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LE CARCINOME INDIFFERENCIE DU NASOPHARYNX (UCNT) CHEZ L’ENFANT EXPERIENCE DU SERVICE D’HEMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PEDIATRIQUE DE RABAT / Rajae DAHMANI
Titre : LE CARCINOME INDIFFERENCIE DU NASOPHARYNX (UCNT) CHEZ L’ENFANT EXPERIENCE DU SERVICE D’HEMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PEDIATRIQUE DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : Rajae DAHMANI, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Carcinome Nasopharynx Enfant Chimiothérapie Radiothérapie Résumé : Introduction : le carcinome indifférencié du nasopharynx (UCNT) est une tumeur fréquente
chez l’enfant au Maroc, il se distingue des autres tumeurs des voies aérodigestives supérieures par ses
caractéristiques épidémiologiques, étiopathogéniques, cliniques, histologiques et thérapeutiques. Le
but de ce travail est de rapporter l’expérience du service d’hématologie et oncologie pédiatrique
(SHOP) de Rabat dans la prise en charge de l’UCNT de l’enfant.
Matériel et méthode : il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 50 patients ayant un UCNT
diagnostiqué et traité au SHOP de Rabat entre janvier 2010 et décembre 2019.
Résultats : l’âge de nos patients varie entre 3 et 16 ans, avec une médiane de 13 ans, le sexratio était de 2,6 avec une nette prédominance masculine, 65% des patients prévenaient du milieu
urbain, le diagnostic était fait tardivement dans la plupart des cas et le signe révélateur le plus souvent
retrouvé était les adénopathies cervicales (81%). A l’examen clinique les signes rhinologiques sont
retrouvés chez 53% des patients dominés par les épistaxis (23%), les signes otologiques sont aussi
retrouvés dans 53% des cas et les signes neurologiques sont présents chez tous les patients. 71% des
malades sont classés T3 et 66% N2. Tous les patients ont été traités par une chimiothérapie
néoadjuvante à base de Cisplatine (cure BEC), 48 patients ont reçu 3 cures BEC (Bléomycine,
Epirubicine, Cisplatine) et une radiothérapie, la Cisplatine a été administrée chez 7 patients en
concomitant à la radiothérapie. 2 patients ont abandonné le traitement après la cure BEC2 et 2 autres
patients sont décédés après la chimiothérapie néoadjuvante, après un suivi médian de 71 mois, 9
patients sont décédés dont 4 après une récidive locale et 4 autres suite à une métastase à distances et
un dernier patient après un cancer secondaire (une leucémie aigue), et un dernier malade à été perdu de
vue. La survie globale et la survie sans rechute étaient de 84,3% à 5 ans.
Conclusion : La prise en charge précoce et le traitement adéquat avec l’utilisation des nouvelles
techniques de radiothérapie en particulier la radiothérapie par modulation d’intensité IMRT permet
d’assurer un bon contrôle locorégional de la maladie et d’améliorer son pronostic.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1222022 Président : Laila HESSISSEN Directeur : Maria EL KABABRI Juge : Amina KILI Juge : Mohamed EL KHORASSANI Juge : Hanan EL KACEMI LE CARCINOME INDIFFERENCIE DU NASOPHARYNX (UCNT) CHEZ L’ENFANT EXPERIENCE DU SERVICE D’HEMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PEDIATRIQUE DE RABAT [thèse] / Rajae DAHMANI, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Carcinome Nasopharynx Enfant Chimiothérapie Radiothérapie Résumé : Introduction : le carcinome indifférencié du nasopharynx (UCNT) est une tumeur fréquente
chez l’enfant au Maroc, il se distingue des autres tumeurs des voies aérodigestives supérieures par ses
caractéristiques épidémiologiques, étiopathogéniques, cliniques, histologiques et thérapeutiques. Le
but de ce travail est de rapporter l’expérience du service d’hématologie et oncologie pédiatrique
(SHOP) de Rabat dans la prise en charge de l’UCNT de l’enfant.
Matériel et méthode : il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 50 patients ayant un UCNT
diagnostiqué et traité au SHOP de Rabat entre janvier 2010 et décembre 2019.
