHIGUS [thèse] / Meryem ELOMARI ALAOUI, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : pemphigus rituximab effets indésirables Résumé : Introduction :
La prise en charge du pemphigus dépend de la gravité et de l'étendue des lésions.
Historiquement, une corticothérapie systémique seule ou associée à des immunosuppresseurs
était le traitement de première intention. Cependant, l'utilisation récente du rituximab a
considérablement amélioré l'arsenal thérapeutique, offrant un avantage clair en première ligne
de traitement.L’objectif de l’étude est d’évaluer la tolérance du RTX et de chercher les facteurs
de risque associés aux effets indésirables du médicament.
Matériel et méthode : il s’agit d’une étude descriptive analytique rétro prospective uni
centrique au sein du service de dermatologie du CHU Ibn Sina Rabat et ceci de 2020 à 2023
Résultats 130 malades ont été inclus dans notre étude dont 27 ont présenté des effets
indésirables suite au traitement par le Rituximab : 55,5% étaient dans le groupe « naïf »
contre 44,4% étaient dans le groupe « non naïf ». Dans le groupe non naïf 5 patients étaient
sous corticothérapie seule contre 10 étaient sous corticothérapie et IS.Plus de 60% de patients
ont fait des effets secondaire liés à la perfusion , contre juste 18,5% ont fait des réactions sévères
nécessitant l’arrêt de la perfusion et la contre-indication de toute reprise ultérieure. 66% des
patients qui ont les effets indésirables ont reçu plus de trois cures, alors que 22,2% ont reçu
qu’une seule cure. Et pour la dose cumulée de ritux la majorité des patients soit 59,2% ont reçu
plus de 1,5g.
Conclusion : Des études nationales multicentriques et prospective, ont évalué l’efficacité
du rituximab mais pas d’études qui ont évalué sa tolérance à long terme d’où la nécessité de
mener des études prospectives plus larges pour évaluer sa tolérance à long terme dans le
traitement du pemphigusNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS0392024 Directeur : Karima SENOUCI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0392024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible L’EVALUATION DU RITUXIMAB DANS LA PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU LUPUS ERYTHEMATEUX DISSEMINE / SAFAA EL MOUHIB
Titre : L’EVALUATION DU RITUXIMAB DANS LA PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU LUPUS ERYTHEMATEUX DISSEMINE Type de document : thèse Auteurs : SAFAA EL MOUHIB, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : Lupus érythémateux systémique Rituximab Traitement Résumé : Introduction : Les manifestations du lupus érythémateux systémique (LES) peuvent engager
le pronostic vital et fonctionnel. L’objectif de l’étude était d’analyser l’efficacité et la tolérance
du Rituximab dans le traitement du LES. Les critères de réponse au traitement étaient ceux de
l’ EULAR 2019.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective incluant 17 patients atteints de LES
traités par Rituximab entre Janvier 2012 et Février 2020. Les cas ont été colligés au service de
Médecine Interne du CHU Ibn Sina de Rabat. Les patients inclus répondaient aux critères de
l’ACR 1997 et la SLICC 2012.
Résultats : L’âge moyen était de 37,29 ans (20-68 ans) avec une nette prédominance féminine.
Les atteintes cliniques prévalentes étaient : l’atteinte cutanée chez 17 (94,11%) cas, articulaire
n= 15 (88,2 %) cas, rénale chez 14 (82,35 %) cas, hématologique chez 13 (76,4 %) cas. La
durée moyenne du suivi après Rituximab était de 30 mois. La réponse rénale au Rituximab était
complète dans 5/12 (42 %) cas, 4/12 (34 %) cas avaient une réponse rénale partielle et 3/12
(25%) cas présentaient un échec thérapeutique. Pour l’atteinte hématologique, une réponse
hématologique complète était notée chez 3/6 (50 %) patients et une réponse partielle chez 2/6
(33,3 %). Les principales complications liées au traitement était des pneumopathies et
infections urinaires sévères liées au Cyclophosphamide survenues chez 5 (29,5%) patients.
Conclusion : Le Rituximab constitue un traitement salvateur au cours du LES. Les résultats de
notre étude sont positifs notamment au cours des tableaux hématologiques et la néphropathie
lupique réfractaire aux immunosuppresseurs. Un nombre plus important de patients serait
nécessaire pour mieux évaluer cette réponse.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2762022 Président : Hicham HARMOUCH Directeur : Wafa AMMOURI Juge : Driss EL KABBAJ Juge : Jamal FATIHI Juge : Hajar Khibri L’EVALUATION DU RITUXIMAB DANS LA PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU LUPUS ERYTHEMATEUX DISSEMINE [thèse] / SAFAA EL MOUHIB, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Lupus érythémateux systémique Rituximab Traitement Résumé : Introduction : Les manifestations du lupus érythémateux systémique (LES) peuvent engager
le pronostic vital et fonctionnel. L’objectif de l’étude était d’analyser l’efficacité et la tolérance
du Rituximab dans le traitement du LES. Les critères de réponse au traitement étaient ceux de
l’ EULAR 2019.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective incluant 17 patients atteints de LES
traités par Rituximab entre Janvier 2012 et Février 2020. Les cas ont été colligés au service de
Médecine Interne du CHU Ibn Sina de Rabat. Les patients inclus répondaient aux critères de
l’ACR 1997 et la SLICC 2012.
Résultats : L’âge moyen était de 37,29 ans (20-68 ans) avec une nette prédominance féminine.
Les atteintes cliniques prévalentes étaient : l’atteinte cutanée chez 17 (94,11%) cas, articulaire
n= 15 (88,2 %) cas, rénale chez 14 (82,35 %) cas, hématologique chez 13 (76,4 %) cas. La
durée moyenne du suivi après Rituximab était de 30 mois. La réponse rénale au Rituximab était
complète dans 5/12 (42 %) cas, 4/12 (34 %) cas avaient une réponse rénale partielle et 3/12
(25%) cas présentaient un échec thérapeutique. Pour l’atteinte hématologique, une réponse
hématologique complète était notée chez 3/6 (50 %) patients et une réponse partielle chez 2/6
(33,3 %). Les principales complications liées au traitement était des pneumopathies et
infections urinaires sévères liées au Cyclophosphamide survenues chez 5 (29,5%) patients.
Conclusion : Le Rituximab constitue un traitement salvateur au cours du LES. Les résultats de
notre étude sont positifs notamment au cours des tableaux hématologiques et la néphropathie
lupique réfractaire aux immunosuppresseurs. Un nombre plus important de patients serait
nécessaire pour mieux évaluer cette réponse.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2762022 Président : Hicham HARMOUCH Directeur : Wafa AMMOURI Juge : Driss EL KABBAJ Juge : Jamal FATIHI Juge : Hajar Khibri Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2762022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M2762022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M2762022URL Impact budgétaire de l’introduction du rituximab après échec du méthotrexate dans la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde : Hôpital El Ayachi. / Généviève Adjo AFANTCHAO
Titre : Impact budgétaire de l’introduction du rituximab après échec du méthotrexate dans la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde : Hôpital El Ayachi. Type de document : thèse Auteurs : Généviève Adjo AFANTCHAO, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Impact budgétaire rituximab méthotrexate polyarthrite rhumatoïde biothérapie. Résumé : Objectifs: Le but de cette étude est d’évaluer l’impact sur le budget d’un hôpital de l’introduction d’une biothérapie, le rituximab, dans la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde après échec d’un traitement classique, le méthotrexate.
Méthodes: Il s’agit d’une analyse d’impact budgétaire incluant les patients de l’Hôpital El Ayachi souffrant d’une polyarthrite rhumatoïde sévère, ayant reçu le rituximab durant la période allant du 15 juillet 2014 au 15 juillet 2015 et bénéficiant du Régime d’Assistance Médicale (RAMED). Nous avons mis en comparaison deux stratégies : la stratégie A, méthotrexate seul et la stratégie B, rituximab + méthotrexate. Afin de comparer le coût global annuel des deux stratégies thérapeutiques, les données sur les coûts annuels des traitements, hospitalisations et consultations, bilans biologiques et radiologiques et autres examens d’imagerie ont été collectées.
Résultats: Parmi les patients ayant reçu le rituximab durant la période des 12 mois, 68% bénéficiaient du RAMED. Ce qui correspond à 47 patients.
Le coût annuel par patient revenait à 8.859,60 MAD avec la stratégie A contre 71.560,92 MAD avec la stratégie B. Ce qui correspond à des coûts globaux annuels respectifs de 416.401,20 MAD et 3.363.363,24 MAD pour l’hôpital, soit un ratio de 1 sur 8.
