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Aspects biologiques des syndromes néphrotiques. / ELMOUJAHID ayoub
Titre : Aspects biologiques des syndromes néphrotiques. Type de document : thèse Auteurs : ELMOUJAHID ayoub, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome néphrotique glomérule protéinurie. Résumé :
Le syndrome néphrotique est défini par l’association d’une protéinurie abondante > 3g/L (50 mg/kg/j) et une hypoalbuminémie inférieure à 30 g/L. Les complications aigues les plus fréquentes sont les infections et les accidents thromboemboliques.
Chez les enfants, le SN est en rapport avec un SN idiopathique dans 90 % des cas, au moins entre l’âge de 2 et 10 ans.
Chez les adultes, le SN peut être primitif et dans ce cas, l’examen histologique permet de différencier trois formes : LGM, HSF et la GEM. Les SN peuvent être secondaires à d’autres pathologies (diabète, HTA,…).
La prise en charge des SN est multidisciplinaire, et le laboratoire de biologie joue un rôle important dans le diagnostic, le suivi de l’évolution et la surveillance des éventuelles rechutes, et ce par la maitrise de la phase préanalytique, analytique et postanalytique des différentes analyses réalisées.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0172016 Président : CHABRAOUI.L Directeur : BOUHSAIN.S Juge : MASRAR.A Juge : DAMI.A Juge : EL KABBAJ.D Aspects biologiques des syndromes néphrotiques. [thèse] / ELMOUJAHID ayoub, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syndrome néphrotique glomérule protéinurie. Résumé :
Le syndrome néphrotique est défini par l’association d’une protéinurie abondante > 3g/L (50 mg/kg/j) et une hypoalbuminémie inférieure à 30 g/L. Les complications aigues les plus fréquentes sont les infections et les accidents thromboemboliques.
Chez les enfants, le SN est en rapport avec un SN idiopathique dans 90 % des cas, au moins entre l’âge de 2 et 10 ans.
Chez les adultes, le SN peut être primitif et dans ce cas, l’examen histologique permet de différencier trois formes : LGM, HSF et la GEM. Les SN peuvent être secondaires à d’autres pathologies (diabète, HTA,…).
La prise en charge des SN est multidisciplinaire, et le laboratoire de biologie joue un rôle important dans le diagnostic, le suivi de l’évolution et la surveillance des éventuelles rechutes, et ce par la maitrise de la phase préanalytique, analytique et postanalytique des différentes analyses réalisées.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0172016 Président : CHABRAOUI.L Directeur : BOUHSAIN.S Juge : MASRAR.A Juge : DAMI.A Juge : EL KABBAJ.D Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0172016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible P0172016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible Les bisalbuminémies: à propos de cinq cas colligés au laboratoire de biochimie-toxicologie de l’HMIMV / UGOANI Elizabeth Onyekachi
Titre : Les bisalbuminémies: à propos de cinq cas colligés au laboratoire de biochimie-toxicologie de l’HMIMV Type de document : thèse Auteurs : UGOANI Elizabeth Onyekachi, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bisalbuminémie Electrophorèse Albuminémie Syndrome néphrotique Résumé : Introduction
Les bisalbuminémies, états rares considérés auparavant comme une curiosité biochimique, sont aujourd’hui un sujet d’actualité et font l’objet de travaux de recherches poussées. En effet, elles revêtent plusieurs intérêts, clinique, dans les domaines de la recherche et de la biotechnologie.
Patients et méthodes
Ce travail présente 5 cas de bisalbuminémies identifiés sur environ 42 000 électrophorèses des protéines sériques pratiquées au service de biochimie-toxicologie de l’HMIMV sur une période de 23 ans (1992-2015).
Résultats
Les résultats des éléctrophorèses des cinq cas colligés ont permis de poser le diagnostic de bisalbuminémie par la découverte d’un épaulement du pic de l’albumine sérique chez les cas N° 2 et 3, un dédoublement de ce pic chez les cas N°s 1 et 5, et enfin un épaulement puis un dédoublement du pic chez le cas N°4. Le reste des explorations effectués ont retrouvé un syndrome néphrotique chez les cas N°2 à 4, un diabète chez le cas N°5 et un adénocarcinome hépatique secondaire chez le cas N° 1.
Discussion
Les 5 cas de bisalbuminémies sont à variantes rapides dont 3 sont d’étiologie acquise (les cas N° 1, 3et 4), 1 d’étiologie héréditaire (cas N°5). Le mécanisme physiopathologique demeure non élucidé dans le cas de bisalbuminémie associée à l’adénocarcinome hépatique. L’oxydation de l’albumine sérique humaine pourrait constituer une hypothèse physiopathologique dans l’association bisalbuminémie-syndrome néphrotique et la glycation est une hypothèse expliquant l’association bisalbuminémie-diabète.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2492015 Président : CHABRAOUI.L Directeur : OUZZIF.Z Juge : CHERKAOUI.N Juge : RABHI.M Juge : DAMI.A-BELMEKKI.A Les bisalbuminémies: à propos de cinq cas colligés au laboratoire de biochimie-toxicologie de l’HMIMV [thèse] / UGOANI Elizabeth Onyekachi, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bisalbuminémie Electrophorèse Albuminémie Syndrome néphrotique Résumé : Introduction
Les bisalbuminémies, états rares considérés auparavant comme une curiosité biochimique, sont aujourd’hui un sujet d’actualité et font l’objet de travaux de recherches poussées. En effet, elles revêtent plusieurs intérêts, clinique, dans les domaines de la recherche et de la biotechnologie.