Résultats : l’âge de nos patients varie entre 3 et 16 ans, avec une médiane de 13 ans, le sexratio était de 2,6 avec une nette prédominance masculine, 65% des patients prévenaient du milieu
urbain, le diagnostic était fait tardivement dans la plupart des cas et le signe révélateur le plus souvent
retrouvé était les adénopathies cervicales (81%). A l’examen clinique les signes rhinologiques sont
retrouvés chez 53% des patients dominés par les épistaxis (23%), les signes otologiques sont aussi
retrouvés dans 53% des cas et les signes neurologiques sont présents chez tous les patients. 71% des
malades sont classés T3 et 66% N2. Tous les patients ont été traités par une chimiothérapie
néoadjuvante à base de Cisplatine (cure BEC), 48 patients ont reçu 3 cures BEC (Bléomycine,
Epirubicine, Cisplatine) et une radiothérapie, la Cisplatine a été administrée chez 7 patients en
concomitant à la radiothérapie. 2 patients ont abandonné le traitement après la cure BEC2 et 2 autres
patients sont décédés après la chimiothérapie néoadjuvante, après un suivi médian de 71 mois, 9
patients sont décédés dont 4 après une récidive locale et 4 autres suite à une métastase à distances et
un dernier patient après un cancer secondaire (une leucémie aigue), et un dernier malade à été perdu de
vue. La survie globale et la survie sans rechute étaient de 84,3% à 5 ans.
Conclusion : La prise en charge précoce et le traitement adéquat avec l’utilisation des nouvelles
techniques de radiothérapie en particulier la radiothérapie par modulation d’intensité IMRT permet
d’assurer un bon contrôle locorégional de la maladie et d’améliorer son pronostic.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1222022 Président : Laila HESSISSEN Directeur : Maria EL KABABRI Juge : Amina KILI Juge : Mohamed EL KHORASSANI Juge : Hanan EL KACEMI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1222022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M1222022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M1222022URL
Titre : IMAGERIE DIAGNOSTIQUE DU CANCER DU CAVUM EN PEDIATRIE (A PROPOS DE 56 CAS) Type de document : thèse Auteurs : Hajar HAMRI, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer UCNT Nasopharynx Adénopathie cervicale Imagerie. Résumé : Introduction
Les tumeurs malignes du cavum en pédiatrie sont essentiellement représentées par
le carcinome indifférencié (UCNT) suivi du lymphome malin non hodgkinien
(LMNH) et du rhabdomyosarcome (RMS). L’UCNT est une tumeur rare qui ne
concerne qu’environ 1 % des cancers de l’enfant, mais représente néanmoins un
tiers des tumeurs malignes du cavum. L'objectif principal de ce travail est de faire
connaitre le mode d’extension tumorale, les signes de gravité et les facteurs
pronostiques, décrire les modifications de la 8ème classification TNM et
expliquer leurs implications cliniques et thérapeutiques, en appuyant sur le rôle
central du radiologue.
Matériel et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 56cas de tumeurs du nasopharynx
colligés à l’hôpital d’enfant de Rabat. Le bilan diagnostique et d’extension
locorégionale a comporté une nasofibroscopie avec biopsie et une exploration de
la base du crâne jusqu’à la base du cou par TDM +/- IRM.
Résultats
L'âge médian des patients était de 11 ans avec un sex-ratio de 1,33. Les principaux
signes motivant le bilan radiologique étaient les otites à répétition, les céphalées
et les adénopathies cervicales. L’UCNT a représenté la tumeur la plus fréquente
(46 cas) suivi du LMNH (8 cas) et du RMS (2 cas). Pour la classification TNM
des UCNT ; la tumeur primitive était classée : T1 (3cas), T2 (14cas), T3 (10cas)
et T4 (19cas), l’extension lymphatique : N0 (10cas), N1 (6cas), N2 (22cas), N3a
(5cas) et N3b (3cas) et l’extension métastatique : M0 (43cas) et M1 (3cas).