Conclusion: L’introduction du rituximab après échec du méthotrexate dans la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde a un impact important sur le budget de l’Hôpital El Ayachi. La prise en charge des patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde sévère et bénéficiant du Régime d’Assurance Maladie demande donc une gestion particulière du budget de l’établissement de soins.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0152016 Président : NAJJAJ HASSOUNI.N Directeur : AHID .S Juge : CHERRAH.Y Juge : AMINE.B Juge : RKAIN.H Impact budgétaire de l’introduction du rituximab après échec du méthotrexate dans la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde : Hôpital El Ayachi. [thèse] / Généviève Adjo AFANTCHAO, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Impact budgétaire rituximab méthotrexate polyarthrite rhumatoïde biothérapie. Résumé : Objectifs: Le but de cette étude est d’évaluer l’impact sur le budget d’un hôpital de l’introduction d’une biothérapie, le rituximab, dans la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde après échec d’un traitement classique, le méthotrexate.
Méthodes: Il s’agit d’une analyse d’impact budgétaire incluant les patients de l’Hôpital El Ayachi souffrant d’une polyarthrite rhumatoïde sévère, ayant reçu le rituximab durant la période allant du 15 juillet 2014 au 15 juillet 2015 et bénéficiant du Régime d’Assistance Médicale (RAMED). Nous avons mis en comparaison deux stratégies : la stratégie A, méthotrexate seul et la stratégie B, rituximab + méthotrexate. Afin de comparer le coût global annuel des deux stratégies thérapeutiques, les données sur les coûts annuels des traitements, hospitalisations et consultations, bilans biologiques et radiologiques et autres examens d’imagerie ont été collectées.
Résultats: Parmi les patients ayant reçu le rituximab durant la période des 12 mois, 68% bénéficiaient du RAMED. Ce qui correspond à 47 patients.
Le coût annuel par patient revenait à 8.859,60 MAD avec la stratégie A contre 71.560,92 MAD avec la stratégie B. Ce qui correspond à des coûts globaux annuels respectifs de 416.401,20 MAD et 3.363.363,24 MAD pour l’hôpital, soit un ratio de 1 sur 8.
Conclusion: L’introduction du rituximab après échec du méthotrexate dans la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde a un impact important sur le budget de l’Hôpital El Ayachi. La prise en charge des patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde sévère et bénéficiant du Régime d’Assurance Maladie demande donc une gestion particulière du budget de l’établissement de soins.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0152016 Président : NAJJAJ HASSOUNI.N Directeur : AHID .S Juge : CHERRAH.Y Juge : AMINE.B Juge : RKAIN.H Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0152016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible P0152016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible INTERET DE RITUXIMAB DANS LE PEMPHIGUS (EVALUATION A M18) / Amani FLITI
Titre : INTERET DE RITUXIMAB DANS LE PEMPHIGUS (EVALUATION A M18) Type de document : thèse Auteurs : Amani FLITI, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : pemphigus Rituximab rémission rechute Résumé : Introduction : Le rituximab anti-CD20, représente une avancée majeure dans le
traitement du pemphigus. L'objectif de notre travail est d'évaluer l'efficacité des cures
répétitives de RTX jusqu'à la cure M18 dans le traitement du pemphigus.
Matériels et méthodes : une étude uni-centrique rétro prospective transversale
descriptive et analytique au sein du service de dermatologie du CHU Ibn Sina de Rabat sur une
période de 20 ans de 2003 à 2023.
Résultats : 69 malades avec un sexe ratio F/H=1.65 et un âge moyen de 49 ans, le délai
moyen de consultation était 13.64 semaines. 43.5% des patients avaient un pemphigus vulgaire
et 76.8% un PDAI sévère. Le RTX a été indique dans 50.7% des cas chez des patients « naïf »
et dans 49.3% des cas chez des patients « non naïf » (37.7% entaient en rechute, 11.6% avaient
un pemphigus récalcitrant). La durée moyenne de la phase de consolidation était de
5.6semaines. à M6 46.4% étaient des bons répondeurs, La rémission complète a été acquise sur
un temps moyen de 6.5 mois chez 82.6% des patients à M6, 89.9% à M12 et 97.1% à M18
prouvant l’efficacité de RTX en première intention en terme d’obtenir une rémission complète
à M18 (p<0.05). La dose moyenne de prednisone à J1 était de 80mg et 4.8mg à M18. 15.9%
ont rechuté sur une durée moyenne de 19.9mois
81,8 % des cas de rechute concernaient des patients pour lesquels une cure n’a pas été
administrée. 30 cas ont reçu une cure à M24.
Conclusion : Nos résultats mettent en évidence une efficacité notable du RTX en
première intention pour obtenir une rémission complète à M18 et elle constitue une référence
pour l'élaboration d'études multicentriques en vue d'établir un protocole national de prise en
charge du pemphigus, adapté à la population marocaine.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS040203 Directeur : Karima SENOUCI INTERET DE RITUXIMAB DANS LE PEMPHIGUS (EVALUATION A M18) [thèse] / Amani FLITI, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : pemphigus Rituximab rémission rechute Résumé : Introduction : Le rituximab anti-CD20, représente une avancée majeure dans le
traitement du pemphigus. L'objectif de notre travail est d'évaluer l'efficacité des cures
répétitives de RTX jusqu'à la cure M18 dans le traitement du pemphigus.
Matériels et méthodes : une étude uni-centrique rétro prospective transversale
descriptive et analytique au sein du service de dermatologie du CHU Ibn Sina de Rabat sur une
période de 20 ans de 2003 à 2023.
Résultats : 69 malades avec un sexe ratio F/H=1.65 et un âge moyen de 49 ans, le délai
moyen de consultation était 13.64 semaines. 43.5% des patients avaient un pemphigus vulgaire
et 76.8% un PDAI sévère. Le RTX a été indique dans 50.7% des cas chez des patients « naïf »
et dans 49.3% des cas chez des patients « non naïf » (37.7% entaient en rechute, 11.6% avaient
un pemphigus récalcitrant). La durée moyenne de la phase de consolidation était de
5.6semaines. à M6 46.4% étaient des bons répondeurs, La rémission complète a été acquise sur
un temps moyen de 6.5 mois chez 82.6% des patients à M6, 89.9% à M12 et 97.1% à M18
prouvant l’efficacité de RTX en première intention en terme d’obtenir une rémission complète
à M18 (p<0.05). La dose moyenne de prednisone à J1 était de 80mg et 4.8mg à M18. 15.9%
ont rechuté sur une durée moyenne de 19.9mois
81,8 % des cas de rechute concernaient des patients pour lesquels une cure n’a pas été
administrée. 30 cas ont reçu une cure à M24.
Conclusion : Nos résultats mettent en évidence une efficacité notable du RTX en
première intention pour obtenir une rémission complète à M18 et elle constitue une référence
pour l'élaboration d'études multicentriques en vue d'établir un protocole national de prise en
charge du pemphigus, adapté à la population marocaine.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS040203 Directeur : Karima SENOUCI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0402024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible LEUCEMIE A TRICHOLEUCOCYTES : EXPERIENCE DU SERVICE D’HEMATOLOGIE CLINIQUE DE L’HMIMV DE RABAT / Hajar EL HANNACH
Titre : LEUCEMIE A TRICHOLEUCOCYTES : EXPERIENCE DU SERVICE D’HEMATOLOGIE CLINIQUE DE L’HMIMV DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : Hajar EL HANNACH, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Leucémie à tricholeucocytes BRAF V600E Analogues des purines Rituximab Inhibteurs de BRAF Hairy cell leukemia BRAF V600E Purine analogues Rituximab BRAF inhibitors ابيضاض الدم مشعر الخلايا BRAFV600E نظائر البيروين – – Rituximab مثبطات Résumé : La leucémie à tricholeucocytes (HCL) est un syndrome lymphoprolifératif B chronique, rare, dont le diagnostic repose sur l’identification des cellules tumorales dans le sang, la moelle et/ou la rate et sur l’analyse par cytométrie en flux des tricholeucocytes. Le traitement de première ligne de la HCL repose essentiellement sur les analogues des purines (PNA) associés ou non au Rituximab.
Il s’agit d’une étude rétrospective, mono-centrique portant sur l’ensemble des patients porteurs d’une leucémie à tricholeucocytes colligés au service d’Hématologie Clinique de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V depuis la création du service en 2006 jusqu’en Mai 2022.
