
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les derniÚres notices... |
Résultat de la recherche
4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'UROLOGIE' 



ETUDE RĂTROSPECTIVE DES INFECTIONS URINAIRES AU SEIN DU SERVICE DâUROLOGIE, CHU MOHAMMED VI , MARRAKECH 2018-2019 / Ihssane EL ASSIMI
![]()
Titre : ETUDE RĂTROSPECTIVE DES INFECTIONS URINAIRES AU SEIN DU SERVICE DâUROLOGIE, CHU MOHAMMED VI , MARRAKECH 2018-2019 Type de document : thĂšse Auteurs : Ihssane EL ASSIMI, Auteur AnnĂ©e de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Infections nosocomiales Enterobacteries Urologie Resistance
bacterienne ECBURĂ©sumĂ© : Les infections urinaires nosocomiales, sont fréquentes en pratique hospitalière et
demeurent un problème récurrent de santé publique.
L’objectif de cette étude est de déterminer la prévalence des infections urinaires
nosocomiales chez les patients en urologie au CHU Mohammed VI de
Marrakech, étudier les germes responsables, leurs profils de résistance aux
antibiotiques et suivre l’évolution de cette résistance.
Il s’agit d’une étude descriptive incluant toutes les infections urinaires
documentées microbiologiquement au service d’urologie sur une durée de 2 ans
( janvier 2018 - décembre 2019), en analysant les données des examens
cytobactériologiques des urines prélevés chez ces patients et traités au service
de Microbiologie du CHU Mohamed VI de Marrakech durant cette période.
Dans notre étude la prévalence de l’infection urinaire chez le patient en urologie
était de 18%. L’âge moyen des patients était de 56 ans et le sexe ratio H/F de 2.
Le profil épidémiologique était dominé par les entérobactéries chez 63% des
patients avec 27% d’infections urinaires documentées à Escherichia coli, 19% à
Klebsiella pneumoniae et 8% à Enterobacter cloacae. Les souches d’Esherichia
coli isolées étaient résistantes à l’amoxicilline dans 79% des cas, 50% à
l’amoxicilline-acide clavulanique, 48% de résistance au Sulfaméthoxazole-
triméthoprime et 23% à la gentamicine.
La résistance aux céphalosporines de troisième génération par production d’une
Betalactamase à spectre étendu (BLSE) en urologie a été retrouvée chez 45%
des Entérobactéries uropathogènes. Au sein de ces isolats , 24% ont présenté une
sensibilité diminuée aux carbapénèmes.
En conclusion, Le contrôle des facteurs de risques des infections urinaires chez
les patients en urologie, notamment l’asepsie du sondage vésical, est capital
pour gérer l’émergence des souches bactériennes résistantes aux antimicrobiens
à large spectre.Numéro (Pour les thèses) : P0022021 Président : ABI.R Rapporteur : ZOUHDI.M Juge : SEKHSOKH.Y Juge : SORAA.N ETUDE RĂTROSPECTIVE DES INFECTIONS URINAIRES AU SEIN DU SERVICE DâUROLOGIE, CHU MOHAMMED VI , MARRAKECH 2018-2019 [thĂšse] / Ihssane EL ASSIMI, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Infections nosocomiales Enterobacteries Urologie Resistance
bacterienne ECBURĂ©sumĂ© : Les infections urinaires nosocomiales, sont fréquentes en pratique hospitalière et
demeurent un problème récurrent de santé publique.
L’objectif de cette étude est de déterminer la prévalence des infections urinaires
nosocomiales chez les patients en urologie au CHU Mohammed VI de
Marrakech, étudier les germes responsables, leurs profils de résistance aux
antibiotiques et suivre l’évolution de cette résistance.
Il s’agit d’une étude descriptive incluant toutes les infections urinaires
documentées microbiologiquement au service d’urologie sur une durée de 2 ans
( janvier 2018 - décembre 2019), en analysant les données des examens
cytobactériologiques des urines prélevés chez ces patients et traités au service
de Microbiologie du CHU Mohamed VI de Marrakech durant cette période.
