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Apport de l’analgésie péridurale thoracique dans les thoracotomies. / Imad TALEB
Titre : Apport de l’analgésie péridurale thoracique dans les thoracotomies. Type de document : thèse Auteurs : Imad TALEB, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Thoracotomie douleur postopératoire analgésie péridurale thoracique. Résumé : Introduction :La thoracotomie est l’une des interventions qui provoque la douleur postopératoire la plus intense et qui conduit à la demande de plus d’analgésiques.
Objectif de notre étude : montrer l’intérêt de l’analgésie péridurale thoracique dans les thoracotomies.
Matériel et méthodes : étuderétrospective menée sur une période de deux années portant sur les patients opérés par thoracotomies et ayant bénéficié de la pose d’un cathéter péridural thoracique.
Résultats :Cinquante-neufpatients ont été inclus.L’âge moyen des patients étudiés était de 41 ans [14 à 73 ans]. Les types de chirurgie retrouvés sont : 32 kyste hydatiques de poumon, 19 lobectomies,5 décortications et 3 pneumonectomies. Tous les patients ont bénéficiés de la pose d’un cathéterpéridural thoracique 54 cas en position assise et 5 cas en position de décubitus latéral. Le niveau de ponction était en T3 chez 12 patients, T4 chez 20 patients et T5 chez 27 patients. La pose du cathéter était difficile dans 25% des cas. Cinq cas de brèches vasculaires ont été mentionnés. L’analgésie post opératoire a été assurée par une injection unique de morphine chez 41 patients contre une perfusion continue d’anesthésiques locaux associés à un morphinique chez 18 patients. La satisfaction des patients de notre étude de la qualité de l’analgésie post opératoire était : 32 patients très satisfaits, 19 patients satisfaits et 8 patients insatisfaits.
Conclusion : La thoracotomie est l’une des chirurgies les plus douloureuses. Plusieurs techniques d’analgésie sont proposées. L’anesthésie péridurale thoracique est la technique la plus efficace.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2222016 Président : BALOUCH.L Directeur : MACHIMI.M.A Juge : GHABDANE ABDEDDAIME .H Juge : BOUCHIKHI.M Apport de l’analgésie péridurale thoracique dans les thoracotomies. [thèse] / Imad TALEB, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Thoracotomie douleur postopératoire analgésie péridurale thoracique. Résumé : Introduction :La thoracotomie est l’une des interventions qui provoque la douleur postopératoire la plus intense et qui conduit à la demande de plus d’analgésiques.
Objectif de notre étude : montrer l’intérêt de l’analgésie péridurale thoracique dans les thoracotomies.
Matériel et méthodes : étuderétrospective menée sur une période de deux années portant sur les patients opérés par thoracotomies et ayant bénéficié de la pose d’un cathéter péridural thoracique.
Résultats :Cinquante-neufpatients ont été inclus.L’âge moyen des patients étudiés était de 41 ans [14 à 73 ans]. Les types de chirurgie retrouvés sont : 32 kyste hydatiques de poumon, 19 lobectomies,5 décortications et 3 pneumonectomies. Tous les patients ont bénéficiés de la pose d’un cathéterpéridural thoracique 54 cas en position assise et 5 cas en position de décubitus latéral. Le niveau de ponction était en T3 chez 12 patients, T4 chez 20 patients et T5 chez 27 patients. La pose du cathéter était difficile dans 25% des cas. Cinq cas de brèches vasculaires ont été mentionnés. L’analgésie post opératoire a été assurée par une injection unique de morphine chez 41 patients contre une perfusion continue d’anesthésiques locaux associés à un morphinique chez 18 patients. La satisfaction des patients de notre étude de la qualité de l’analgésie post opératoire était : 32 patients très satisfaits, 19 patients satisfaits et 8 patients insatisfaits.
Conclusion : La thoracotomie est l’une des chirurgies les plus douloureuses. Plusieurs techniques d’analgésie sont proposées. L’anesthésie péridurale thoracique est la technique la plus efficace.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2222016 Président : BALOUCH.L Directeur : MACHIMI.M.A Juge : GHABDANE ABDEDDAIME .H Juge : BOUCHIKHI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2222016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M2222016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible
Titre : LE DOUBLE ARC AORTIQUE COMPLIQUE D’UNE DETRESSE RESPIRATOIRE Type de document : thèse Auteurs : ENNASRY IMANE., Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Double arc aortique Stridor Compression oesotrachéale Détresse
respiratoire ThoracotomieRésumé : Le double arc aortique représente une anomalie rare de l'arc aortique. Il correspond à
l’absence d’interruption du 4ème arc avec persistance de 2 crosses qui encerclent l’axe
oesotrachéal.