Au total, huit patients ont été inclus, la médiane d’âge au diagnostic était de 54 ans ; le sexe ratio H/F était de 7. La découverte fortuite d’une cytopénie était rencontrée chez 3 patients (37,5%). À l’examen physique, la splénomégalie était présente dans 87,5 % des cas au moment du diagnostic.
Le diagnostic positif reposait sur l’identification des tricholeucocytes dans le sang périphérique et sur leurs caractéristiques immunophénotypiques. Le score diagnostique était de ¾ dans 87,5% des cas.
La réponse globale (OR) était de 75% pour tous les traitements. La réponse complète (RC) à la Cladribine était de 100%, la réponse au Rituximab seul était de 0%. La durée médiane du suivi était de 102 mois, la survie globale (OS) à 102 mois était de 100% et la survie sans progression (PFS) à 24 mois et 5 ans était de 75% et 50% respectivement.
La découverte de la mutation du gène BRAF (V600E) en 2011 représente une avancée importante dans la compréhension de la physiopathologie de la HCL-C. Les inhibiteurs de BRAF, associés ou non aux inhibiteurs de MEK, ainsi que le Moxetumomab-Pasudotox constituent actuellement des alternatives thérapeutiques importantes en cas de HCL en rechute ou réfractaire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0912022 Président : Abdelkader BELMEKKI Directeur : Kamal DOGHMI ; Selim JENNANE Co-Rapporteur Juge : Mohamed OUKABLI Juge : Azlarab MASRAR Juge : Hicham EL MAAROUFI LEUCEMIE A TRICHOLEUCOCYTES : EXPERIENCE DU SERVICE D’HEMATOLOGIE CLINIQUE DE L’HMIMV DE RABAT [thèse] / Hajar EL HANNACH, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Leucémie à tricholeucocytes BRAF V600E Analogues des purines Rituximab Inhibteurs de BRAF Hairy cell leukemia BRAF V600E Purine analogues Rituximab BRAF inhibitors ابيضاض الدم مشعر الخلايا BRAFV600E نظائر البيروين – – Rituximab مثبطات Résumé : La leucémie à tricholeucocytes (HCL) est un syndrome lymphoprolifératif B chronique, rare, dont le diagnostic repose sur l’identification des cellules tumorales dans le sang, la moelle et/ou la rate et sur l’analyse par cytométrie en flux des tricholeucocytes. Le traitement de première ligne de la HCL repose essentiellement sur les analogues des purines (PNA) associés ou non au Rituximab.
Il s’agit d’une étude rétrospective, mono-centrique portant sur l’ensemble des patients porteurs d’une leucémie à tricholeucocytes colligés au service d’Hématologie Clinique de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V depuis la création du service en 2006 jusqu’en Mai 2022.
Au total, huit patients ont été inclus, la médiane d’âge au diagnostic était de 54 ans ; le sexe ratio H/F était de 7. La découverte fortuite d’une cytopénie était rencontrée chez 3 patients (37,5%). À l’examen physique, la splénomégalie était présente dans 87,5 % des cas au moment du diagnostic.
Le diagnostic positif reposait sur l’identification des tricholeucocytes dans le sang périphérique et sur leurs caractéristiques immunophénotypiques. Le score diagnostique était de ¾ dans 87,5% des cas.
La réponse globale (OR) était de 75% pour tous les traitements. La réponse complète (RC) à la Cladribine était de 100%, la réponse au Rituximab seul était de 0%. La durée médiane du suivi était de 102 mois, la survie globale (OS) à 102 mois était de 100% et la survie sans progression (PFS) à 24 mois et 5 ans était de 75% et 50% respectivement.
La découverte de la mutation du gène BRAF (V600E) en 2011 représente une avancée importante dans la compréhension de la physiopathologie de la HCL-C. Les inhibiteurs de BRAF, associés ou non aux inhibiteurs de MEK, ainsi que le Moxetumomab-Pasudotox constituent actuellement des alternatives thérapeutiques importantes en cas de HCL en rechute ou réfractaire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0912022 Président : Abdelkader BELMEKKI Directeur : Kamal DOGHMI ; Selim JENNANE Co-Rapporteur Juge : Mohamed OUKABLI Juge : Azlarab MASRAR Juge : Hicham EL MAAROUFI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0912022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M0912022URL LYMPHOMES MALINS NON HODGKINIENS EXTRA GANGLIONNAIRES DE LA SPHERE ORL / BAKR REGRAGUI
Titre : LYMPHOMES MALINS NON HODGKINIENS EXTRA GANGLIONNAIRES DE LA SPHERE ORL Type de document : thèse Auteurs : BAKR REGRAGUI, Auteur Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : LMNH EXTRA GANGLIONNAIRES HISTOLOGIE IMMUNOHISTOCHIMIE BILAN D’EXTENSION RITUXIMAB Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Dans la région tête et cou, 23%-30% des lymphomes ont une présentation extraganglionnaire. L’atteinte concerne dans plus de la moitié des cas l’anneau de Waldeyer mais la maladie peut également intéresser les cavités nasosinusiennes, les glandes salivaires, la cavité buccale, la mandibule, le Larynx ou encore la thyroïde.
Dans notre étude, nous rapportons 78 cas de LMNH extraganglionnaire de la sphère ORL. L’âge moyen était de 51 ans, le sex ratio de 1H/2F. Le site d’atteinte était dans 53% des cas l’anneau de Waldeyer.
Les circonstances du diagnostic et l’imagerie ne sont guère spécifiques. Seule la biopsie tumorale permet de poser le diagnostique. L’analyse histologique couplé dans la majorité des cas à l’IHC a permis de porter le diagnostic.
Histologiquement c’est le LDGB qui est le plus fréquent représentant plus de la moitié des cas répertoriés dans notre étude. Les autres types histologiques retrouvés sont les lymphomes indolents, les lymphomes de Burkitt, les plasmocytomes extra-médullaires et des lymphomes de phénotype T dont le lymphome NK/T de type sino nasal.
Le bilan d’extension de la maladie et l’évaluation des facteurs pronostiques représentent une étape fondamentale de la prise en charge, indispensable à la décision thérapeutique.
Les traitements ont considérablement évolué au cours des 10 dernières années grâce aux avancées dans le domaine de la chimiothérapie et de la radiothérapie, mais également grâce à l’introduction de thérapeutiques ciblées comme les anticorps monoclonaux.
Le protocole thérapeutique le plus souvent mis en place dans notre étude était le CHOP associé à la Radiothérapie. Nous déplorons dans notre série un manque de suivi à long terme des malades.
Les résultats thérapeutiques à long terme laissent envisager de véritables guérisons dans certaines entités anatomopathologiques, alors que d’autres sous-types de lymphomes restent des maladies soit incurables soit fatales
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0322011 Président : MOHAMMED KZADRI Directeur : LAILA ESSAKALLI HOSSYNI Juge : MOHAMMED ADNAOUI Juge : MALAK BOULAADAS LYMPHOMES MALINS NON HODGKINIENS EXTRA GANGLIONNAIRES DE LA SPHERE ORL [thèse] / BAKR REGRAGUI, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : LMNH EXTRA GANGLIONNAIRES HISTOLOGIE IMMUNOHISTOCHIMIE BILAN D’EXTENSION RITUXIMAB Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Dans la région tête et cou, 23%-30% des lymphomes ont une présentation extraganglionnaire. L’atteinte concerne dans plus de la moitié des cas l’anneau de Waldeyer mais la maladie peut également intéresser les cavités nasosinusiennes, les glandes salivaires, la cavité buccale, la mandibule, le Larynx ou encore la thyroïde.
Dans notre étude, nous rapportons 78 cas de LMNH extraganglionnaire de la sphère ORL. L’âge moyen était de 51 ans, le sex ratio de 1H/2F. Le site d’atteinte était dans 53% des cas l’anneau de Waldeyer.
Les circonstances du diagnostic et l’imagerie ne sont guère spécifiques. Seule la biopsie tumorale permet de poser le diagnostique. L’analyse histologique couplé dans la majorité des cas à l’IHC a permis de porter le diagnostic.
Histologiquement c’est le LDGB qui est le plus fréquent représentant plus de la moitié des cas répertoriés dans notre étude. Les autres types histologiques retrouvés sont les lymphomes indolents, les lymphomes de Burkitt, les plasmocytomes extra-médullaires et des lymphomes de phénotype T dont le lymphome NK/T de type sino nasal.
Le bilan d’extension de la maladie et l’évaluation des facteurs pronostiques représentent une étape fondamentale de la prise en charge, indispensable à la décision thérapeutique.
Les traitements ont considérablement évolué au cours des 10 dernières années grâce aux avancées dans le domaine de la chimiothérapie et de la radiothérapie, mais également grâce à l’introduction de thérapeutiques ciblées comme les anticorps monoclonaux.