Dans notre étude la prévalence de l’infection urinaire chez le patient en urologie
était de 18%. L’âge moyen des patients était de 56 ans et le sexe ratio H/F de 2.
Le profil épidémiologique était dominé par les entérobactéries chez 63% des
patients avec 27% d’infections urinaires documentées à Escherichia coli, 19% à
Klebsiella pneumoniae et 8% à Enterobacter cloacae. Les souches d’Esherichia
coli isolées étaient résistantes à l’amoxicilline dans 79% des cas, 50% à
l’amoxicilline-acide clavulanique, 48% de résistance au Sulfaméthoxazole-
triméthoprime et 23% à la gentamicine.
La résistance aux céphalosporines de troisième génération par production d’une
Betalactamase à spectre étendu (BLSE) en urologie a été retrouvée chez 45%
des Entérobactéries uropathogènes. Au sein de ces isolats , 24% ont présenté une
sensibilité diminuée aux carbapénèmes.
En conclusion, Le contrôle des facteurs de risques des infections urinaires chez
les patients en urologie, notamment l’asepsie du sondage vésical, est capital
pour gérer l’émergence des souches bactériennes résistantes aux antimicrobiens
à large spectre.Numéro (Pour les thèses) : P0022021 Président : ABI.R Rapporteur : ZOUHDI.M Juge : SEKHSOKH.Y Juge : SORAA.N RĂ©servation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0022021-1 WA Thèse numérique Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2020 Disponible P0022021 WA Thèse numérique Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2021 Disponible Documents numĂ©riques
P0922020URLINCIDENCE DES INFECTIONS URINAIRES ET DES COLONISATIONS NOSOCOMIALES AU SEIN DU SERVICE DâUROLOGIE DE LâHMIMV DE RABAT / BISSAN ABOUBACAR DIT TIETIE
Titre : INCIDENCE DES INFECTIONS URINAIRES ET DES COLONISATIONS NOSOCOMIALES AU SEIN DU SERVICE DâUROLOGIE DE LâHMIMV DE RABAT Type de document : thĂšse Auteurs : BISSAN ABOUBACAR DIT TIETIE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES COLONISATIONS ET BACTERIURIES NOSOCOMIALES UROLOGIE SONDAGE VESICAL. RĂ©sumĂ© : Introduction : L’infection urinaire nosocomiale (IUN) représente 40% des infections acquises à l’hôpital. Notre objectif principal a été d’évaluer l’incidence des IUN et des colonisations nosocomiales dans le service d’urologie de l’HMIMV de Rabat.
Matériel et Méthodes : Il s’agit d’une étude prospective de 100 jours qui a inclus tous les patients admis au service d’urologie, et hospitalisés pendant plus de 48H. Une identification du statut bactériologique des patients à leur admission était effectuée.
Résultats et Discussion : Nous avons trouvé comme densité d’incidence de l’IUN 6,08 pour 1000 patients-jours, qui est supérieure à celle trouvée par Agodi et al. en Italie, mais inférieure à celle de Trinchieri et al. Pour la colonisation nosocomiale : 29,88 pour 1000 patients-jours, donc 36,49 pour 1000 patients-jours pour la bactériurie nosocomiale qui est supérieure à celle de Merle et al. La densité d’incidence chez les patients sondés était de 10,41 pour 1000 jours de sondage pour l’IUN; 64,58 pour 1000 jours de sondage pour la colonisation nosocomiale et 75 pour 1000 jours de sondage pour la bactériurie nosocomiale. L’analyse multivariée a montré que le diabète et la durée de sondage vésicale sont les facteurs de risque de la colonisation et de la bactériurie nosocomiales. Parmi les germes responsables de la bactériurie nosocomiale, Enterobacter cloacae est arrivé en première position avec 26,10%.
Conclusion : Notre étude est une contribution en la prise de conscience sur les risques d’IUN, ainsi qu’au lancement d’une démarche de qualité de soins afin de réduire au mieux les taux d’IUN et de colonisations nosocomiales dans le service d’urologie.