Patients et méthodes
Ce travail présente 5 cas de bisalbuminémies identifiés sur environ 42 000 électrophorèses des protéines sériques pratiquées au service de biochimie-toxicologie de l’HMIMV sur une période de 23 ans (1992-2015).
Résultats
Les résultats des éléctrophorèses des cinq cas colligés ont permis de poser le diagnostic de bisalbuminémie par la découverte d’un épaulement du pic de l’albumine sérique chez les cas N° 2 et 3, un dédoublement de ce pic chez les cas N°s 1 et 5, et enfin un épaulement puis un dédoublement du pic chez le cas N°4. Le reste des explorations effectués ont retrouvé un syndrome néphrotique chez les cas N°2 à 4, un diabète chez le cas N°5 et un adénocarcinome hépatique secondaire chez le cas N° 1.
Discussion
Les 5 cas de bisalbuminémies sont à variantes rapides dont 3 sont d’étiologie acquise (les cas N° 1, 3et 4), 1 d’étiologie héréditaire (cas N°5). Le mécanisme physiopathologique demeure non élucidé dans le cas de bisalbuminémie associée à l’adénocarcinome hépatique. L’oxydation de l’albumine sérique humaine pourrait constituer une hypothèse physiopathologique dans l’association bisalbuminémie-syndrome néphrotique et la glycation est une hypothèse expliquant l’association bisalbuminémie-diabète.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2492015 Président : CHABRAOUI.L Directeur : OUZZIF.Z Juge : CHERKAOUI.N Juge : RABHI.M Juge : DAMI.A-BELMEKKI.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2492015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M2492015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Déficit en facteur XII de la coagulation et syndrome néphrotique : A propos 16 cas. / ALLALI IBRAHIM
Titre : Déficit en facteur XII de la coagulation et syndrome néphrotique : A propos 16 cas. Type de document : thèse Auteurs : ALLALI IBRAHIM, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome néphrotique facteur Hageman physiopathologie Résumé : Introduction : Le syndrome néphrotique est responsable d’un état d’hypercoagulabilité, d’hyperplaquettose, d’augmentation de la synthèse hépatique de certains facteurs de la coagulation (facteurs I, VII, VIII, X) et d’inhibiteurs de la fibrinolyse, de diminution d’autres protéines plasmatiques du fait de leur fuite urinaire surtout le facteur XII (Facteur Hageman) : glycoprotéine de bas poids moléculaire (PM : 76 kDa), expliquant le risque important de complications thromboemboliques.
Matériels et méthodes : Dans ce travail, nous rapportons 16 cas de déficit en facteur XII, secondaire à un syndrome néphrotique. Ces cas sont diagnostiqués durant une période de 12 mois s’étalant de 21/04/2014 au 20/04/2015.
Résultats et discussion : 16 cas étaient diagnostiqués déficitaires en facteur XII, avec un TCA allongé dans 100 % des cas. Chez tous les patients on a réalisé l’indice de Rosner qui s’avère inférieur à 12 %, profil en faveur d’un déficit en facteurs. Le dosage des facteurs de la voie endogène (VIII, IX, XI, et le XII) révèle un déficit isolé en facteur XII.
Conclusion : Bien que le déficit en facteur XII soit responsable d’un allongement du TCA, il n’entraîne pas un risque hémorragique. Il favoriserait plutôt un état pro-thrombotique. D’où la nécessité de rechercher systématiquement des anomalies de l’hémostase au cours du syndrome néphrotique
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0822015 Président : DAMI.A Directeur : MASRAR.A Juge : BENCHEKROUN.L Juge : BENKIRANE.S Déficit en facteur XII de la coagulation et syndrome néphrotique : A propos 16 cas. [thèse] / ALLALI IBRAHIM, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syndrome néphrotique facteur Hageman physiopathologie Résumé : Introduction : Le syndrome néphrotique est responsable d’un état d’hypercoagulabilité, d’hyperplaquettose, d’augmentation de la synthèse hépatique de certains facteurs de la coagulation (facteurs I, VII, VIII, X) et d’inhibiteurs de la fibrinolyse, de diminution d’autres protéines plasmatiques du fait de leur fuite urinaire surtout le facteur XII (Facteur Hageman) : glycoprotéine de bas poids moléculaire (PM : 76 kDa), expliquant le risque important de complications thromboemboliques.
Matériels et méthodes : Dans ce travail, nous rapportons 16 cas de déficit en facteur XII, secondaire à un syndrome néphrotique. Ces cas sont diagnostiqués durant une période de 12 mois s’étalant de 21/04/2014 au 20/04/2015.
Résultats et discussion : 16 cas étaient diagnostiqués déficitaires en facteur XII, avec un TCA allongé dans 100 % des cas. Chez tous les patients on a réalisé l’indice de Rosner qui s’avère inférieur à 12 %, profil en faveur d’un déficit en facteurs. Le dosage des facteurs de la voie endogène (VIII, IX, XI, et le XII) révèle un déficit isolé en facteur XII.