Le protocole thérapeutique le plus souvent mis en place dans notre étude était le CHOP associé à la Radiothérapie. Nous déplorons dans notre série un manque de suivi à long terme des malades.
Les résultats thérapeutiques à long terme laissent envisager de véritables guérisons dans certaines entités anatomopathologiques, alors que d’autres sous-types de lymphomes restent des maladies soit incurables soit fatales
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0322011 Président : MOHAMMED KZADRI Directeur : LAILA ESSAKALLI HOSSYNI Juge : MOHAMMED ADNAOUI Juge : MALAK BOULAADAS Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0322011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible LYMPHOMES NON HODGKINIENS A DISSEMINATION SANGUINE : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES, PHYSIOPATHOLOGIQUES, DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES. TYPE DE DESCRIPTION : LE LYMPHOME FOLLICULAIRE. / Wiam OUAHIB
Titre : LYMPHOMES NON HODGKINIENS A DISSEMINATION SANGUINE : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES, PHYSIOPATHOLOGIQUES, DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES. TYPE DE DESCRIPTION : LE LYMPHOME FOLLICULAIRE. Type de document : thèse Auteurs : Wiam OUAHIB, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : lymphome folliculaire, dissémination sanguine translocation t (14 18) (q32 q21) biopsie ganglionnaire Rituximab follicular lymphoma blood dissemination translocation t (14 18) (q32 q21) lymph node biopsy Rituximab انه فًىيخ اندشيجيخ، ا زَشبس انذو إصفبء t (14 18) (q32 q21) خضػخ انؼقذح
انهي فًبويخ سيزىكسي بًةRésumé : Les LNHs regroupent un ensemble hétérogène de maladies impliquant une prolifération monoclonale malignes de cellules lymphoïdes de la lignée B, rarement de la lignée T ou NK.
Le lymphome folliculaire est un LNH de type B, issue d’une prolifération anormale de lymphocytes B du centre germinatif. Il représente l’entité la plus fréquente des LNHs et aussi plus de 70% des lymphomes indolents. Il est doté d’une évolution lente, mais généralement favorable. C’est une maladie qui reste incurable malgré les progrès thérapeutiques.
Ce travail va mettre le point sur les aspects épidémiologiques, physiopathologiques, diagnostiques et thérapeutiques du lymphome folliculaire.
Le LF se caractérise par une multiplicité des facteurs favorisants, il n’a pas d’étiologies bien déterminées mais plutôt des facteurs prédisposants.
La physiopathologie est complexe et reste toujours mal comprise, la translocation t (14;18) (q32;q21) constitue l’élément initiateur d’une cascade de mutations, elle est quasi constante mais elle n’est pas ni pathognomonique ni nécessaire pour le diagnostic de la maladie. Le microenvironnement tumoral joue aussi un rôle central dans la pathogenèse du lymphome folliculaire.
Sur le plan clinique, le LF est le plus souvent asymptomatique et donc de découverte fortuite, dans le cas contraire, le tableau clinique est hétérogène marqué essentiellement par une lymphadénopathie.
La biopsie ganglionnaire représente la méthode de référence pour le diagnostic positif.
Après un bilan pré thérapeutique et classement du malade selon les scores pronostiques, le traitement sera adapté pour chaque patient.
L’avènement du Rituximab a bouleversé le pronostic des patients que ce soit en monothérapie ou en association à une chimiothérapie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3472022 Président : Azlarab MASRAR Directeur : Souad BENKIRANE Juge : Hafid ZAHID Juge : Anass JEAIDI LYMPHOMES NON HODGKINIENS A DISSEMINATION SANGUINE : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES, PHYSIOPATHOLOGIQUES, DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES. TYPE DE DESCRIPTION : LE LYMPHOME FOLLICULAIRE. [thèse] / Wiam OUAHIB, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : lymphome folliculaire, dissémination sanguine translocation t (14 18) (q32 q21) biopsie ganglionnaire Rituximab follicular lymphoma blood dissemination translocation t (14 18) (q32 q21) lymph node biopsy Rituximab انه فًىيخ اندشيجيخ، ا زَشبس انذو إصفبء t (14 18) (q32 q21) خضػخ انؼقذح
انهي فًبويخ سيزىكسي بًةRésumé : Les LNHs regroupent un ensemble hétérogène de maladies impliquant une prolifération monoclonale malignes de cellules lymphoïdes de la lignée B, rarement de la lignée T ou NK.
Le lymphome folliculaire est un LNH de type B, issue d’une prolifération anormale de lymphocytes B du centre germinatif. Il représente l’entité la plus fréquente des LNHs et aussi plus de 70% des lymphomes indolents. Il est doté d’une évolution lente, mais généralement favorable. C’est une maladie qui reste incurable malgré les progrès thérapeutiques.
Ce travail va mettre le point sur les aspects épidémiologiques, physiopathologiques, diagnostiques et thérapeutiques du lymphome folliculaire.
Le LF se caractérise par une multiplicité des facteurs favorisants, il n’a pas d’étiologies bien déterminées mais plutôt des facteurs prédisposants.
La physiopathologie est complexe et reste toujours mal comprise, la translocation t (14;18) (q32;q21) constitue l’élément initiateur d’une cascade de mutations, elle est quasi constante mais elle n’est pas ni pathognomonique ni nécessaire pour le diagnostic de la maladie. Le microenvironnement tumoral joue aussi un rôle central dans la pathogenèse du lymphome folliculaire.
Sur le plan clinique, le LF est le plus souvent asymptomatique et donc de découverte fortuite, dans le cas contraire, le tableau clinique est hétérogène marqué essentiellement par une lymphadénopathie.
La biopsie ganglionnaire représente la méthode de référence pour le diagnostic positif.
Après un bilan pré thérapeutique et classement du malade selon les scores pronostiques, le traitement sera adapté pour chaque patient.
L’avènement du Rituximab a bouleversé le pronostic des patients que ce soit en monothérapie ou en association à une chimiothérapie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3472022 Président : Azlarab MASRAR Directeur : Souad BENKIRANE Juge : Hafid ZAHID Juge : Anass JEAIDI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3472022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M3472022URL LE PURPURA THROMBOPENIQUE IMMUNOLOGIQUE : ACTUALITES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES / KHAYAR ANASSE
Titre : LE PURPURA THROMBOPENIQUE IMMUNOLOGIQUE : ACTUALITES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES Type de document : thèse Auteurs : KHAYAR ANASSE, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Purpura Thrombopénique immunologique PTI Syndrome hémorragique score de khellaf Corticothérapie IgIV Rituximab Agonistes de la thrombopoietine
splénectomie .Résumé : La thrombocytopénie immunitaire (PTI), anciennement connue sous le nom de purpura
thrombocytopénique immunitaire, est une pathologie auto-immune caractérisée par une
destruction anormale des plaquettes par des auto-anticorps, entraînant une diminution du
nombre de plaquettes dans le sang. La PTI peut être divisée en deux types : primaire,
lorsqu'aucune cause sous-jacente n'est identifiée, et secondaire, associée à d'autres maladies
telles que des infections, des maladies auto-immunes ou des néoplasmes.
L'objectif de ce travail est d'examiner les mécanismes physiopathologiques, le diagnostic et les
options thérapeutiques de la PTI. La physiopathologie de cette maladie implique une réponse
immune inadaptée, où des auto-anticorps ciblent les plaquettes et les mégacaryocytes,
perturbant ainsi leur production. Le diagnostic repose sur l'exclusion d'autres causes de
thrombocytopénie, et se fonde sur un bilan clinique, des analyses biologiques et parfois des
examens plus spécifiques.
Les manifestations cliniques incluent des saignements cutanéo-muqueux tels que des
ecchymoses ou des saignements buccaux, rarement une hémorragie intracrânien fatale mais
certains patients peuvent être asymptomatiques. Le traitement de la PTI vise à augmenter la
numération plaquettaire et à prévenir les saignements, en utilisant des corticostéroïdes, des
immunoglobulines intraveineuses, voire des traitements de deuxième ligne comme le
Rituximab ou la splénectomie dans les cas réfractaires. La prise en charge est individualisée en
fonction de la gravité des symptômes et de la réponse au traitement, et des avancées récentes,
comme les agonistes des récepteurs de la thrombopoïétine, ont considérablement amélioré le
pronostic des patients atteints de PTI.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3882024 Président : Rachid HADEF Directeur : Abdelhamid ZRARA Juge : Hafid ZAHID Juge : Youssef AKHOUAD LE PURPURA THROMBOPENIQUE IMMUNOLOGIQUE : ACTUALITES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES [thèse] / KHAYAR ANASSE, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Purpura Thrombopénique immunologique PTI Syndrome hémorragique score de khellaf Corticothérapie IgIV Rituximab Agonistes de la thrombopoietine
splénectomie .Résumé : La thrombocytopénie immunitaire (PTI), anciennement connue sous le nom de purpura
thrombocytopénique immunitaire, est une pathologie auto-immune caractérisée par une
destruction anormale des plaquettes par des auto-anticorps, entraînant une diminution du
nombre de plaquettes dans le sang. La PTI peut être divisée en deux types : primaire,
lorsqu'aucune cause sous-jacente n'est identifiée, et secondaire, associée à d'autres maladies
telles que des infections, des maladies auto-immunes ou des néoplasmes.