La symptomatologie clinique de DAA est habituellement précoce. Elle est notée dès la
période néonatale.
Il s’agit d’une malformation congénitale dont l’évolution est spectaculaire après la
correction chirurgicale et la levée de la compression œsotrachéale.
L’erreur ou le retard de diagnostic expose le patient à plusieurs complications entre autre
la détresse respiratoire
Un DAA décelé trop tardivement chez un patient en détresse respiratoire est souvent lié à
un pronostic plus sombre d’où l’intérêt d’une bonne connaissance de cette pathologie qu’il
faut y penser devant toute symptomatologie respiratoire persistante surtout chez le petit
enfant.
La détresse respiratoire est une urgence médicale dont le traitement est symptomatique et
instauré avant la chirurgie réparatrice de DAA.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3882021 Président : ABOULALAA Khalil Directeur : Abdelouahed BAITE Juge : Aziza BENTALHA Juge : CHTATA HASSAN Toufik Juge : Mohammed MEZIANE LE DOUBLE ARC AORTIQUE COMPLIQUE D’UNE DETRESSE RESPIRATOIRE [thèse] / ENNASRY IMANE., Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Double arc aortique Stridor Compression oesotrachéale Détresse
respiratoire ThoracotomieRésumé : Le double arc aortique représente une anomalie rare de l'arc aortique. Il correspond à
l’absence d’interruption du 4ème arc avec persistance de 2 crosses qui encerclent l’axe
oesotrachéal.
La symptomatologie clinique de DAA est habituellement précoce. Elle est notée dès la
période néonatale.
Il s’agit d’une malformation congénitale dont l’évolution est spectaculaire après la
correction chirurgicale et la levée de la compression œsotrachéale.
L’erreur ou le retard de diagnostic expose le patient à plusieurs complications entre autre
la détresse respiratoire
Un DAA décelé trop tardivement chez un patient en détresse respiratoire est souvent lié à
un pronostic plus sombre d’où l’intérêt d’une bonne connaissance de cette pathologie qu’il
faut y penser devant toute symptomatologie respiratoire persistante surtout chez le petit
enfant.
La détresse respiratoire est une urgence médicale dont le traitement est symptomatique et
instauré avant la chirurgie réparatrice de DAA.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3882021 Président : ABOULALAA Khalil Directeur : Abdelouahed BAITE Juge : Aziza BENTALHA Juge : CHTATA HASSAN Toufik Juge : Mohammed MEZIANE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3882021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M3882021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M3882021URLEFFICACITE COMPAREE DE LA BUPIVACAÏNE 0,15% VERSUS 0,5% EN ANALGESIE PERIDURALE CONTINUE APRES THORACOTOMIE / JIHANE BENNANI
Titre : EFFICACITE COMPAREE DE LA BUPIVACAÏNE 0,15% VERSUS 0,5% EN ANALGESIE PERIDURALE CONTINUE APRES THORACOTOMIE Type de document : thèse Auteurs : JIHANE BENNANI, Auteur Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : BUPIVACAÏNE ANALGÉSIE PÉRIDURALE THORACOTOMIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction : Les effets relatifs à la qualité, le volume ou la concentration des anesthésiques locaux utilisés pour l’anesthésie et l’analgésie épidurale continuent à susciter un grand débat. Dans plusieurs études, les résultats rapportés restent contradictoires du fait probable que la dose totale de l’anesthésique local n’est pas prise en considération. En effet c’est Bromage [75]qui a démontré que l’efficacité et l’analgésie est déterminée par la dose totale et non le volume ou la concentration de l’anesthésique local.
Objectif de notre étude : Comparer l’efficacité de la bupivacaine 0,5% en administration épidurale continue à la dose équivalente de 0,15%après une thoracotomie.
Matériel et méthodes : Etude clinique prospective randomisé ouverte réalisée au Bloc Opératoire Central de l’hôpital Ibn Sina de rabat, chez des patients classe ASA 1 ou ASA 2, programmés pour une chirurgie thoracique, scindés en deux groupes le premier c’est le groupe de patients ayant reçu la bupivacaine à la dose de 0,15% et le second groupe de patients ayant reçu la bupivicaine à la dose 0,5%. L’évaluation de la qualité de l’analgésie et de la tolérance hémodynamique et respiratoire post opératoire, au repos et lors de l’effort de toux, était réalisée à l’arrivée des patients à l’USI(H0), puis après une heure, 2heures, 6heures, 12heures, 18heures, 24heures et 48heures. Les effets collatéraux des deux doses ont été recherchés et notés.