Conclusion : Bien que le déficit en facteur XII soit responsable d’un allongement du TCA, il n’entraîne pas un risque hémorragique. Il favoriserait plutôt un état pro-thrombotique. D’où la nécessité de rechercher systématiquement des anomalies de l’hémostase au cours du syndrome néphrotique
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0822015 Président : DAMI.A Directeur : MASRAR.A Juge : BENCHEKROUN.L Juge : BENKIRANE.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0822015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2015 Disponible P0822015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2015 Disponible Etude d’une cohorte d’amyloses cliniques et infracliniques : typage immunohistochimique et génétique pour une prise en charge adaptée. / Asmae BZIZ
Titre : Etude d’une cohorte d’amyloses cliniques et infracliniques : typage immunohistochimique et génétique pour une prise en charge adaptée. Type de document : thèse Auteurs : Asmae BZIZ, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Amylose rénale Protéinurie Syndrome Néphrotique Ponction Biopsie Rénale Insuffisance Rénale Maladies Inflammatoire Chroniques. Résumé : L’amylose est une affection rare, engageant souvent le pronostic vital ; elle est due à des dépôts extracellulaires de substance amyloïde, constituée par des protéines ayant une structure β-plissée, d’où ses propriétés tinctoriales spécifiques.
Notre travail est une étude prospective de type descriptive et analytique, à type de suivi de cohorte, portant sur des patients pris en charge pour amylose rénale accusant une anomalie de la fonction rénale de degré variable, confirmé par ponction biopsie rénale (PBR) et biopsie des glandes salivaires (BGSA) au sein du laboratoire d’Anatomie Cytologie Pathologiques, à l’Hôpital d’Enfants de Rabat sur une période de 5 ans allant de 2010 à 2015.
Notre étude a pour objectif de décrire les caractéristiques cliniques, histologiques et épidémiologiques des patients atteints de l’amylose rénale afin de dégager les facteurs pronostiques associés à la survenue de l’amylose clinique et infraclinique ainsi de rechercher des mutations génétiques propres à notre contrée méditerranéenne.
Le diagnostic précis de l’amylose est retenu par examen histopathologique et notamment les résultats de l’étude immunohistochimique.
Notre étude clinique confirme la nette prédominance de l’amylose AA compliquant les maladies infectieuses chroniques, en particulier la tuberculose. L’indication de la ponction biopsie rénale est dominée par le syndrome néphrotique. Notre étude a mis en évidence les différents facteurs pronostiques influençant l’évolution de la fonction rénale au cours de l’amylose rénale notamment l’insuffisance rénale initiale et le débit de protéinurie.
Nous avons également diagnostiqué l’amylose à un stade infraclinique. Les facteurs de risque liés à la survenue de l’amylose infraclinique au cours des maladies inflammatoires chroniques notamment la polyarthrite rhumatoïde était la durée d’évolution et la protéinurie.
L’étude génétique nous a permis de mettre en évidence trois mutations du gène FMF : la mutation M694V à l’état homozygote et les mutations V726A et A744S à l’état hétérozygote.
L’amylose rénale est une maladie grave dont le pronostic est sévère en l’absence de traitement efficace.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : D0112015 Président : OUZEDDOUN.N Directeur : ALHAMANY.Z Juge : HILALI.S Juge : ARRAYHANI.M Juge : LAMALMI.N-RAOUAS.L Etude d’une cohorte d’amyloses cliniques et infracliniques : typage immunohistochimique et génétique pour une prise en charge adaptée. [thèse] / Asmae BZIZ, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Amylose rénale Protéinurie Syndrome Néphrotique Ponction Biopsie Rénale Insuffisance Rénale Maladies Inflammatoire Chroniques. Résumé : L’amylose est une affection rare, engageant souvent le pronostic vital ; elle est due à des dépôts extracellulaires de substance amyloïde, constituée par des protéines ayant une structure β-plissée, d’où ses propriétés tinctoriales spécifiques.
Notre travail est une étude prospective de type descriptive et analytique, à type de suivi de cohorte, portant sur des patients pris en charge pour amylose rénale accusant une anomalie de la fonction rénale de degré variable, confirmé par ponction biopsie rénale (PBR) et biopsie des glandes salivaires (BGSA) au sein du laboratoire d’Anatomie Cytologie Pathologiques, à l’Hôpital d’Enfants de Rabat sur une période de 5 ans allant de 2010 à 2015.
Notre étude a pour objectif de décrire les caractéristiques cliniques, histologiques et épidémiologiques des patients atteints de l’amylose rénale afin de dégager les facteurs pronostiques associés à la survenue de l’amylose clinique et infraclinique ainsi de rechercher des mutations génétiques propres à notre contrée méditerranéenne.
Le diagnostic précis de l’amylose est retenu par examen histopathologique et notamment les résultats de l’étude immunohistochimique.
Notre étude clinique confirme la nette prédominance de l’amylose AA compliquant les maladies infectieuses chroniques, en particulier la tuberculose. L’indication de la ponction biopsie rénale est dominée par le syndrome néphrotique. Notre étude a mis en évidence les différents facteurs pronostiques influençant l’évolution de la fonction rénale au cours de l’amylose rénale notamment l’insuffisance rénale initiale et le débit de protéinurie.