L'objectif de ce travail est d'examiner les mécanismes physiopathologiques, le diagnostic et les
options thérapeutiques de la PTI. La physiopathologie de cette maladie implique une réponse
immune inadaptée, où des auto-anticorps ciblent les plaquettes et les mégacaryocytes,
perturbant ainsi leur production. Le diagnostic repose sur l'exclusion d'autres causes de
thrombocytopénie, et se fonde sur un bilan clinique, des analyses biologiques et parfois des
examens plus spécifiques.
Les manifestations cliniques incluent des saignements cutanéo-muqueux tels que des
ecchymoses ou des saignements buccaux, rarement une hémorragie intracrânien fatale mais
certains patients peuvent être asymptomatiques. Le traitement de la PTI vise à augmenter la
numération plaquettaire et à prévenir les saignements, en utilisant des corticostéroïdes, des
immunoglobulines intraveineuses, voire des traitements de deuxième ligne comme le
Rituximab ou la splénectomie dans les cas réfractaires. La prise en charge est individualisée en
fonction de la gravité des symptômes et de la réponse au traitement, et des avancées récentes,
comme les agonistes des récepteurs de la thrombopoïétine, ont considérablement amélioré le
pronostic des patients atteints de PTI.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3882024 Président : Rachid HADEF Directeur : Abdelhamid ZRARA Juge : Hafid ZAHID Juge : Youssef AKHOUAD Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3882024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible PURPURA THROMBOPENIQUE IMMUNOLOGIQUE (PTI) CHEZ L’ADULTE : DONNEES DE LA LITTERATURE / ENNIF YOUSSEF
Titre : PURPURA THROMBOPENIQUE IMMUNOLOGIQUE (PTI) CHEZ L’ADULTE : DONNEES DE LA LITTERATURE Type de document : thèse Auteurs : ENNIF YOUSSEF, Auteur Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : AUTO-ANTICOPRS THROMBOPENIE SYNDROME HEMORRAGIQUE RITUXIMAB AGONISTES DE LA THROMBOPOÏETINE Résumé : Le PTI est une maladie auto-immune bénigne caractérisée par la survenue d’un syndrome hémorragique le plus souvent cutanéo-muqueux, tandis que les hémorragies profondes sont cependant rares.
Sur le plan physiopathologique, la thrombopénie périphérique est due à l’apparition d’auto-Ac capables de reconnaître des épitopes situés à la surface des plaquettes qui seront ensuite phagocytées essentiellement par les macrophages spléniques. Toutefois le mécanisme déclencheur n’est toujours pas connu, mais il fait intervenir en particulier les réponses immunitaires humorale et cellulaire ainsi qu’une production plaquettaire inadaptée à la profondeur de la thrombopénie.
Le diagnostic du PTI, reste un diagnostic d’exclusion qui consiste à exclure les autres causes capables de provoquer une thrombopénie périphérique.
Deux principales formes évolutives sont à distinguer : Le PTI aigu rencontré plus volontiers chez l’enfant et le PTI chronique rencontré dans la majorité des cas chez l’adulte.
Le traitement du PTI est toujours mal codifié, il est souvent basé sur des études non contrôlées. La corticothérapie est considérée comme le traitement de première ligne et la splénectomie reste le traitement de fond du PTI chronique.
Toutefois l’arrivée de nouvelles drogues pourrait dans l’avenir proche bouleverser l’attitude thérapeutique et rendre rare l’indication de la splénectomie au cours du PTI
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0692011 Président : SAMIR SIAH Directeur : AZARAB MASRAR Juge : NAZHA MESSAOUDI PURPURA THROMBOPENIQUE IMMUNOLOGIQUE (PTI) CHEZ L’ADULTE : DONNEES DE LA LITTERATURE [thèse] / ENNIF YOUSSEF, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : AUTO-ANTICOPRS THROMBOPENIE SYNDROME HEMORRAGIQUE RITUXIMAB AGONISTES DE LA THROMBOPOÏETINE Résumé : Le PTI est une maladie auto-immune bénigne caractérisée par la survenue d’un syndrome hémorragique le plus souvent cutanéo-muqueux, tandis que les hémorragies profondes sont cependant rares.
Sur le plan physiopathologique, la thrombopénie périphérique est due à l’apparition d’auto-Ac capables de reconnaître des épitopes situés à la surface des plaquettes qui seront ensuite phagocytées essentiellement par les macrophages spléniques. Toutefois le mécanisme déclencheur n’est toujours pas connu, mais il fait intervenir en particulier les réponses immunitaires humorale et cellulaire ainsi qu’une production plaquettaire inadaptée à la profondeur de la thrombopénie.
Le diagnostic du PTI, reste un diagnostic d’exclusion qui consiste à exclure les autres causes capables de provoquer une thrombopénie périphérique.
Deux principales formes évolutives sont à distinguer : Le PTI aigu rencontré plus volontiers chez l’enfant et le PTI chronique rencontré dans la majorité des cas chez l’adulte.
Le traitement du PTI est toujours mal codifié, il est souvent basé sur des études non contrôlées. La corticothérapie est considérée comme le traitement de première ligne et la splénectomie reste le traitement de fond du PTI chronique.
Toutefois l’arrivée de nouvelles drogues pourrait dans l’avenir proche bouleverser l’attitude thérapeutique et rendre rare l’indication de la splénectomie au cours du PTI
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0692011 Président : SAMIR SIAH Directeur : AZARAB MASRAR Juge : NAZHA MESSAOUDI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0692011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2011 Disponible LE PURPURA THROMBOPENIQUE IMMUNOLOGIQUE (PTI) REVUE DE LA LITTERATURE ET ASPECTS DIAGNOSTIQUES A PROPOS DE 32 CAS CHEZ L'ADULTE / YOUSSEF BENABDEJLIL
Titre : LE PURPURA THROMBOPENIQUE IMMUNOLOGIQUE (PTI) REVUE DE LA LITTERATURE ET ASPECTS DIAGNOSTIQUES A PROPOS DE 32 CAS CHEZ L'ADULTE Type de document : thèse Auteurs : YOUSSEF BENABDEJLIL, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : THROMBOPENIE HEMORRAGIE RITUXIMAB ROMIPLOSTIM ELTROMBOPAG. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé :
L’objectif de notre étude sur le purpura thrombopénique immunologique (PTI) est de faire une revue de la littérature de la maladie et de rapporter l’expérience du laboratoire d’hématologie de l’Hôpital IBN SINA de Rabat (HIS-R) en la matière.
Le PTI est une maladie auto-immune caractérisée par une destruction périphérique des plaquettes. Le PTI est la cytopénie immunologique la plus fréquente et reste un diagnostic d’élimination reposant sur la confirmation d’une thrombopénie périphérique acquise pour laquelle une prise médicamenteuse, une infection virale, une maladie auto-immune comme le lupus doivent être écartées.
Il existe deux présentations évolutives principales : une forme aiguë plus volontiers rencontrée chez l’enfant et une forme chronique intéressant la majorité des adultes.
Sa physiopathologie fait intervenir une réponse immunitaire humorale et cellulaire ainsi qu’un défaut de production médullaire.
Le traitement est essentiellement basé sur les résultats d’études non contrôlées. La prednisone et les immunoglobulines intraveineuses sont les traitements de première ligne. La splénéctomie reste le traitement de référence chez les patients atteints de PTI chronique. De nouvelles voies thérapeutiques et en particulier le rituximab et les agonistes du récepteur de la thrombopoïétine sont en cours de développement avec des résultats très prometteurs.