Résultats : Durant une année, 52 patients ont été inclus. Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée entre les deux groupes quant à l’âge, le sexe, la taille, le poids, la classification ASA, les antécédents pathologiques. Néanmoins, l’EVA au repos était statistiquement basse chez les patients du groupe 2 (0,5%) de H0 à H1 (p<0,005%), pour l’EVA à l’effort cette différence a été constatée jusqu’à H18. Aucune différence n’a été notée quant à la tolérance hémodynamique ou respiratoire et la survenue d’un bloc moteur.
Conclusion : La bupivicaine administrée à la concentration de 0,5% et un débit de 15mg/heure (3cc/heure) semble affirmer son efficacité sur la qualité de l’analgésie post opératoire en chirurgie thoracique sans majoration des effets secondaires relatifs à la concentration de 0,15%.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0102011 Président : ABDERRAHIM AZZOUZI Directeur : RACHID EL MOUSSAOUI Juge : EL HIJRI AHMED Juge : KABIRI HASSAN Juge : AZENDOUR HICHAM EFFICACITE COMPAREE DE LA BUPIVACAÏNE 0,15% VERSUS 0,5% EN ANALGESIE PERIDURALE CONTINUE APRES THORACOTOMIE [thèse] / JIHANE BENNANI, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : BUPIVACAÏNE ANALGÉSIE PÉRIDURALE THORACOTOMIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction : Les effets relatifs à la qualité, le volume ou la concentration des anesthésiques locaux utilisés pour l’anesthésie et l’analgésie épidurale continuent à susciter un grand débat. Dans plusieurs études, les résultats rapportés restent contradictoires du fait probable que la dose totale de l’anesthésique local n’est pas prise en considération. En effet c’est Bromage [75]qui a démontré que l’efficacité et l’analgésie est déterminée par la dose totale et non le volume ou la concentration de l’anesthésique local.
Objectif de notre étude : Comparer l’efficacité de la bupivacaine 0,5% en administration épidurale continue à la dose équivalente de 0,15%après une thoracotomie.
Matériel et méthodes : Etude clinique prospective randomisé ouverte réalisée au Bloc Opératoire Central de l’hôpital Ibn Sina de rabat, chez des patients classe ASA 1 ou ASA 2, programmés pour une chirurgie thoracique, scindés en deux groupes le premier c’est le groupe de patients ayant reçu la bupivacaine à la dose de 0,15% et le second groupe de patients ayant reçu la bupivicaine à la dose 0,5%. L’évaluation de la qualité de l’analgésie et de la tolérance hémodynamique et respiratoire post opératoire, au repos et lors de l’effort de toux, était réalisée à l’arrivée des patients à l’USI(H0), puis après une heure, 2heures, 6heures, 12heures, 18heures, 24heures et 48heures. Les effets collatéraux des deux doses ont été recherchés et notés.
Résultats : Durant une année, 52 patients ont été inclus. Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée entre les deux groupes quant à l’âge, le sexe, la taille, le poids, la classification ASA, les antécédents pathologiques. Néanmoins, l’EVA au repos était statistiquement basse chez les patients du groupe 2 (0,5%) de H0 à H1 (p<0,005%), pour l’EVA à l’effort cette différence a été constatée jusqu’à H18. Aucune différence n’a été notée quant à la tolérance hémodynamique ou respiratoire et la survenue d’un bloc moteur.
Conclusion : La bupivicaine administrée à la concentration de 0,5% et un débit de 15mg/heure (3cc/heure) semble affirmer son efficacité sur la qualité de l’analgésie post opératoire en chirurgie thoracique sans majoration des effets secondaires relatifs à la concentration de 0,15%.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0102011 Président : ABDERRAHIM AZZOUZI Directeur : RACHID EL MOUSSAOUI Juge : EL HIJRI AHMED Juge : KABIRI HASSAN Juge : AZENDOUR HICHAM Réservation
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Titre : LES KYSTES PLEUROPERICARDIQUES : A PROPOS DE 21 CAS Type de document : thèse Auteurs : Samah SADIKI, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Médiastin Kystes pleuropéricardiques Complications Thoracotomie VATS Résumé : Introduction : Les kystes pleuropéricardiques sont des lésions médiastinales bénignes,
le plus souvent congénitale, d’évolution favorable. Du fait de son caractère souvent
asymptomatique, sa prise en charge est la surveillance et l’abstention thérapeutique. La
présence de complications ou la présentation atypique imposent un traitement radical
chirurgical.
Objectif : Décrire le profil épidémiologique, clinique, paraclinique, thérapeutique et
évolutif des kystes pleuropéricardiques.
Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective de 21 cas colligés au service
de chirurgie thoracique de l’HMIMV sur une période de 12 ans allant de 2009 jusqu’à 2020
Résultats : L’âge moyen est de 52.3 ans, avec une prédominance féminine de 71%. La
découverte était fortuite chez 76% de nos patients. Les signes cliniques sont représentés par la
toux dans 42% des cas et de douleurs thoraciques dans 28% des cas.