Nous avons également diagnostiqué l’amylose à un stade infraclinique. Les facteurs de risque liés à la survenue de l’amylose infraclinique au cours des maladies inflammatoires chroniques notamment la polyarthrite rhumatoïde était la durée d’évolution et la protéinurie.
L’étude génétique nous a permis de mettre en évidence trois mutations du gène FMF : la mutation M694V à l’état homozygote et les mutations V726A et A744S à l’état hétérozygote.
L’amylose rénale est une maladie grave dont le pronostic est sévère en l’absence de traitement efficace.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : D0112015 Président : OUZEDDOUN.N Directeur : ALHAMANY.Z Juge : HILALI.S Juge : ARRAYHANI.M Juge : LAMALMI.N-RAOUAS.L Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité D0112015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Doctorat SVS 2015 Disponible D0112015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Doctorat SVS 2015 Disponible La Glomérulonéphrite extra-membraneuse. Aspects cliniques, biologiques, thérapeutiques et évolutifs : à propos de 30 cas. / El ADRAOUI Yassine
Titre : La Glomérulonéphrite extra-membraneuse. Aspects cliniques, biologiques, thérapeutiques et évolutifs : à propos de 30 cas. Type de document : thèse Auteurs : El ADRAOUI Yassine, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Glomérulonéphrite extramembraneuse Syndrome néphrotique Histologie Traitement Evolution. Résumé : Introduction: La GEM est la deuxième glomérulopathie primitive en termes de prévalence. L’indication et l’efficacité des différents traitements sont controversées. Notre travail vise à déterminer le profil clinico-biologique et histologique des GEM et à évaluer ses aspects thérapeutiques et évolutifs.
Patients et méthodes: Étude rétrospective sur une période de 5 ans (2010-2014) incluant 30 cas de GEM confirmées par une PBR (MO+IF), avec un suivi minimal de 6 mois. Le critère principal de l’étude était l’obtention d’une rémission du syndrome néphrotique. La rémission complète était définie par une protéinurie <0,3g/24h et la rémission partielle par une protéinurie entre 0,3 et 3g/24h.
Résultats: 30 patients ont une GEM sans prédominance de sexe avec un âge moyen de 38 ans. Le syndrome néphrotique était le principal mode de révélation (93,3%). Le stade 2 histologique était prédominant à 56,7%. Le bilan étiologique a retrouvé une GEM lupique dans 10% des cas et une GEM primitive dans 90% des cas. Les anticorps anti-PLA2R1 étaient positifs chez 4 patients avec une GEM primitive. À 6 mois, nous avons obtenu une rémission chez 46,7% des patients. Dix patients ont reçu un traitement étiopathogénique. La rémission totale était de 86,9% dans les formes primitives et 100% dans les formes secondaires.
Discussion: Une enquête étiologique est nécessaire pour retenir une GEM primitive ou secondaire. La recherche d’anticorps anti-PLA2R1 a un intérêt diagnostique, pronostique et évolutif. Le traitement immunosuppresseur est réservé aux patients à fort risque évolutif.
Conclusion: Une prise en charge rapide et continue permet une approche thérapeutique visant à obtenir une rémission et réduire la morbi-mortalité liée à la GEM.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1432015 Président : BENAMAR.M Directeur : BENYAHIA.M Juge : SEKKACH.Y Juge : OUKABLI.M La Glomérulonéphrite extra-membraneuse. Aspects cliniques, biologiques, thérapeutiques et évolutifs : à propos de 30 cas. [thèse] / El ADRAOUI Yassine, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Glomérulonéphrite extramembraneuse Syndrome néphrotique Histologie Traitement Evolution. Résumé : Introduction: La GEM est la deuxième glomérulopathie primitive en termes de prévalence. L’indication et l’efficacité des différents traitements sont controversées. Notre travail vise à déterminer le profil clinico-biologique et histologique des GEM et à évaluer ses aspects thérapeutiques et évolutifs.
Patients et méthodes: Étude rétrospective sur une période de 5 ans (2010-2014) incluant 30 cas de GEM confirmées par une PBR (MO+IF), avec un suivi minimal de 6 mois. Le critère principal de l’étude était l’obtention d’une rémission du syndrome néphrotique. La rémission complète était définie par une protéinurie <0,3g/24h et la rémission partielle par une protéinurie entre 0,3 et 3g/24h.
Résultats: 30 patients ont une GEM sans prédominance de sexe avec un âge moyen de 38 ans. Le syndrome néphrotique était le principal mode de révélation (93,3%). Le stade 2 histologique était prédominant à 56,7%. Le bilan étiologique a retrouvé une GEM lupique dans 10% des cas et une GEM primitive dans 90% des cas. Les anticorps anti-PLA2R1 étaient positifs chez 4 patients avec une GEM primitive. À 6 mois, nous avons obtenu une rémission chez 46,7% des patients. Dix patients ont reçu un traitement étiopathogénique. La rémission totale était de 86,9% dans les formes primitives et 100% dans les formes secondaires.
Discussion: Une enquête étiologique est nécessaire pour retenir une GEM primitive ou secondaire. La recherche d’anticorps anti-PLA2R1 a un intérêt diagnostique, pronostique et évolutif. Le traitement immunosuppresseur est réservé aux patients à fort risque évolutif.