Conclusion
Les tumeurs malignes du cavum en pédiatrie ont une symptomatologie peu
spécifique souvent rapportée à tort à une infection ORL d'où un retard de
diagnostic. Le radiologue doit savoir orienter le diagnostic devant des signes ORL
récurrents. Un diagnostic précoce garantit une prise en charge thérapeutique
rapide et un meilleur pronostic. L’IRM constitue l’examen de choix dans le cadre
du bilan pré-thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1872020 Directeur : Nazik ALLALI IMAGERIE DIAGNOSTIQUE DU CANCER DU CAVUM EN PEDIATRIE (A PROPOS DE 56 CAS) [thèse] / Hajar HAMRI, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer UCNT Nasopharynx Adénopathie cervicale Imagerie. Résumé : Introduction
Les tumeurs malignes du cavum en pédiatrie sont essentiellement représentées par
le carcinome indifférencié (UCNT) suivi du lymphome malin non hodgkinien
(LMNH) et du rhabdomyosarcome (RMS). L’UCNT est une tumeur rare qui ne
concerne qu’environ 1 % des cancers de l’enfant, mais représente néanmoins un
tiers des tumeurs malignes du cavum. L'objectif principal de ce travail est de faire
connaitre le mode d’extension tumorale, les signes de gravité et les facteurs
pronostiques, décrire les modifications de la 8ème classification TNM et
expliquer leurs implications cliniques et thérapeutiques, en appuyant sur le rôle
central du radiologue.
Matériel et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 56cas de tumeurs du nasopharynx
colligés à l’hôpital d’enfant de Rabat. Le bilan diagnostique et d’extension
locorégionale a comporté une nasofibroscopie avec biopsie et une exploration de
la base du crâne jusqu’à la base du cou par TDM +/- IRM.
Résultats
L'âge médian des patients était de 11 ans avec un sex-ratio de 1,33. Les principaux
signes motivant le bilan radiologique étaient les otites à répétition, les céphalées
et les adénopathies cervicales. L’UCNT a représenté la tumeur la plus fréquente
(46 cas) suivi du LMNH (8 cas) et du RMS (2 cas). Pour la classification TNM
des UCNT ; la tumeur primitive était classée : T1 (3cas), T2 (14cas), T3 (10cas)
et T4 (19cas), l’extension lymphatique : N0 (10cas), N1 (6cas), N2 (22cas), N3a
(5cas) et N3b (3cas) et l’extension métastatique : M0 (43cas) et M1 (3cas).
Conclusion
Les tumeurs malignes du cavum en pédiatrie ont une symptomatologie peu
spécifique souvent rapportée à tort à une infection ORL d'où un retard de
diagnostic. Le radiologue doit savoir orienter le diagnostic devant des signes ORL
récurrents. Un diagnostic précoce garantit une prise en charge thérapeutique
rapide et un meilleur pronostic. L’IRM constitue l’examen de choix dans le cadre
du bilan pré-thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1872020 Directeur : Nazik ALLALI Exemplaires
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MS1872020URL LYMPHOME MALIN NON HODGKINIEN DU CAVUM , A PROPOS DE 04 CAS / BERHIMOU YOUSSEF
Titre : LYMPHOME MALIN NON HODGKINIEN DU CAVUM , A PROPOS DE 04 CAS Type de document : thèse Auteurs : BERHIMOU YOUSSEF, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lymphome non hodgkinien cavum histologie chimiothérapie radiothérapie Non-Hodgkin's lymphoma nasopharynx histology chemotherapy radiotherapy اللمفوما غير هودجكينية، التجويف الأنفي علم الأنسجة العلاج الكيميائي العلاج الإشعاعي Résumé : Les lymphomes malins non hodgkinien LMNH sont les plus fréquents des hémopathies malignes (15/100 000 habitants/an). Cette incidence a doublé en 20 ans. C'est la néoplasie qui a le plus augmenté en incidence après le mélanome. Sa localisation primitive au niveau du cavum est rare. Elle concerne moins de 10% des patients atteints de lymphome de la tête et du cou.
Lors de notre étude rétrospective nous avons recensé 04 cas de lymphome non hodgkinien du cavum confirmé et pris en charge dans notre structure, trois cas chez des hommes et un seul cas chez une femme.