Tous nos patients (21 cas) ont bénéficié d’une radiographie thoracique de face et de
profil ainsi qu’une TDM thoracique qui a objectivé un kyste du médiastin moyen, à l’étage
supérieur chez 57% des patients et 43% au niveau de l’étage inférieur.
La chirurgie était le traitement de choix chez tous nos patients. Dix-huit de nos patients
(86%) ont bénéficié d’une chirurgie par vidéothoracoscopie, les autres patients (n=3) ont été
opérés par thoracotomie postérolatérale. La résection était complète dans 90% des cas. Les
suites opératoires ont été simples dans 95% des cas, un seul patient a présenté un hémothorax
repris chirurgicalement. Aucun cas de récidive n’a été noté.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3662021 Président : El Hassane KABIRI Directeur : El Hassane KABIRI Juge : Rahal MSSROURI Juge : Hanane EL OUAZZANI Juge : Mohamed OUKABLI-Hakim EL KAOUI LES KYSTES PLEUROPERICARDIQUES : A PROPOS DE 21 CAS [thèse] / Samah SADIKI, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Médiastin Kystes pleuropéricardiques Complications Thoracotomie VATS Résumé : Introduction : Les kystes pleuropéricardiques sont des lésions médiastinales bénignes,
le plus souvent congénitale, d’évolution favorable. Du fait de son caractère souvent
asymptomatique, sa prise en charge est la surveillance et l’abstention thérapeutique. La
présence de complications ou la présentation atypique imposent un traitement radical
chirurgical.
Objectif : Décrire le profil épidémiologique, clinique, paraclinique, thérapeutique et
évolutif des kystes pleuropéricardiques.
Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective de 21 cas colligés au service
de chirurgie thoracique de l’HMIMV sur une période de 12 ans allant de 2009 jusqu’à 2020
Résultats : L’âge moyen est de 52.3 ans, avec une prédominance féminine de 71%. La
découverte était fortuite chez 76% de nos patients. Les signes cliniques sont représentés par la
toux dans 42% des cas et de douleurs thoraciques dans 28% des cas.
Tous nos patients (21 cas) ont bénéficié d’une radiographie thoracique de face et de
profil ainsi qu’une TDM thoracique qui a objectivé un kyste du médiastin moyen, à l’étage
supérieur chez 57% des patients et 43% au niveau de l’étage inférieur.
La chirurgie était le traitement de choix chez tous nos patients. Dix-huit de nos patients
(86%) ont bénéficié d’une chirurgie par vidéothoracoscopie, les autres patients (n=3) ont été
opérés par thoracotomie postérolatérale. La résection était complète dans 90% des cas. Les
suites opératoires ont été simples dans 95% des cas, un seul patient a présenté un hémothorax
repris chirurgicalement. Aucun cas de récidive n’a été noté.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3662021 Président : El Hassane KABIRI Directeur : El Hassane KABIRI Juge : Rahal MSSROURI Juge : Hanane EL OUAZZANI Juge : Mohamed OUKABLI-Hakim EL KAOUI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3662021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M3662021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M3662021URLLes pleurésies enkystées chez l’enfant : intérêts de la prévention et place de la thoracoscopie. / Yvie Brenda VAHINY.
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Titre : Les pleurésies enkystées chez l’enfant : intérêts de la prévention et place de la thoracoscopie. Type de document : thèse Auteurs : Yvie Brenda VAHINY., Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : pleurésie enkystée prévention thoracoscopie thoracotomie enfant. Résumé : Le traitement de la pleurésie enkystée est chirurgical et nécessite toujours une anesthésie générale chez l’enfant.
Le but de ce travail est d’analyser l’épidémiologie, l’évolution et les modalités de prise en charge des pleurésies jusqu’à leur traitement au service de chirurgie pédiatrique.
Il s’agit une étude rétrospective de 12 dossiers de pleurésies enkystées opérées au service de Chirurgie A de l’Hôpital d’Enfants de Rabat entre janvier 2006 et décembre 2017.
Les délais entre les premiers symptômes et le transfert au service varient entre 1 mois et 3 mois.
L’âge moyen était de 8 ans avec une prédominance masculine (83,33%). Aucune saison spécifique de survenue. Les signes fonctionnels respiratoires étaient la dyspnée (41,67%), la toux (100%) et la douleur thoracique (33,33%). Tous les patients étaient vaccinés ou en cours de vaccination. L’examen clinique a révélé un syndrome d’épanchement liquidien fébrile (100%). À la radiographie thoracique, l’épanchement était de grande abondance (100%). L’échographie pulmonaire a montré des adhérences et cloisons (8,33%), une pachypleurite (8,33%) et un enkystement (16,67%). La tomodensitométrie a confirmé l’enkystement chez 91,67% des cas. Les germes retrouvés étaient : Staphylocoque doré (8,33%), BAAR (BK) (16,67%), BGN sensible à l’Amoxicilline (8,33%).