Conclusion: Une prise en charge rapide et continue permet une approche thérapeutique visant à obtenir une rémission et réduire la morbi-mortalité liée à la GEM.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1432015 Président : BENAMAR.M Directeur : BENYAHIA.M Juge : SEKKACH.Y Juge : OUKABLI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1432015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1432015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Documents numériques
M1432015URL Hyalinose segmentaire et focal idiopathique : A propos de 104 cas / NYIRAHABINEZA Anita
Titre : Hyalinose segmentaire et focal idiopathique : A propos de 104 cas Type de document : thèse Auteurs : NYIRAHABINEZA Anita, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyalinose segmentaire et focale Syndrome néphrotique Glomérulopathies idiopathiques Corticothérapie. Résumé : Introduction : La hyalinose segmentaire et focale idiopathique (HSFI) est l’une des causes du syndrome néphrotique (SN) en constante augmentation ces dernières années. La corticothérapie constitue le traitement de base.
Matériel et méthodes : Etude rétrospective menée de Janvier 2006 à Décembre 2014, incluant 104 patients avec une HSFI. Nous avons évalué leurs caractéristiques épidémiologiques, cliniques, biologiques et histologiques, leurs régimes thérapeutiques et leur évolution.
Résultats : L’âge moyen de nos patients est de 32,2±11,9ans avec un sexe ratio de 1,6. Dès l’admission, le SN est présent chez 93 patients (89% des cas) avec une protéinurie (PU) médiane à 6,6g/24h et l’insuffisance rénale chez 37 patients (35,5%) avec une créatininémie médiane à 10,9 mg/l. La HSF type NOS est la plus fréquente, présente dans 60,6% des cas. Quatre-vingt-six patients sont traités par une corticothérapie avec un taux de rémission (complète et partielle) à 86,5%. Trente et un patients ont rechuté et retraité par une corticothérapie. Après un suivi médian de 18 mois, six patients étaient cortico-dépendants, et 5 patients cortico-résistants. Seulement 3 patients ont évolué vers une insuffisance rénale terminale (IRCT).
Conclusion : Au cours de la HSFI, une prise en charge adéquate se basant sur la corticothérapie est impérative pour obtenir une rémission et réduire la progression vers l’IRCT. Le niveau initial de la PU est retenu comme facteur de non rémission chez nos patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2492016 Président : BAHAYIA.R Directeur : OUZEDDOUN.N Juge : KABBAJ.D Juge : AL HAMMANY.Z Hyalinose segmentaire et focal idiopathique : A propos de 104 cas [thèse] / NYIRAHABINEZA Anita, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hyalinose segmentaire et focale Syndrome néphrotique Glomérulopathies idiopathiques Corticothérapie. Résumé : Introduction : La hyalinose segmentaire et focale idiopathique (HSFI) est l’une des causes du syndrome néphrotique (SN) en constante augmentation ces dernières années. La corticothérapie constitue le traitement de base.
Matériel et méthodes : Etude rétrospective menée de Janvier 2006 à Décembre 2014, incluant 104 patients avec une HSFI. Nous avons évalué leurs caractéristiques épidémiologiques, cliniques, biologiques et histologiques, leurs régimes thérapeutiques et leur évolution.
Résultats : L’âge moyen de nos patients est de 32,2±11,9ans avec un sexe ratio de 1,6. Dès l’admission, le SN est présent chez 93 patients (89% des cas) avec une protéinurie (PU) médiane à 6,6g/24h et l’insuffisance rénale chez 37 patients (35,5%) avec une créatininémie médiane à 10,9 mg/l. La HSF type NOS est la plus fréquente, présente dans 60,6% des cas. Quatre-vingt-six patients sont traités par une corticothérapie avec un taux de rémission (complète et partielle) à 86,5%. Trente et un patients ont rechuté et retraité par une corticothérapie. Après un suivi médian de 18 mois, six patients étaient cortico-dépendants, et 5 patients cortico-résistants. Seulement 3 patients ont évolué vers une insuffisance rénale terminale (IRCT).
Conclusion : Au cours de la HSFI, une prise en charge adéquate se basant sur la corticothérapie est impérative pour obtenir une rémission et réduire la progression vers l’IRCT. Le niveau initial de la PU est retenu comme facteur de non rémission chez nos patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2492016 Président : BAHAYIA.R Directeur : OUZEDDOUN.N Juge : KABBAJ.D Juge : AL HAMMANY.Z Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2492016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M2492016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible MALADIE DE CROHN ET AMYLOSE RÉNALE : A PROPOS DE 03 OBSERVATIONS ET UNE REVUE DE LA LITTÉRATURE / Yasmine AZIZE
Titre : MALADIE DE CROHN ET AMYLOSE RÉNALE : A PROPOS DE 03 OBSERVATIONS ET UNE REVUE DE LA LITTÉRATURE Type de document : thèse Auteurs : Yasmine AZIZE, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladie de crohn Syndrome néphrotique Amylose rénale Protéine amyloide A insuffisance rénale Résumé : Introduction : La maladie de Crohn (MC) est une maladie inflammatoire chronique de
l'intestin qui peut toucher n'importe quelle partie du tractus gastro-intestinal, avec une
prédilection pour la région iléocæcale. Cette affection se manifeste par des périodes de
poussées inflammatoires entrecoupées de rémissions. Outre les symptômes digestifs, la
MC peut entraîner des manifestations extra-digestives, dont l'amylose rénale, une
complication rare mais grave. L'amylose rénale de type AA survient généralement après
une longue évolution de la maladie, se manifestant souvent par un syndrome
néphrotique. L’objectif de ce travail est de présenter trois cas cliniques de patients
atteints de maladie de Crohn compliquée d'amylose rénale, et d'analyser les
particularités évolutives et les stratégies thérapeutiques basées sur une revue de la
littérature.