Numéro (Pour les thèses) : P0802011 Président : MOHAMMED ABBAR Rapporteur : SAKINA ELHAMZAOUI Juge : HICHAM AZENDOUR INCIDENCE DES INFECTIONS URINAIRES ET DES COLONISATIONS NOSOCOMIALES AU SEIN DU SERVICE DâUROLOGIE DE LâHMIMV DE RABAT [thĂšse] / BISSAN ABOUBACAR DIT TIETIE, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES COLONISATIONS ET BACTERIURIES NOSOCOMIALES UROLOGIE SONDAGE VESICAL. RĂ©sumĂ© : Introduction : L’infection urinaire nosocomiale (IUN) représente 40% des infections acquises à l’hôpital. Notre objectif principal a été d’évaluer l’incidence des IUN et des colonisations nosocomiales dans le service d’urologie de l’HMIMV de Rabat.
Matériel et Méthodes : Il s’agit d’une étude prospective de 100 jours qui a inclus tous les patients admis au service d’urologie, et hospitalisés pendant plus de 48H. Une identification du statut bactériologique des patients à leur admission était effectuée.
Résultats et Discussion : Nous avons trouvé comme densité d’incidence de l’IUN 6,08 pour 1000 patients-jours, qui est supérieure à celle trouvée par Agodi et al. en Italie, mais inférieure à celle de Trinchieri et al. Pour la colonisation nosocomiale : 29,88 pour 1000 patients-jours, donc 36,49 pour 1000 patients-jours pour la bactériurie nosocomiale qui est supérieure à celle de Merle et al. La densité d’incidence chez les patients sondés était de 10,41 pour 1000 jours de sondage pour l’IUN; 64,58 pour 1000 jours de sondage pour la colonisation nosocomiale et 75 pour 1000 jours de sondage pour la bactériurie nosocomiale. L’analyse multivariée a montré que le diabète et la durée de sondage vésicale sont les facteurs de risque de la colonisation et de la bactériurie nosocomiales. Parmi les germes responsables de la bactériurie nosocomiale, Enterobacter cloacae est arrivé en première position avec 26,10%.
Conclusion : Notre étude est une contribution en la prise de conscience sur les risques d’IUN, ainsi qu’au lancement d’une démarche de qualité de soins afin de réduire au mieux les taux d’IUN et de colonisations nosocomiales dans le service d’urologie.
Numéro (Pour les thèses) : P0802011 Président : MOHAMMED ABBAR Rapporteur : SAKINA ELHAMZAOUI Juge : HICHAM AZENDOUR RĂ©servation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0802011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2011 Disponible LâINFECTION URINAIRE DANS LE SERVICE DâUROLOGIE DE LâHĂPITAL MILITAIRE DâINSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT / SOUMAYA CHAKRANI
Titre : LâINFECTION URINAIRE DANS LE SERVICE DâUROLOGIE DE LâHĂPITAL MILITAIRE DâINSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT Type de document : thĂšse Auteurs : SOUMAYA CHAKRANI, Auteur AnnĂ©e de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : INFECTION URINAIRE INFECTION URINAIRE NOSOCOMIALE INFECTIONS URINAIRE COMMUNAUTAIRE UROLOGIE RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires constituent une préoccupation constante en milieu urologique, du fait de leur fréquence très élevée,leur morbidité, l'allongement de la durée d'hospitalisation synonyme de surcoût, et à cause des bactéries multirésistantes incriminées dans ces infections.
Méthode : Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur tous les examens cytobactériologiques urinaires positifs provenant des malades hospitalisés dans le service d’urologie de l’HMIMV, durant une période de 19mois s’étendant du 1erJanvier 2011 au 31juillet 2012.
Résultats : Au cours de notre étude, nous avons rapporté 60 cas d’infections urinaires nosocomiales et 17 d’infections urinaires communautaires. L’incidence des infections urinaires nosocomiales est de l’ordre de 17,2%. Le sexe masculin est prédominant. L’âge moyen est de plus 60 ans. Tous les patients présentaient, un ou plusieurs facteurs de risque tels que les antécédents d’infection urinaire, le sondage urinaire ou la chirurgie urologique.