Deux patients ont bénéficié d’un drainage pleural avant l’admission. Les patients ont été traités par drainage seul (4), thoracoscopie (5), mini-thoracotomies (2) et thoracotomie classique (1).
L’hospitalisation pré-opératoire a duré 0 à 35 jours et l’hospitalisation post-opératoire 5 à 21 jours, pour un séjour total de 9 à 40 jours.
Il est important de traiter correctement et rapidement les cas de pleurésies, afin d’éviter leur enkystement et la chirurgie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3202018 Président : ABDELHAK.M Directeur : KISRA.M Juge : OULAHYANE.R Juge : ZERHOUNI.H Les pleurésies enkystées chez l’enfant : intérêts de la prévention et place de la thoracoscopie. [thèse] / Yvie Brenda VAHINY., Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : pleurésie enkystée prévention thoracoscopie thoracotomie enfant. Résumé : Le traitement de la pleurésie enkystée est chirurgical et nécessite toujours une anesthésie générale chez l’enfant.
Le but de ce travail est d’analyser l’épidémiologie, l’évolution et les modalités de prise en charge des pleurésies jusqu’à leur traitement au service de chirurgie pédiatrique.
Il s’agit une étude rétrospective de 12 dossiers de pleurésies enkystées opérées au service de Chirurgie A de l’Hôpital d’Enfants de Rabat entre janvier 2006 et décembre 2017.
Les délais entre les premiers symptômes et le transfert au service varient entre 1 mois et 3 mois.
L’âge moyen était de 8 ans avec une prédominance masculine (83,33%). Aucune saison spécifique de survenue. Les signes fonctionnels respiratoires étaient la dyspnée (41,67%), la toux (100%) et la douleur thoracique (33,33%). Tous les patients étaient vaccinés ou en cours de vaccination. L’examen clinique a révélé un syndrome d’épanchement liquidien fébrile (100%). À la radiographie thoracique, l’épanchement était de grande abondance (100%). L’échographie pulmonaire a montré des adhérences et cloisons (8,33%), une pachypleurite (8,33%) et un enkystement (16,67%). La tomodensitométrie a confirmé l’enkystement chez 91,67% des cas. Les germes retrouvés étaient : Staphylocoque doré (8,33%), BAAR (BK) (16,67%), BGN sensible à l’Amoxicilline (8,33%).
Deux patients ont bénéficié d’un drainage pleural avant l’admission. Les patients ont été traités par drainage seul (4), thoracoscopie (5), mini-thoracotomies (2) et thoracotomie classique (1).
L’hospitalisation pré-opératoire a duré 0 à 35 jours et l’hospitalisation post-opératoire 5 à 21 jours, pour un séjour total de 9 à 40 jours.
Il est important de traiter correctement et rapidement les cas de pleurésies, afin d’éviter leur enkystement et la chirurgie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3202018 Président : ABDELHAK.M Directeur : KISRA.M Juge : OULAHYANE.R Juge : ZERHOUNI.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3202018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M3202018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numériques
M3202018URLLA PRISE EN CHARGE CHIRURGICALE DES PLEURESIES ENKYSTEES CHEZ L’ENFANT : A PROPOS DE 7 CAS / LAHMA JAWAD
Titre : LA PRISE EN CHARGE CHIRURGICALE DES PLEURESIES ENKYSTEES CHEZ L’ENFANT : A PROPOS DE 7 CAS Type de document : thèse Auteurs : LAHMA JAWAD, Auteur Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : PLEURESIE ENKYSTEE THORACOSCOPIE THORACOTOMIE ENFANT Résumé : La pleurésie enkystée présente l'évolution naturelle d'une pleurésie purulente tardivement diagnostiquées, non ou mal traitées médicalement. Dans ce cas, la chirurgie a pour but de prévenir la récidive et de restituer la fonction respiratoire.
Le but de ce travail consiste à analyser les différents aspects thérapeutiques de la pleurésie enkystée de l’enfant et déduire les résultats de chaque technique chirurgicale à travers l'expérience du service de Chirurgie A de l’Hôpital d’Enfants de Rabat.
Pour mener ce travail, nous avons étudié rétrospectivement de 1998 à 2011 une série de 7 malades traités chirurgicalement de pleurésie enkystée et analysé les paramètres cliniques, paracliniques et étiologiques.
Nous avons obtenu comme résultats : Le sexe dominant est masculin dans 71,4% des cas avec un âge moyen de 6,85 ans, avec des extrêmes allant de 11 mois à 14 ans, La pleurésie est située 4 fois à gauche et 3 fois à droite. L'étiologie parapneumonique est la seule à être incriminée avec un cas de staphylococcie.