Matériels et méthodes :
Observation 1 : Il s'agit d'une patiente de 35 ans, suivie depuis 2008 pour une maladie
de Crohn avec atteinte ano-périnéale et colique. Après six ans d'évolution, la patiente a
développé un syndrome néphrotique pur, caractérisé par une protéinurie massive. Face
à ce tableau clinique, une ponction-biopsie rénale a été réalisée, confirmant le diagnostic
d'amylose rénale de type AA.
Observation 2 : Ce cas concerne une patiente de 66 ans, suivie depuis 2019 pour une
maladie de Crohn avec atteinte ano-périanale. Trois ans après le diagnostic, elle a
présenté un syndrome œdémateux. Les analyses biologiques ont révélé un syndrome
néphrotique pur, ce qui a conduit à une biopsie rénale. Cette investigation a permis
de confirmer le diagnostic d'amylose rénale de type AA.
Observation 3 : Le dernier cas concerne un jeune homme de 17 ans, suivi depuis 2017
pour une maladie de Crohn à localisation iléo-colique. Après trois ans d'évolution, il a
développé des œdèmes des membres inférieurs. Les examens biologiques ont révélé un
syndrome néphrotique avec protéinurie et hypoalbuminémie. Une biopsie rénale a été
réalisée, confirmant le diagnostic d'amylose rénale de type AA.
Conclusion : La recherche systématique d'une atteinte rénale chez les patients atteints
de maladie de Crohn est essentielle pour un diagnostic précoce. L'initiation rapide d'un
traitement de fond, incluant des biothérapies comme les anti-TNF alpha, s'avère cruciale
pour stabiliser, voire réverser, l'évolution de l'amylose rénale. Ces trois cas
cliniques illustrent l'efficacité des stratégies thérapeutiques modernes dans la prise en
charge des complications rénales liées à la maladie de Crohn, soulignant
l'importance d'une collaboration étroite entre gastroentérologues et néphrologues
pour optimiser le pronostic des patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3802024 Président : Jamal FATIHI Directeur : Mouna TAMZAOURTE Juge : Yassir ZAJJARI Juge : Tarik ADIOUI Juge : Mohamed Reda ELOUCHI MALADIE DE CROHN ET AMYLOSE RÉNALE : A PROPOS DE 03 OBSERVATIONS ET UNE REVUE DE LA LITTÉRATURE [thèse] / Yasmine AZIZE, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Maladie de crohn Syndrome néphrotique Amylose rénale Protéine amyloide A insuffisance rénale Résumé : Introduction : La maladie de Crohn (MC) est une maladie inflammatoire chronique de
l'intestin qui peut toucher n'importe quelle partie du tractus gastro-intestinal, avec une
prédilection pour la région iléocæcale. Cette affection se manifeste par des périodes de
poussées inflammatoires entrecoupées de rémissions. Outre les symptômes digestifs, la
MC peut entraîner des manifestations extra-digestives, dont l'amylose rénale, une
complication rare mais grave. L'amylose rénale de type AA survient généralement après
une longue évolution de la maladie, se manifestant souvent par un syndrome
néphrotique. L’objectif de ce travail est de présenter trois cas cliniques de patients
atteints de maladie de Crohn compliquée d'amylose rénale, et d'analyser les
particularités évolutives et les stratégies thérapeutiques basées sur une revue de la
littérature.
Matériels et méthodes :
Observation 1 : Il s'agit d'une patiente de 35 ans, suivie depuis 2008 pour une maladie
de Crohn avec atteinte ano-périnéale et colique. Après six ans d'évolution, la patiente a
développé un syndrome néphrotique pur, caractérisé par une protéinurie massive. Face
à ce tableau clinique, une ponction-biopsie rénale a été réalisée, confirmant le diagnostic
d'amylose rénale de type AA.
Observation 2 : Ce cas concerne une patiente de 66 ans, suivie depuis 2019 pour une
maladie de Crohn avec atteinte ano-périanale. Trois ans après le diagnostic, elle a
présenté un syndrome œdémateux. Les analyses biologiques ont révélé un syndrome
néphrotique pur, ce qui a conduit à une biopsie rénale. Cette investigation a permis
de confirmer le diagnostic d'amylose rénale de type AA.
Observation 3 : Le dernier cas concerne un jeune homme de 17 ans, suivi depuis 2017
pour une maladie de Crohn à localisation iléo-colique. Après trois ans d'évolution, il a
développé des œdèmes des membres inférieurs. Les examens biologiques ont révélé un
syndrome néphrotique avec protéinurie et hypoalbuminémie. Une biopsie rénale a été
réalisée, confirmant le diagnostic d'amylose rénale de type AA.