Notre étude pratique a concerné la description des aspects épidémiologiques, cliniques, hématologiques et pronostiques du PTI de l’adulte chez 32 cas répertoriés sur le registre des moelles osseuses du laboratoire d’hématologie de l’HIS-R.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1492009 Président : NAJIA BENKIRANE AGOUMI Directeur : CHAHRAZAD BENABDALLAH GUEDIRA Juge : TAOUFIK BEOUACHANE LE PURPURA THROMBOPENIQUE IMMUNOLOGIQUE (PTI) REVUE DE LA LITTERATURE ET ASPECTS DIAGNOSTIQUES A PROPOS DE 32 CAS CHEZ L'ADULTE [thèse] / YOUSSEF BENABDEJLIL, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : THROMBOPENIE HEMORRAGIE RITUXIMAB ROMIPLOSTIM ELTROMBOPAG. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé :
L’objectif de notre étude sur le purpura thrombopénique immunologique (PTI) est de faire une revue de la littérature de la maladie et de rapporter l’expérience du laboratoire d’hématologie de l’Hôpital IBN SINA de Rabat (HIS-R) en la matière.
Le PTI est une maladie auto-immune caractérisée par une destruction périphérique des plaquettes. Le PTI est la cytopénie immunologique la plus fréquente et reste un diagnostic d’élimination reposant sur la confirmation d’une thrombopénie périphérique acquise pour laquelle une prise médicamenteuse, une infection virale, une maladie auto-immune comme le lupus doivent être écartées.
Il existe deux présentations évolutives principales : une forme aiguë plus volontiers rencontrée chez l’enfant et une forme chronique intéressant la majorité des adultes.
Sa physiopathologie fait intervenir une réponse immunitaire humorale et cellulaire ainsi qu’un défaut de production médullaire.
Le traitement est essentiellement basé sur les résultats d’études non contrôlées. La prednisone et les immunoglobulines intraveineuses sont les traitements de première ligne. La splénéctomie reste le traitement de référence chez les patients atteints de PTI chronique. De nouvelles voies thérapeutiques et en particulier le rituximab et les agonistes du récepteur de la thrombopoïétine sont en cours de développement avec des résultats très prometteurs.
Notre étude pratique a concerné la description des aspects épidémiologiques, cliniques, hématologiques et pronostiques du PTI de l’adulte chez 32 cas répertoriés sur le registre des moelles osseuses du laboratoire d’hématologie de l’HIS-R.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1492009 Président : NAJIA BENKIRANE AGOUMI Directeur : CHAHRAZAD BENABDALLAH GUEDIRA Juge : TAOUFIK BEOUACHANE Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1492009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible Le rituximab dans la polyarthrite rhumatoide: Experience du service de rhumatologie (HMIMV) / Jihane SAIDI
Titre : Le rituximab dans la polyarthrite rhumatoide: Experience du service de rhumatologie (HMIMV) Type de document : thèse Auteurs : Jihane SAIDI, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rituximab Anti-CD20 Polyarthrite rhumatoïde Efficacité Tolérance. Résumé : Le rituximab est un anticorps monoclonal chimérique dirigé contre la molécule CD20 des LB. Au Maroc il est utilisé en première intention dans la polyarthrite rhumatoïde après échec d’un traitement de fond classique non biologique et ce pour trois raisons : son coût moins élevé que les autres biothérapies, son protocole pratique en deux perfusions séparées de 15 jours et sa moindre implication dans la réactivation de la tuberculose par rapport aux anti-TNFα (alors que nous sommes un pays d’endémie tuberculeuse).
Afin d’évaluer l’efficacité et la tolérance du rituximab dans la polyarthrite rhumatoïde après échec des DMARDS classiques, nous avons effectué une étude rétrospective observationnelle chez des patients suivis pour une polyarthrite rhumatoïde au service de rhumatologie à l’hôpital militaire de Rabat.
Nous avons pu étudier 114 patients qui ont reçu une première cure du rituximab, 48 patients qui ont nécessité une deuxième cure et 14 patients qui ont eu une troisième cure. Une seule patiente a bénéficié d’une quatrième cure.
Nos patients ont été évalués par différents paramètres : les critères ACR, le DAS28-VS, la réponse EULAR, le CDAI et le SDAI sur une période de trois ans à distance de la première cure, deux ans pour les cures restantes.
Après la première cure nous avons obtenu un taux de réponse ACR20 à 67%, ACR50 à 55%, ACR70% à 38%, ACR90 à 16%. Une rémission complète DAS28-VS a été observée dans 67 % à 6 mois, 45 % à un an. Après le retraitement nous avons obtenu une bonne réponse thérapeutique.
Les effets secondaires étaient observés dans 55%, 6%, 7,1% respectivement après la première, deuxième et la troisième cure.
En conclusion le rituximab est une biothérapie efficace et bien tolérée dans la polyarthrite rhumatoïde après échec des DMARDs classiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1582014 Président : BEZZA.A Directeur : EL MAGHRAOUI.A Juge : ISMAILI-HARMOUCHE.H Juge : EL KHATTABI.A Juge : ACHEMLAL.L Le rituximab dans la polyarthrite rhumatoide: Experience du service de rhumatologie (HMIMV) [thèse] / Jihane SAIDI, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Rituximab Anti-CD20 Polyarthrite rhumatoïde Efficacité Tolérance. Résumé : Le rituximab est un anticorps monoclonal chimérique dirigé contre la molécule CD20 des LB. Au Maroc il est utilisé en première intention dans la polyarthrite rhumatoïde après échec d’un traitement de fond classique non biologique et ce pour trois raisons : son coût moins élevé que les autres biothérapies, son protocole pratique en deux perfusions séparées de 15 jours et sa moindre implication dans la réactivation de la tuberculose par rapport aux anti-TNFα (alors que nous sommes un pays d’endémie tuberculeuse).
Afin d’évaluer l’efficacité et la tolérance du rituximab dans la polyarthrite rhumatoïde après échec des DMARDS classiques, nous avons effectué une étude rétrospective observationnelle chez des patients suivis pour une polyarthrite rhumatoïde au service de rhumatologie à l’hôpital militaire de Rabat.
Nous avons pu étudier 114 patients qui ont reçu une première cure du rituximab, 48 patients qui ont nécessité une deuxième cure et 14 patients qui ont eu une troisième cure. Une seule patiente a bénéficié d’une quatrième cure.
Nos patients ont été évalués par différents paramètres : les critères ACR, le DAS28-VS, la réponse EULAR, le CDAI et le SDAI sur une période de trois ans à distance de la première cure, deux ans pour les cures restantes.
Après la première cure nous avons obtenu un taux de réponse ACR20 à 67%, ACR50 à 55%, ACR70% à 38%, ACR90 à 16%. Une rémission complète DAS28-VS a été observée dans 67 % à 6 mois, 45 % à un an. Après le retraitement nous avons obtenu une bonne réponse thérapeutique.
Les effets secondaires étaient observés dans 55%, 6%, 7,1% respectivement après la première, deuxième et la troisième cure.
En conclusion le rituximab est une biothérapie efficace et bien tolérée dans la polyarthrite rhumatoïde après échec des DMARDs classiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1582014 Président : BEZZA.A Directeur : EL MAGHRAOUI.A Juge : ISMAILI-HARMOUCHE.H Juge : EL KHATTABI.A Juge : ACHEMLAL.L Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1582014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M1582014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M1582014URL
Titre : RITUXIMAB DANS LE TRAITEMENT DE FOND DE LA SCLEROSE EN PLAQUES Type de document : thèse Auteurs : SOUIDI Amal, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : sclérose en plaques Rituximab efficacité Multiple sclerosis Rituximab efficacy التصلب اللوي ح ريتوكسيماب الفعالية. Résumé : Contexte : Le Rituximab, anticorps monoclonal anti-CD20 est de plus en plus utilisé dans les pathologies auto-immunes. Dans la sclérose en plaques (SEP), de nombreuses études ont rapporté son efficacité et son profil de sécurité acceptable. Notre travail évalue ces derniers chez des patients SEP à travers une étude observationnelle au CHU de Rabat.
Objectif : Étudier l’efficacité et la sécurité du Rituximab dans la sclérose en plaques.
Méthodes : Etude observationnelle rétro-prospective des patients SEP traités par le Rituximab colligés au service Neurologie-B sur une période s’étalant de Juin 2019 à Mars 2022. L’efficacité a été évaluée par le nombre de poussées annuelles, la progression du handicap moyennant l’Expanded Disability Status Scale (EDSS), les nouvelles lésions T2 et la prise de contraste des lésions sur l’imagerie par résonance magnétique de contrôle. Le profil de sécurité s’est intéressé aux incidents liés à la perfusion et aux taux d’infection durant la période de l’étude.