Les patients sont opérés avec thoracoscopie dans 5 cas contre un seul cas de thoracotomie. Le résultat est bon dans tous les cas avec apyrexie obtenue 2 à 5 jours après le traitement chirurgical et la durée d'hospitalisation a été de 17 à 21j. La radiographie thoracique post opératoire montrait une bonne expansion pulmonaire chez tous les cas.
La chirurgie reste un moyen thérapeutique ultime pour traiter la pleurésie enkystée de l’enfant, mais le choix de la technique varie en fonction de l'étiologie, du stade évolutif, de la qualité du parenchyme sous-jacent et du terrain sur lequel l'infection survient.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1712011 Président : MOHAMMED NAJIB BENHMAMOUCHE Directeur : MOUNIR KISRA Juge : CHAFIQ MAHRAOUI Juge : NAJAT LAMALMI LA PRISE EN CHARGE CHIRURGICALE DES PLEURESIES ENKYSTEES CHEZ L’ENFANT : A PROPOS DE 7 CAS [thèse] / LAHMA JAWAD, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PLEURESIE ENKYSTEE THORACOSCOPIE THORACOTOMIE ENFANT Résumé : La pleurésie enkystée présente l'évolution naturelle d'une pleurésie purulente tardivement diagnostiquées, non ou mal traitées médicalement. Dans ce cas, la chirurgie a pour but de prévenir la récidive et de restituer la fonction respiratoire.
Le but de ce travail consiste à analyser les différents aspects thérapeutiques de la pleurésie enkystée de l’enfant et déduire les résultats de chaque technique chirurgicale à travers l'expérience du service de Chirurgie A de l’Hôpital d’Enfants de Rabat.
Pour mener ce travail, nous avons étudié rétrospectivement de 1998 à 2011 une série de 7 malades traités chirurgicalement de pleurésie enkystée et analysé les paramètres cliniques, paracliniques et étiologiques.
Nous avons obtenu comme résultats : Le sexe dominant est masculin dans 71,4% des cas avec un âge moyen de 6,85 ans, avec des extrêmes allant de 11 mois à 14 ans, La pleurésie est située 4 fois à gauche et 3 fois à droite. L'étiologie parapneumonique est la seule à être incriminée avec un cas de staphylococcie.
Les patients sont opérés avec thoracoscopie dans 5 cas contre un seul cas de thoracotomie. Le résultat est bon dans tous les cas avec apyrexie obtenue 2 à 5 jours après le traitement chirurgical et la durée d'hospitalisation a été de 17 à 21j. La radiographie thoracique post opératoire montrait une bonne expansion pulmonaire chez tous les cas.
La chirurgie reste un moyen thérapeutique ultime pour traiter la pleurésie enkystée de l’enfant, mais le choix de la technique varie en fonction de l'étiologie, du stade évolutif, de la qualité du parenchyme sous-jacent et du terrain sur lequel l'infection survient.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1712011 Président : MOHAMMED NAJIB BENHMAMOUCHE Directeur : MOUNIR KISRA Juge : CHAFIQ MAHRAOUI Juge : NAJAT LAMALMI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1712011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible LA PRISE EN CHARGE CHIRURGICALE DU PNEUMOTHORAX SPONTANÉ / GOUNNI MERYEM
Titre : LA PRISE EN CHARGE CHIRURGICALE DU PNEUMOTHORAX SPONTANÉ Type de document : texte imprimé Auteurs : GOUNNI MERYEM; D: ACHIR ABDELLAH; J: BOUCHIKH MOHAMMED;ALILOU MUSTAPHA;; ;; P: SOUALHI MOUNA Année de publication : 2025 ISBN/ISSN/EAN : M0852025 Mots-clés : Pneumothorax spontané Spontaneous pneumothorax استرواح الصدر العفوي Prise en charge chirurgicale Surgical management العلاج الجراحي Chirurgie thoracoscopique vidéo-assistée Video-assisted thoracic surgery الجراحة بمساعدة الفيديو عبر التنظير الصدري Thoracotomie Thoracotomy بضع الصدر Pleurectomie Pleurectomy استئصال الغشاء الجنبي Résumé : Le pneumothorax spontané correspond à la présence d’air dans la cavité pleurale en l’absence de cause traumatique. Il peut être primaire, touchant des jeunes adultes sans pathologie pulmonaire, ou secondaire, associé à des maladies comme l’emphysème ou les cancers pulmonaires. Le pneumothorax spontané primaire est généralement causé par la rupture de bulles pulmonaires, tandis que la forme secondaire résulte de pathologies sous-jacentes. Bien que fréquente, cette condition présente un risque élevé de récidives. Le diagnostic repose sur des symptômes caractéristiques, tels qu’une douleur thoracique aiguë et une difficulté respiratoire, confirmés par des examens d’imagerie comme la radiographie ou le scanner. Le traitement a pour objectif de rétablir la réexpansion pulmonaire, de gérer les complications et de prévenir les récidives. Les options incluent la surveillance, le drainage thoracique et la chirurgie, cette dernière étant indiquée dans les cas de récidives, de complications ou d’échec des traitements conservateurs. Parmi les options chirurgicales, la chirurgie thoracoscopique vidéo-assistée est privilégiée pour son faible caractère invasif et sa récupération rapide. Cependant, la thoracotomie avec pleurectomie reste la méthode la plus efficace pour réduire le risque de récidive. La prise en charge doit être adaptée à chaque patient et réalisée par une équipe multidisciplinaire incluant chirurgiens, pneumologues et anesthésistes. Pour optimiser les résultats et améliorer la qualité de vie des patients, il est indispensable de poursuivre les recherches et d’harmoniser les protocoles de prise en charge.