Les germes nosocomiaux et communautaires étaient dominés essentiellement par les entérobactéries. Escherichia Coli vient en tête, suivie de Klebsiella pneumoniae et Enterobacter cloacae. Les bactéries non fermentantes représentées par Pseudomonas aeruginosa et Acinetobacter baumannii sont moins fréquentes.
La résistance des entérobactéries touche de nombreuses familles d’antibiotiques. Seuls, l’imipenème, l’amikacine, la fosfomycine et la colistine gardent encore une meilleure activité antibactérienne.
L’étude comparative des profils de résistance des bactéries aux antibiotiques, montre la progression de la résistance des germes nosocomiaux vis-à-vis des différentes familles d’antibiotiques.
Conclusion : la prévention reste le meilleur moyen pour éviter les conséquences pronostiques et économiques lourdes de l’infection urinaire qu’elle soit nosocomiale ou communautaire, en respectant les indications rigoureuses de la prescription des antibiotiques et du sondage urinaire ainsi que les mesures d’hygiène et d’isolement des malades infectés.
Numéro (Pour les thèses) : P0412013 Président : ZOUHDI.M Rapporteur : CHADLI.M Juge : SEKHSOKH.Y LâINFECTION URINAIRE DANS LE SERVICE DâUROLOGIE DE LâHĂPITAL MILITAIRE DâINSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT [thĂšse] / SOUMAYA CHAKRANI, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : INFECTION URINAIRE INFECTION URINAIRE NOSOCOMIALE INFECTIONS URINAIRE COMMUNAUTAIRE UROLOGIE RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires constituent une préoccupation constante en milieu urologique, du fait de leur fréquence très élevée,leur morbidité, l'allongement de la durée d'hospitalisation synonyme de surcoût, et à cause des bactéries multirésistantes incriminées dans ces infections.
Méthode : Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur tous les examens cytobactériologiques urinaires positifs provenant des malades hospitalisés dans le service d’urologie de l’HMIMV, durant une période de 19mois s’étendant du 1erJanvier 2011 au 31juillet 2012.
Résultats : Au cours de notre étude, nous avons rapporté 60 cas d’infections urinaires nosocomiales et 17 d’infections urinaires communautaires. L’incidence des infections urinaires nosocomiales est de l’ordre de 17,2%. Le sexe masculin est prédominant. L’âge moyen est de plus 60 ans. Tous les patients présentaient, un ou plusieurs facteurs de risque tels que les antécédents d’infection urinaire, le sondage urinaire ou la chirurgie urologique.
Les germes nosocomiaux et communautaires étaient dominés essentiellement par les entérobactéries. Escherichia Coli vient en tête, suivie de Klebsiella pneumoniae et Enterobacter cloacae. Les bactéries non fermentantes représentées par Pseudomonas aeruginosa et Acinetobacter baumannii sont moins fréquentes.
La résistance des entérobactéries touche de nombreuses familles d’antibiotiques. Seuls, l’imipenème, l’amikacine, la fosfomycine et la colistine gardent encore une meilleure activité antibactérienne.
L’étude comparative des profils de résistance des bactéries aux antibiotiques, montre la progression de la résistance des germes nosocomiaux vis-à-vis des différentes familles d’antibiotiques.
Conclusion : la prévention reste le meilleur moyen pour éviter les conséquences pronostiques et économiques lourdes de l’infection urinaire qu’elle soit nosocomiale ou communautaire, en respectant les indications rigoureuses de la prescription des antibiotiques et du sondage urinaire ainsi que les mesures d’hygiène et d’isolement des malades infectés.