Résultats : 23 patients SEP traités par Rituximab ont été retenus : 18 ayant une SEP récurrente-rémittente (RR), 4 secondairement progressive (SP) et 1 primaire progressive (PP). La durée médiane du traitement est de 12 mois. Le nombre médian de poussées est passé de de 3 à 0 /an sous Rituximab (p<0,001) avec une réduction significative du score EDSS (4 à l’entrée de l’étude vs à 1 à la fin de l’étude p=0,0046) et moins de prise de contraste des lésions sur les séquences T1 Gado (52.4%vs 33.3%). Aucun incident lié à la perfusion n’a été enregistré avec 3 cas d’infections urinaires durant la période de l’étude.
Conclusion : le Rituximab est une thérapeutique prometteuse dans le traitement de fond de la SEP puisqu’il réduit significativement l’activité clinique et radiologique de la maladie et améliore le handicap des patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3172022 Président : BENOMAR Ali Directeur : REGRAGUI Wafa Juge : BOURAZZA Ahmed Juge Juge : RAHMANI Mounia RITUXIMAB DANS LE TRAITEMENT DE FOND DE LA SCLEROSE EN PLAQUES [thèse] / SOUIDI Amal, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : sclérose en plaques Rituximab efficacité Multiple sclerosis Rituximab efficacy التصلب اللوي ح ريتوكسيماب الفعالية. Résumé : Contexte : Le Rituximab, anticorps monoclonal anti-CD20 est de plus en plus utilisé dans les pathologies auto-immunes. Dans la sclérose en plaques (SEP), de nombreuses études ont rapporté son efficacité et son profil de sécurité acceptable. Notre travail évalue ces derniers chez des patients SEP à travers une étude observationnelle au CHU de Rabat.
Objectif : Étudier l’efficacité et la sécurité du Rituximab dans la sclérose en plaques.
Méthodes : Etude observationnelle rétro-prospective des patients SEP traités par le Rituximab colligés au service Neurologie-B sur une période s’étalant de Juin 2019 à Mars 2022. L’efficacité a été évaluée par le nombre de poussées annuelles, la progression du handicap moyennant l’Expanded Disability Status Scale (EDSS), les nouvelles lésions T2 et la prise de contraste des lésions sur l’imagerie par résonance magnétique de contrôle. Le profil de sécurité s’est intéressé aux incidents liés à la perfusion et aux taux d’infection durant la période de l’étude.
Résultats : 23 patients SEP traités par Rituximab ont été retenus : 18 ayant une SEP récurrente-rémittente (RR), 4 secondairement progressive (SP) et 1 primaire progressive (PP). La durée médiane du traitement est de 12 mois. Le nombre médian de poussées est passé de de 3 à 0 /an sous Rituximab (p<0,001) avec une réduction significative du score EDSS (4 à l’entrée de l’étude vs à 1 à la fin de l’étude p=0,0046) et moins de prise de contraste des lésions sur les séquences T1 Gado (52.4%vs 33.3%). Aucun incident lié à la perfusion n’a été enregistré avec 3 cas d’infections urinaires durant la période de l’étude.
Conclusion : le Rituximab est une thérapeutique prometteuse dans le traitement de fond de la SEP puisqu’il réduit significativement l’activité clinique et radiologique de la maladie et améliore le handicap des patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3172022 Président : BENOMAR Ali Directeur : REGRAGUI Wafa Juge : BOURAZZA Ahmed Juge Juge : RAHMANI Mounia Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3172022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M3172022URL SYNDROME DE DETRESSE RESPIRATOIRE AIGUE INDUIT PAR RITUXIMAB : A PROPOS D'UN CAS / ACHARAFI REDOUANE
Titre : SYNDROME DE DETRESSE RESPIRATOIRE AIGUE INDUIT PAR RITUXIMAB : A PROPOS D'UN CAS Type de document : thèse Auteurs : ACHARAFI REDOUANE, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome de détresse respiratoire aigüe Rituximab Echange plasmatique Acute respiratory distress syndrome Rituximab Plasmapheresis متلازمة الضائقة التنفسیة ریتوكسیماب استخراج البلازما. Résumé : Le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) est un oedème pulmonaire due à une agression de la membrane alvéolo-capillaire. Les étiologies sont nombreuses.
Nous rapportons l’observation d’une patiente de 69 ans, hospitalisée au service de réanimation de l’hôpital militaire d’instructions Mohamed V de Rabat qui a présentée dans les jours suivant la perfusion d’un anti CD20 (Rituximab) un tableau clinico- radiologique de Syndrome de détresse respiratoire aigüe.
L’origine médicamenteuse a été retenue après une recherche étiologique négative excluant toute autre cause.
Le traitement a nécessité une ventilation artificielle, une corticothérapie à fortes doses et des séances d’échanges plasmatiques.
L’évolution s’est faite vers le décès de la patiente.
Une revue de la littérature a permis de discuter les aspects physiopathologiques, étiologiques et les actualités thérapeutiques de ce syndrome.
L’objectif de notre travail est d’attirer l’attention des praticiens sur certaines étiologies considérées comme rares et qui nécessitent un traitement particulier.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0412023 Président : BALKHI Hicham Directeur : BALKHI Hicham Juge : ALILOU MustaphaJuge Juge : REGGAD Ahmed Juge : DOGHMI NawfalJuge ; Chakib Chouikh Membre invité SYNDROME DE DETRESSE RESPIRATOIRE AIGUE INDUIT PAR RITUXIMAB : A PROPOS D'UN CAS [thèse] / ACHARAFI REDOUANE, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syndrome de détresse respiratoire aigüe Rituximab Echange plasmatique Acute respiratory distress syndrome Rituximab Plasmapheresis متلازمة الضائقة التنفسیة ریتوكسیماب استخراج البلازما. Résumé : Le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) est un oedème pulmonaire due à une agression de la membrane alvéolo-capillaire. Les étiologies sont nombreuses.
Nous rapportons l’observation d’une patiente de 69 ans, hospitalisée au service de réanimation de l’hôpital militaire d’instructions Mohamed V de Rabat qui a présentée dans les jours suivant la perfusion d’un anti CD20 (Rituximab) un tableau clinico- radiologique de Syndrome de détresse respiratoire aigüe.
L’origine médicamenteuse a été retenue après une recherche étiologique négative excluant toute autre cause.
Le traitement a nécessité une ventilation artificielle, une corticothérapie à fortes doses et des séances d’échanges plasmatiques.
L’évolution s’est faite vers le décès de la patiente.
Une revue de la littérature a permis de discuter les aspects physiopathologiques, étiologiques et les actualités thérapeutiques de ce syndrome.
L’objectif de notre travail est d’attirer l’attention des praticiens sur certaines étiologies considérées comme rares et qui nécessitent un traitement particulier.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0412023 Président : BALKHI Hicham Directeur : BALKHI Hicham Juge : ALILOU MustaphaJuge Juge : REGGAD Ahmed Juge : DOGHMI NawfalJuge ; Chakib Chouikh Membre invité Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0412023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible THROMBOPENIE IMMUNITAIRE : PHYSIOPATHOLOGIE, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT / BELAHRACH Abir
Titre : THROMBOPENIE IMMUNITAIRE : PHYSIOPATHOLOGIE, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT Type de document : thèse Auteurs : BELAHRACH Abir, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Thrombopénie PTI Purpura Rituximab Thrombopoïétine Autoimmunité Résumé : La thrombopénie immunitaire, anciennement connue sous le nom de purpura thrombopénique
idiopathique (PTI), est une affection hématologique caractérisée par une thrombopénie autoimmune, définie par un taux de plaquettes inférieur à 100 giga par litre (G/L). Bien que les
données sur son épidémiologie soient limitées, elle représente la cytopénie auto-immune la plus
courante chez les adultes, avec une incidence variant entre 2 et 4 cas pour 100 000 personnes
par an, présentant des pics chez les jeunes adultes et les personnes âgées.
Sa physiopathologie implique à la fois des mécanismes immunitaires de destruction
périphérique des plaquettes, principalement splénique, et un mécanisme central de production
médullaire insuffisante. Elle peut se présenter sous forme primaire, sans cause secondaire
identifiable, ou secondaire à une autre affection sous-jacente. Cliniquement, elle peut être
asymptomatique ou se manifester par des saignements cutanés ou muqueux, allant des
ecchymoses légères aux saignements graves menaçant le pronostic vital.