Spontaneous pneumothorax is defined as the presence of air in the pleural cavity without traumatic causes. It can be primary, occurring in young adults without underlying lung diseases, or secondary, associated with conditions such as emphysema or lung cancer. Primary spontaneous pneumothorax is often caused by the rupture of pulmonary blebs, while the secondary form results from pre-existing pathologies. Although common, this condition carries a high risk of recurrence. Diagnosis is based on characteristic symptoms, such as acute chest pain and breathing difficulties, confirmed by imaging studies like X-rays or CT scans. Treatment aims to restore lung expansion, manage complications, and prevent recurrences. Therapeutic options include observation, thoracic drainage, and surgery, the latter being indicated for recurrent cases, complications, or failure of conservative treatments. Among surgical techniques, video-assisted thoracoscopic surgery is preferred for its minimally invasive nature and rapid recovery. However, thoracotomy with pleurectomy remains the most effective method for preventing recurrences. Management should be tailored to each patient and conducted by a multidisciplinary team, including surgeons, pulmonologists, and anesthesiologists. To optimize outcomes and improve patients’ quality of life, ongoing research and standardized management protocols are essential.
استرواح الصدر التلقائي يُعرَّف بوجود الهواء في التجويف الجنبي دون أسباب رضحية. يمكن أن يكون أوليًا، حيث يصيب الشباب الأصحاء من دون أمراض رئوية، أو ثانويًا، مرتبطًا بحالات مثل النفاخ الرئوي أو سرطان الرئة. غالبًا ما يكون استرواح الصدر الأولي ناتجًا عن تمزق الفقاعات الرئوية، بينما ينجم الاسترواح الثانوي عن أمراض موجودة مسبقًا. على الرغم من شيوعه، فإنه يحمل خطرًا مرتفعًا للتكرار. يعتمد التشخيص على أعراض مميزة مثل آلام الصدر الحادة وصعوبة التنفس، ويتم تأكيده من خلال الفحوصات التصويرية مثل الأشعة السينية أو التصوير المقطعي. يهدف العلاج إلى استعادة تمدد الرئة، معالجة المضاعفات، ومنع التكرار. تشمل الخيارات العلاجية المراقبة، تصريف الهواء، والجراحة، والتي تُوصى بها في حالات التكرار، المضاعفات، أو فشل العلاجات المحافظة. تُفضل الجراحة باستخدام تقنية التنظير الصدري المدعوم بالفيديو نظرًا لطبيعتها قليلة التوغل وسرعة التعافي. ومع ذلك، تظل جراحة بضع الصدر مع استئصال الجنبة الطريقة الأكثر فعالية لمنع التكرار. ينبغي أن تكون الرعاية مُخصصة لكل مريض وتُجرى بواسطة فريق متعدد التخصصات يشمل الجراحين وأطباء الرئة وأطباء التخدير. لتحسين النتائج وجودة حياة المرضى، من الضروري استمرار البحث وتوحيد بروتوكولات العلاج.LA PRISE EN CHARGE CHIRURGICALE DU PNEUMOTHORAX SPONTANÉ [texte imprimé] / GOUNNI MERYEM; D: ACHIR ABDELLAH; J: BOUCHIKH MOHAMMED;ALILOU MUSTAPHA;; ;; P: SOUALHI MOUNA . - 2025.