Numéro (Pour les thèses) : P0412013 Président : ZOUHDI.M Rapporteur : CHADLI.M Juge : SEKHSOKH.Y RĂ©servation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0412013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2013 Disponible P0412013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2013 Disponible
Titre : RESISTANCE BACTERIENNE AUX ANTIBIOTIQUES EN UROLOGIE Type de document : thĂšse Auteurs : MALI ZaĂŻneb, Auteur AnnĂ©e de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Antibiotiques BactĂ©rie Infection RĂ©sistance Urologie RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires constituent une préoccupation constante en milieu urologique, du fait de leur fréquence très élevée, leur morbidité, l'allongement de la durée d'hospitalisation synonyme de surcoût, et à cause des bactéries multirésistantes incriminées dans ces infections. L’infection nosocomiale en urologie est plus complexe car elle ajoute au risque urinaire celui de la chirurgie : infections du site opératoire, infections sur cathéter.
L’urologue, quelle que soit sa pratique, est concerné par le risque lié à l’infection nosocomiale. Ce risque s’impose aujourd’hui dans l’opinion publique ainsi qu’aux autorités de tutelle comme un indicateur permanent de la qualité des soins. Il convient de connaître les différents types d’infections péri-opératoires, leurs circonstances de survenue, leurs risques propres et de mettre en œuvre les moyens de les réduire.
La plupart des recommandations reposent sur des notions de bonnes pratiques cliniques et/ou des recommandations d’experts. Elles sont d’ailleurs reprises dans les recommandations de différentes sociétés :
• L’intérêt d’un lavage des mains par un antiseptique a entraîné une baisse significative de la colonisation de la sonde urinaire par comparaison à un lavage simple.
• L’isolement géographique des patients peut diminuer l’acquisition d’IUN.
• Choisir un traitement empirique basé sur les profils de résistance aux antibiogrammes locaux ainsi qu’utiliser une durée de traitement plus courte pour la cystite et les infections non récurrentes.
Il est grand temps que toutes les instances concernées, et à leur tête les médecins, les pharmaciens et les patients, prennent conscience de la gravité du problème de la résistance.
Numéro (Pour les thèses) : M4912019 Président : ZOUHDI.M Rapporteur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S RESISTANCE BACTERIENNE AUX ANTIBIOTIQUES EN UROLOGIE [thĂšse] / MALI ZaĂŻneb, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Antibiotiques BactĂ©rie Infection RĂ©sistance Urologie RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires constituent une préoccupation constante en milieu urologique, du fait de leur fréquence très élevée, leur morbidité, l'allongement de la durée d'hospitalisation synonyme de surcoût, et à cause des bactéries multirésistantes incriminées dans ces infections. L’infection nosocomiale en urologie est plus complexe car elle ajoute au risque urinaire celui de la chirurgie : infections du site opératoire, infections sur cathéter.
L’urologue, quelle que soit sa pratique, est concerné par le risque lié à l’infection nosocomiale. Ce risque s’impose aujourd’hui dans l’opinion publique ainsi qu’aux autorités de tutelle comme un indicateur permanent de la qualité des soins. Il convient de connaître les différents types d’infections péri-opératoires, leurs circonstances de survenue, leurs risques propres et de mettre en œuvre les moyens de les réduire.
La plupart des recommandations reposent sur des notions de bonnes pratiques cliniques et/ou des recommandations d’experts. Elles sont d’ailleurs reprises dans les recommandations de différentes sociétés :
• L’intérêt d’un lavage des mains par un antiseptique a entraîné une baisse significative de la colonisation de la sonde urinaire par comparaison à un lavage simple.
• L’isolement géographique des patients peut diminuer l’acquisition d’IUN.
• Choisir un traitement empirique basé sur les profils de résistance aux antibiogrammes locaux ainsi qu’utiliser une durée de traitement plus courte pour la cystite et les infections non récurrentes.
Il est grand temps que toutes les instances concernées, et à leur tête les médecins, les pharmaciens et les patients, prennent conscience de la gravité du problème de la résistance.
Numéro (Pour les thèses) : M4912019 Président : ZOUHDI.M Rapporteur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S RĂ©servation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M4912019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M4912019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numĂ©riques
M4912019URL