Le diagnostic de la PTI est principalement d'élimination, nécessitant l'exclusion d'autres causes
de thrombopénie. Le traitement vise à maintenir un taux de plaquettes optimal pour réduire le
risque hémorragique et améliorer la qualité de vie des patients. Les thérapies de première
intention incluent les corticoïdes, l'immunoglobuline intraveineuse et l'anti-Rh(D), mais
peuvent ne pas assurer des rémissions durables, conduisant à l'utilisation de traitements de
seconde ligne tels que les agonistes des récepteurs de la thrombopoïétine, le fostamatinib et le
rituximab.
Le choix du traitement dépend de divers facteurs, notamment la nature de la maladie, le taux de
plaquettes, les comorbidités et les préférences du patient. L'éducation thérapeutique et le suivi
régulier sont essentiels pour prévenir les complications et optimiser la gestion de la maladie.
L'objectif de ce travail est de fournir une mise à jour complète sur la physiopathologie, le
diagnostic et le traitement de cette maladie, ainsi que d'explorer différentes stratégies
thérapeutiques pour améliorer les taux de rémission et prévenir les rechutes, en se basant sur
les études internationales les plus récentesNuméro (Thèse ou Mémoire) : P0582024 Président : Azlarab MASRAR Directeur : Souad BENKIRANE Juge : Anass JEAIDI Juge : Hafid ZAHID THROMBOPENIE IMMUNITAIRE : PHYSIOPATHOLOGIE, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT [thèse] / BELAHRACH Abir, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Thrombopénie PTI Purpura Rituximab Thrombopoïétine Autoimmunité Résumé : La thrombopénie immunitaire, anciennement connue sous le nom de purpura thrombopénique
idiopathique (PTI), est une affection hématologique caractérisée par une thrombopénie autoimmune, définie par un taux de plaquettes inférieur à 100 giga par litre (G/L). Bien que les
données sur son épidémiologie soient limitées, elle représente la cytopénie auto-immune la plus
courante chez les adultes, avec une incidence variant entre 2 et 4 cas pour 100 000 personnes
par an, présentant des pics chez les jeunes adultes et les personnes âgées.
Sa physiopathologie implique à la fois des mécanismes immunitaires de destruction
périphérique des plaquettes, principalement splénique, et un mécanisme central de production
médullaire insuffisante. Elle peut se présenter sous forme primaire, sans cause secondaire
identifiable, ou secondaire à une autre affection sous-jacente. Cliniquement, elle peut être
asymptomatique ou se manifester par des saignements cutanés ou muqueux, allant des
ecchymoses légères aux saignements graves menaçant le pronostic vital.
Le diagnostic de la PTI est principalement d'élimination, nécessitant l'exclusion d'autres causes
de thrombopénie. Le traitement vise à maintenir un taux de plaquettes optimal pour réduire le
risque hémorragique et améliorer la qualité de vie des patients. Les thérapies de première
intention incluent les corticoïdes, l'immunoglobuline intraveineuse et l'anti-Rh(D), mais
peuvent ne pas assurer des rémissions durables, conduisant à l'utilisation de traitements de
seconde ligne tels que les agonistes des récepteurs de la thrombopoïétine, le fostamatinib et le
rituximab.
Le choix du traitement dépend de divers facteurs, notamment la nature de la maladie, le taux de
plaquettes, les comorbidités et les préférences du patient. L'éducation thérapeutique et le suivi
régulier sont essentiels pour prévenir les complications et optimiser la gestion de la maladie.
L'objectif de ce travail est de fournir une mise à jour complète sur la physiopathologie, le
diagnostic et le traitement de cette maladie, ainsi que d'explorer différentes stratégies
thérapeutiques pour améliorer les taux de rémission et prévenir les rechutes, en se basant sur
les études internationales les plus récentesNuméro (Thèse ou Mémoire) : P0582024 Président : Azlarab MASRAR Directeur : Souad BENKIRANE Juge : Anass JEAIDI Juge : Hafid ZAHID Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0582024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2024 Disponible TRAITEMENT PAR ANTI CD20 DANS LA GLOMERULONEPHRITE EXTRA MEMBRANEUSE IDIOPATHIQUE / ERRAJI CHAHID Hamza
Titre : TRAITEMENT PAR ANTI CD20 DANS LA GLOMERULONEPHRITE EXTRA MEMBRANEUSE IDIOPATHIQUE Type de document : thèse Auteurs : ERRAJI CHAHID Hamza, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome néphrotique Glomérulonéphrite extra-membraneuse primitive traitement anti-CD20 Rituximab Résumé : La Glomérulonéphrite extra-membraneuse (GEM) est la première cause de syndrome néphrotique de l’adulte, elle est primitive dans 80% des cas. Plusieurs thérapies font l’objet d’études pour le traitement de la GEM chez l’adulte notamment celles à base de l’anti CD-20 avec le Rituximab en chef de file.
Le but du travail était d’évaluer l’efficacité et la tolérance du Rituximab dans le traitement de cette pathologie à travers une série de cas de GEM primitive ayant bénéficié de cette thérapie au sein du service de Néphrologie Dialyse et Transplantation Rénale de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V de Rabat.
Le travail a colligé cinq cas : 3 de sexe masculin et 2 de sexe féminin avec une moyenne d'âge de 41 ans. Tous les patients avaient un syndrome néphrotique non compliqué et sans insuffisance rénale. Le Rituximab a été administré comme protocole de première ligne pour 4 cas alors qu’un cas l’a reçu en deuxième ligne après deux protocoles à base de corticoïdes et de cyclophosphamide. Tous les patients avaient reçu deux doses de Rituximab à 1g chacune et à 15 jours d’intervalle.
Le suivi varie entre 6 mois et 2 ans. Deux cas présentaient des anticorps anti PLA2R positifs. Un seul cas des cinq a présenté une rémission complète, le reste des cas ont obtenu une rémission partielle à 6 mois soutenue jusqu’à deux ans de suivi.
Aucun effet indésirable majeur n’a été rapporté. A noter qu'une seule patiente a présenté une infection au COVID 19 six mois après avoir le Rituximab.
Le Rituximab est un traitement ayant prouvé son efficacité et innocuité pour le traitement de la GEM notamment les formes peu sévères de syndrome néphrotique et en cas de désir de préservation de la fertilité.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4392021 Président : OUZEDDOUN NAIMA Directeur : EL KABBAJ DRISS ; HASSANI KAWTAR Juge : MONTASSER DINA Juge : AATIF TAOUFIQ TRAITEMENT PAR ANTI CD20 DANS LA GLOMERULONEPHRITE EXTRA MEMBRANEUSE IDIOPATHIQUE [thèse] / ERRAJI CHAHID Hamza, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syndrome néphrotique Glomérulonéphrite extra-membraneuse primitive traitement anti-CD20 Rituximab Résumé : La Glomérulonéphrite extra-membraneuse (GEM) est la première cause de syndrome néphrotique de l’adulte, elle est primitive dans 80% des cas. Plusieurs thérapies font l’objet d’études pour le traitement de la GEM chez l’adulte notamment celles à base de l’anti CD-20 avec le Rituximab en chef de file.
Le but du travail était d’évaluer l’efficacité et la tolérance du Rituximab dans le traitement de cette pathologie à travers une série de cas de GEM primitive ayant bénéficié de cette thérapie au sein du service de Néphrologie Dialyse et Transplantation Rénale de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V de Rabat.
Le travail a colligé cinq cas : 3 de sexe masculin et 2 de sexe féminin avec une moyenne d'âge de 41 ans. Tous les patients avaient un syndrome néphrotique non compliqué et sans insuffisance rénale. Le Rituximab a été administré comme protocole de première ligne pour 4 cas alors qu’un cas l’a reçu en deuxième ligne après deux protocoles à base de corticoïdes et de cyclophosphamide. Tous les patients avaient reçu deux doses de Rituximab à 1g chacune et à 15 jours d’intervalle.
Le suivi varie entre 6 mois et 2 ans. Deux cas présentaient des anticorps anti PLA2R positifs. Un seul cas des cinq a présenté une rémission complète, le reste des cas ont obtenu une rémission partielle à 6 mois soutenue jusqu’à deux ans de suivi.
Aucun effet indésirable majeur n’a été rapporté. A noter qu'une seule patiente a présenté une infection au COVID 19 six mois après avoir le Rituximab.
Le Rituximab est un traitement ayant prouvé son efficacité et innocuité pour le traitement de la GEM notamment les formes peu sévères de syndrome néphrotique et en cas de désir de préservation de la fertilité.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4392021 Président : OUZEDDOUN NAIMA Directeur : EL KABBAJ DRISS ; HASSANI KAWTAR Juge : MONTASSER DINA Juge : AATIF TAOUFIQ Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4392021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M4392021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M4392021URL