L’âge moyen était de 47 ans, nos patients sont sans ATCD notables.
Les motifs de consultations étaient variables, dominés par l’obstruction nasale et les adénopathies cervicales retrouvées à l'examen clinique cervical.
Le diagnostic est confirmé par biopsie du cavum et examen anatomopathologique montrant une tumeur pâle ou violacée, molle, limitée au cavum ou étendue aux orifices tubaires ou aux choanes.
L’étude immunohistochimique est indispensable afin de confirmer la nature lymphomateuse de la prolifération et de révéler le phénotype des cellules tumorales, le phénotype B prédomine pour les lymphomes non hodgkinien du cavum.
Le protocole thérapeutique est le même pour les 4 patients à base de chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg /m2 , Adriamycine : 50 mg/m m 2 , Vincristine: 1,4 mg/m m2 , Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. Le pronostic et l’évolution de la maladie sont favorables pour l’ensemble de nos patients sur une période étalée de 07 ans.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4672023 Président : DOGHMI KAMAL Directeur : OURAINI SALOUA Juge : BENARIBA FOUAD Juge : BENCHEIKH RAZIKA Juge : ERRAMI NOUREDDINE LYMPHOME MALIN NON HODGKINIEN DU CAVUM , A PROPOS DE 04 CAS [thèse] / BERHIMOU YOUSSEF, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Lymphome non hodgkinien cavum histologie chimiothérapie radiothérapie Non-Hodgkin's lymphoma nasopharynx histology chemotherapy radiotherapy اللمفوما غير هودجكينية، التجويف الأنفي علم الأنسجة العلاج الكيميائي العلاج الإشعاعي Résumé : Les lymphomes malins non hodgkinien LMNH sont les plus fréquents des hémopathies malignes (15/100 000 habitants/an). Cette incidence a doublé en 20 ans. C'est la néoplasie qui a le plus augmenté en incidence après le mélanome. Sa localisation primitive au niveau du cavum est rare. Elle concerne moins de 10% des patients atteints de lymphome de la tête et du cou.
Lors de notre étude rétrospective nous avons recensé 04 cas de lymphome non hodgkinien du cavum confirmé et pris en charge dans notre structure, trois cas chez des hommes et un seul cas chez une femme.
L’âge moyen était de 47 ans, nos patients sont sans ATCD notables.
Les motifs de consultations étaient variables, dominés par l’obstruction nasale et les adénopathies cervicales retrouvées à l'examen clinique cervical.
Le diagnostic est confirmé par biopsie du cavum et examen anatomopathologique montrant une tumeur pâle ou violacée, molle, limitée au cavum ou étendue aux orifices tubaires ou aux choanes.
L’étude immunohistochimique est indispensable afin de confirmer la nature lymphomateuse de la prolifération et de révéler le phénotype des cellules tumorales, le phénotype B prédomine pour les lymphomes non hodgkinien du cavum.