Conclusion : La recherche systématique d'une atteinte rénale chez les patients atteints
de maladie de Crohn est essentielle pour un diagnostic précoce. L'initiation rapide d'un
traitement de fond, incluant des biothérapies comme les anti-TNF alpha, s'avère cruciale
pour stabiliser, voire réverser, l'évolution de l'amylose rénale. Ces trois cas
cliniques illustrent l'efficacité des stratégies thérapeutiques modernes dans la prise en
charge des complications rénales liées à la maladie de Crohn, soulignant
l'importance d'une collaboration étroite entre gastroentérologues et néphrologues
pour optimiser le pronostic des patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3802024 Président : Jamal FATIHI Directeur : Mouna TAMZAOURTE Juge : Yassir ZAJJARI Juge : Tarik ADIOUI Juge : Mohamed Reda ELOUCHI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3802024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible SYNDROME NEPHROTIQUE CORTICODEPENDANT / Najoua BENHAMMADI
Titre : SYNDROME NEPHROTIQUE CORTICODEPENDANT Type de document : thèse Auteurs : Najoua BENHAMMADI, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome néphrotique Corticodépendant Rechute Immunosuppresseur Résumé : ntroduction : le syndrome néphrotique corticodépendant représente une forme particulière du
syndrome néphrotique, définie par la survenue d’une rechute pendant la diminution ou l’arrêt des
corticoïdes (dans les 3 mois selon la DF et dans les 15jours selon la DI)
Objectifs : Décrire le profil clinique, biologique, thérapeutique et évolutif du SNCD.
Matériels et méthodes : Etude rétrospective descriptive incluant les patients atteints de SNCD
de 2012 à 2023
Résultats : Six patients ont été colligés. L’âge médian de début de la maladie était à 24 ans
(extrêmes allant de 5 à 69 ans) avec un sexe ratio à 2. La symptomatologie initiale était dominée par le
syndrome œdémateux. La protéinurie moyenne était de 5,9 g/24h.La protidémie moyenne était de 45
g/l. L’albuminémie moyenne était de 18,2 g/l. La moyenne du DFG est de 129,3 ml/min /1.73m2
. La
dyslipidémie a été retrouvée chez 3 patients. Le type histologique le plus retrouvé était la LGM. La
durée moyenne de la maladie était de 7,33 ±3,9 ans avec un nombre moyen de rechute de 5 ± 1,53. La
corticothérapie représente le traitement de fond de première intention. Le recours aux
immunosuppresseurs a été fait chez 5 patients :3 pour la survenue de complications cortico-induites et
2 pour la multiplicité des rechutes. Les traitements utilisés sont le cyclophosphamide, la cyclosporine,
le MMF, le tacrolimus et le rituximab. Aux dernières nouvelles tous nos patients sont en rémission. Les
effets secondaires liées aux corticoïdes observés chez nos patients sont le faciès cushingoïde,
l’ostéoporose, l’acné et les vergetures abdominales.
Conclusion : Le syndrome néphrotique idiopathique corticodépendant constitue un défi
thérapeutique majeur nécessitant une gestion précise et une surveillance régulière.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0942024 Président : Rachid ABILKASSEM Directeur : Driss EL KABBAJ Juge : Kawtar HASSANI Juge : Dina IBRAHIM MOUNTASSER SYNDROME NEPHROTIQUE CORTICODEPENDANT [thèse] / Najoua BENHAMMADI, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syndrome néphrotique Corticodépendant Rechute Immunosuppresseur Résumé : ntroduction : le syndrome néphrotique corticodépendant représente une forme particulière du
syndrome néphrotique, définie par la survenue d’une rechute pendant la diminution ou l’arrêt des
corticoïdes (dans les 3 mois selon la DF et dans les 15jours selon la DI)
Objectifs : Décrire le profil clinique, biologique, thérapeutique et évolutif du SNCD.
Matériels et méthodes : Etude rétrospective descriptive incluant les patients atteints de SNCD
de 2012 à 2023
Résultats : Six patients ont été colligés. L’âge médian de début de la maladie était à 24 ans
(extrêmes allant de 5 à 69 ans) avec un sexe ratio à 2. La symptomatologie initiale était dominée par le
syndrome œdémateux. La protéinurie moyenne était de 5,9 g/24h.La protidémie moyenne était de 45
g/l. L’albuminémie moyenne était de 18,2 g/l. La moyenne du DFG est de 129,3 ml/min /1.73m2
. La
dyslipidémie a été retrouvée chez 3 patients. Le type histologique le plus retrouvé était la LGM. La
durée moyenne de la maladie était de 7,33 ±3,9 ans avec un nombre moyen de rechute de 5 ± 1,53. La
corticothérapie représente le traitement de fond de première intention. Le recours aux
immunosuppresseurs a été fait chez 5 patients :3 pour la survenue de complications cortico-induites et
2 pour la multiplicité des rechutes. Les traitements utilisés sont le cyclophosphamide, la cyclosporine,
le MMF, le tacrolimus et le rituximab. Aux dernières nouvelles tous nos patients sont en rémission. Les
effets secondaires liées aux corticoïdes observés chez nos patients sont le faciès cushingoïde,
l’ostéoporose, l’acné et les vergetures abdominales.