ISSN : M0852025
Mots-clés : Pneumothorax spontané Spontaneous pneumothorax استرواح الصدر العفوي Prise en charge chirurgicale Surgical management العلاج الجراحي Chirurgie thoracoscopique vidéo-assistée Video-assisted thoracic surgery الجراحة بمساعدة الفيديو عبر التنظير الصدري Thoracotomie Thoracotomy بضع الصدر Pleurectomie Pleurectomy استئصال الغشاء الجنبي Résumé : Le pneumothorax spontané correspond à la présence d’air dans la cavité pleurale en l’absence de cause traumatique. Il peut être primaire, touchant des jeunes adultes sans pathologie pulmonaire, ou secondaire, associé à des maladies comme l’emphysème ou les cancers pulmonaires. Le pneumothorax spontané primaire est généralement causé par la rupture de bulles pulmonaires, tandis que la forme secondaire résulte de pathologies sous-jacentes. Bien que fréquente, cette condition présente un risque élevé de récidives. Le diagnostic repose sur des symptômes caractéristiques, tels qu’une douleur thoracique aiguë et une difficulté respiratoire, confirmés par des examens d’imagerie comme la radiographie ou le scanner. Le traitement a pour objectif de rétablir la réexpansion pulmonaire, de gérer les complications et de prévenir les récidives. Les options incluent la surveillance, le drainage thoracique et la chirurgie, cette dernière étant indiquée dans les cas de récidives, de complications ou d’échec des traitements conservateurs. Parmi les options chirurgicales, la chirurgie thoracoscopique vidéo-assistée est privilégiée pour son faible caractère invasif et sa récupération rapide. Cependant, la thoracotomie avec pleurectomie reste la méthode la plus efficace pour réduire le risque de récidive. La prise en charge doit être adaptée à chaque patient et réalisée par une équipe multidisciplinaire incluant chirurgiens, pneumologues et anesthésistes. Pour optimiser les résultats et améliorer la qualité de vie des patients, il est indispensable de poursuivre les recherches et d’harmoniser les protocoles de prise en charge.
Spontaneous pneumothorax is defined as the presence of air in the pleural cavity without traumatic causes. It can be primary, occurring in young adults without underlying lung diseases, or secondary, associated with conditions such as emphysema or lung cancer. Primary spontaneous pneumothorax is often caused by the rupture of pulmonary blebs, while the secondary form results from pre-existing pathologies. Although common, this condition carries a high risk of recurrence. Diagnosis is based on characteristic symptoms, such as acute chest pain and breathing difficulties, confirmed by imaging studies like X-rays or CT scans. Treatment aims to restore lung expansion, manage complications, and prevent recurrences. Therapeutic options include observation, thoracic drainage, and surgery, the latter being indicated for recurrent cases, complications, or failure of conservative treatments. Among surgical techniques, video-assisted thoracoscopic surgery is preferred for its minimally invasive nature and rapid recovery. However, thoracotomy with pleurectomy remains the most effective method for preventing recurrences. Management should be tailored to each patient and conducted by a multidisciplinary team, including surgeons, pulmonologists, and anesthesiologists. To optimize outcomes and improve patients’ quality of life, ongoing research and standardized management protocols are essential.
استرواح الصدر التلقائي يُعرَّف بوجود الهواء في التجويف الجنبي دون أسباب رضحية. يمكن أن يكون أوليًا، حيث يصيب الشباب الأصحاء من دون أمراض رئوية، أو ثانويًا، مرتبطًا بحالات مثل النفاخ الرئوي أو سرطان الرئة. غالبًا ما يكون استرواح الصدر الأولي ناتجًا عن تمزق الفقاعات الرئوية، بينما ينجم الاسترواح الثانوي عن أمراض موجودة مسبقًا. على الرغم من شيوعه، فإنه يحمل خطرًا مرتفعًا للتكرار. يعتمد التشخيص على أعراض مميزة مثل آلام الصدر الحادة وصعوبة التنفس، ويتم تأكيده من خلال الفحوصات التصويرية مثل الأشعة السينية أو التصوير المقطعي. يهدف العلاج إلى استعادة تمدد الرئة، معالجة المضاعفات، ومنع التكرار. تشمل الخيارات العلاجية المراقبة، تصريف الهواء، والجراحة، والتي تُوصى بها في حالات التكرار، المضاعفات، أو فشل العلاجات المحافظة. تُفضل الجراحة باستخدام تقنية التنظير الصدري المدعوم بالفيديو نظرًا لطبيعتها قليلة التوغل وسرعة التعافي. ومع ذلك، تظل جراحة بضع الصدر مع استئصال الجنبة الطريقة الأكثر فعالية لمنع التكرار. ينبغي أن تكون الرعاية مُخصصة لكل مريض وتُجرى بواسطة فريق متعدد التخصصات يشمل الجراحين وأطباء الرئة وأطباء التخدير. لتحسين النتائج وجودة حياة المرضى، من الضروري استمرار البحث وتوحيد بروتوكولات العلاج.Réservation
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