Le protocole thérapeutique est le même pour les 4 patients à base de chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg /m2 , Adriamycine : 50 mg/m m 2 , Vincristine: 1,4 mg/m m2 , Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. Le pronostic et l’évolution de la maladie sont favorables pour l’ensemble de nos patients sur une période étalée de 07 ans.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4672023 Président : DOGHMI KAMAL Directeur : OURAINI SALOUA Juge : BENARIBA FOUAD Juge : BENCHEIKH RAZIKA Juge : ERRAMI NOUREDDINE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4672023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible
Titre : VIRUS D’EPSTEIN -BARR ET CARCINOME DU NASOPHARYNX Type de document : thèse Auteurs : SADQI Yousra, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer Nasopharynx Epstein-Barr Virus Oncogenèse Diagnostic Résumé : Les tumeurs malignes du nasopharynx sont le plus fréquemment représentées par le carcinome épidermoïde indifférencié du nasopharynx caractérisé par sa répartition géographique endémique, et sa relation constante avec le virus d'Epstein-Barr. Comme tous les cancers, les NPC dépendent de plusieurs facteurs : génétiques, environnementaux et viraux . L’EBV est un virus gamma-herpès ubiquitaire qui infecte plus que de 90% des adultes de la population mondiale et peut provoquer une mononucléose infectieuse au cours de la primo-infection . Le virus n’est jamais éliminé et survit dans les cellules pendant toute la vie de l’hôte sous forme d’épisome dans les lymphocytes B mémoires en exprimant un ensemble limité de protéines en fonction du type de latence. EBV fut le premier virus identifié à pouvoir oncogène ; en fait, il a été découvert en 1964 dans des cellules néoplasiques humaines, dérivées du lymphome de Burkitt. Par la suite, l'EBV a été associé à plusieurs types de tumeurs malignes, telles que le lymphome de Hodgkin, le cancer gastrique ,le lymphome opportuniste de l’immunodéprimé et le NPC par la détection de petits ARNs non codants dans les cellules néoplasiques. Certaines applications de la sérologie EBV et la détection de l’ADN viral circulant devraient faciliter la détection des rechutes et à terme le dépistage primaire du NPC en vue du diagnostic souvent tardif du cancer nasopharynx. Le traitement du NPC repose essentiellement sur la radiothérapie et la chimiothérapie. Ce cancer présente un taux élevé de métastases, ce qui explique une partie des échecs thérapeutiques malgré une radiosensibilité marquée permettant d'obtenir un taux de contrôle locorégional de la maladie relativement élevé. Actuellement de nombreuses recherches sont en cours sur les thérapeutiques ciblées, avec diverses stratégies fondées sur la rupture de la latence virale, l’utilisation d’adénovirus réplicatifs ou la vaccination anti-tumorale. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M5212019 Président : ZOUHDI.M Directeur : DOBLALI.T Juge : SEKHSOKH.Y Juge : ABI.R VIRUS D’EPSTEIN -BARR ET CARCINOME DU NASOPHARYNX [thèse] / SADQI Yousra, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer Nasopharynx Epstein-Barr Virus Oncogenèse Diagnostic Résumé : Les tumeurs malignes du nasopharynx sont le plus fréquemment représentées par le carcinome épidermoïde indifférencié du nasopharynx caractérisé par sa répartition géographique endémique, et sa relation constante avec le virus d'Epstein-Barr. Comme tous les cancers, les NPC dépendent de plusieurs facteurs : génétiques, environnementaux et viraux . L’EBV est un virus gamma-herpès ubiquitaire qui infecte plus que de 90% des adultes de la population mondiale et peut provoquer une mononucléose infectieuse au cours de la primo-infection . Le virus n’est jamais éliminé et survit dans les cellules pendant toute la vie de l’hôte sous forme d’épisome dans les lymphocytes B mémoires en exprimant un ensemble limité de protéines en fonction du type de latence. EBV fut le premier virus identifié à pouvoir oncogène ; en fait, il a été découvert en 1964 dans des cellules néoplasiques humaines, dérivées du lymphome de Burkitt. Par la suite, l'EBV a été associé à plusieurs types de tumeurs malignes, telles que le lymphome de Hodgkin, le cancer gastrique ,le lymphome opportuniste de l’immunodéprimé et le NPC par la détection de petits ARNs non codants dans les cellules néoplasiques. Certaines applications de la sérologie EBV et la détection de l’ADN viral circulant devraient faciliter la détection des rechutes et à terme le dépistage primaire du NPC en vue du diagnostic souvent tardif du cancer nasopharynx. Le traitement du NPC repose essentiellement sur la radiothérapie et la chimiothérapie. Ce cancer présente un taux élevé de métastases, ce qui explique une partie des échecs thérapeutiques malgré une radiosensibilité marquée permettant d'obtenir un taux de contrôle locorégional de la maladie relativement élevé. Actuellement de nombreuses recherches sont en cours sur les thérapeutiques ciblées, avec diverses stratégies fondées sur la rupture de la latence virale, l’utilisation d’adénovirus réplicatifs ou la vaccination anti-tumorale. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M5212019 Président : ZOUHDI.M Directeur : DOBLALI.T Juge : SEKHSOKH.Y Juge : ABI.R Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M5212019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M5212019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M5212019URL