Conclusion : Le syndrome néphrotique idiopathique corticodépendant constitue un défi
thérapeutique majeur nécessitant une gestion précise et une surveillance régulière.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0942024 Président : Rachid ABILKASSEM Directeur : Driss EL KABBAJ Juge : Kawtar HASSANI Juge : Dina IBRAHIM MOUNTASSER Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0942024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible TRAITEMENT PAR ANTI CD20 DANS LA GLOMERULONEPHRITE EXTRA MEMBRANEUSE IDIOPATHIQUE / ERRAJI CHAHID Hamza
Titre : TRAITEMENT PAR ANTI CD20 DANS LA GLOMERULONEPHRITE EXTRA MEMBRANEUSE IDIOPATHIQUE Type de document : thèse Auteurs : ERRAJI CHAHID Hamza, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome néphrotique Glomérulonéphrite extra-membraneuse primitive traitement anti-CD20 Rituximab Résumé : La Glomérulonéphrite extra-membraneuse (GEM) est la première cause de syndrome néphrotique de l’adulte, elle est primitive dans 80% des cas. Plusieurs thérapies font l’objet d’études pour le traitement de la GEM chez l’adulte notamment celles à base de l’anti CD-20 avec le Rituximab en chef de file.
Le but du travail était d’évaluer l’efficacité et la tolérance du Rituximab dans le traitement de cette pathologie à travers une série de cas de GEM primitive ayant bénéficié de cette thérapie au sein du service de Néphrologie Dialyse et Transplantation Rénale de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V de Rabat.
Le travail a colligé cinq cas : 3 de sexe masculin et 2 de sexe féminin avec une moyenne d'âge de 41 ans. Tous les patients avaient un syndrome néphrotique non compliqué et sans insuffisance rénale. Le Rituximab a été administré comme protocole de première ligne pour 4 cas alors qu’un cas l’a reçu en deuxième ligne après deux protocoles à base de corticoïdes et de cyclophosphamide. Tous les patients avaient reçu deux doses de Rituximab à 1g chacune et à 15 jours d’intervalle.
Le suivi varie entre 6 mois et 2 ans. Deux cas présentaient des anticorps anti PLA2R positifs. Un seul cas des cinq a présenté une rémission complète, le reste des cas ont obtenu une rémission partielle à 6 mois soutenue jusqu’à deux ans de suivi.
Aucun effet indésirable majeur n’a été rapporté. A noter qu'une seule patiente a présenté une infection au COVID 19 six mois après avoir le Rituximab.
Le Rituximab est un traitement ayant prouvé son efficacité et innocuité pour le traitement de la GEM notamment les formes peu sévères de syndrome néphrotique et en cas de désir de préservation de la fertilité.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4392021 Président : OUZEDDOUN NAIMA Directeur : EL KABBAJ DRISS ; HASSANI KAWTAR Juge : MONTASSER DINA Juge : AATIF TAOUFIQ TRAITEMENT PAR ANTI CD20 DANS LA GLOMERULONEPHRITE EXTRA MEMBRANEUSE IDIOPATHIQUE [thèse] / ERRAJI CHAHID Hamza, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syndrome néphrotique Glomérulonéphrite extra-membraneuse primitive traitement anti-CD20 Rituximab Résumé : La Glomérulonéphrite extra-membraneuse (GEM) est la première cause de syndrome néphrotique de l’adulte, elle est primitive dans 80% des cas. Plusieurs thérapies font l’objet d’études pour le traitement de la GEM chez l’adulte notamment celles à base de l’anti CD-20 avec le Rituximab en chef de file.
Le but du travail était d’évaluer l’efficacité et la tolérance du Rituximab dans le traitement de cette pathologie à travers une série de cas de GEM primitive ayant bénéficié de cette thérapie au sein du service de Néphrologie Dialyse et Transplantation Rénale de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V de Rabat.
Le travail a colligé cinq cas : 3 de sexe masculin et 2 de sexe féminin avec une moyenne d'âge de 41 ans. Tous les patients avaient un syndrome néphrotique non compliqué et sans insuffisance rénale. Le Rituximab a été administré comme protocole de première ligne pour 4 cas alors qu’un cas l’a reçu en deuxième ligne après deux protocoles à base de corticoïdes et de cyclophosphamide. Tous les patients avaient reçu deux doses de Rituximab à 1g chacune et à 15 jours d’intervalle.
Le suivi varie entre 6 mois et 2 ans. Deux cas présentaient des anticorps anti PLA2R positifs. Un seul cas des cinq a présenté une rémission complète, le reste des cas ont obtenu une rémission partielle à 6 mois soutenue jusqu’à deux ans de suivi.
Aucun effet indésirable majeur n’a été rapporté. A noter qu'une seule patiente a présenté une infection au COVID 19 six mois après avoir le Rituximab.
Le Rituximab est un traitement ayant prouvé son efficacité et innocuité pour le traitement de la GEM notamment les formes peu sévères de syndrome néphrotique et en cas de désir de préservation de la fertilité.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4392021 Président : OUZEDDOUN NAIMA Directeur : EL KABBAJ DRISS ; HASSANI KAWTAR Juge : MONTASSER DINA Juge : AATIF TAOUFIQ Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4392021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M4392021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
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