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Comparaison de la sensibilité aux antibiotiques d’isolats d’Escherichia coli responsables d’infections urinaires féminines en ville et à l’hôpital. / SAAIDI Walaa
Titre : Comparaison de la sensibilité aux antibiotiques d’isolats d’Escherichia coli responsables d’infections urinaires féminines en ville et à l’hôpital. Type de document : thèse Auteurs : SAAIDI Walaa, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : infection urinaire chez la femme – infection urinaire en ville et à l’hôpital Escherichia coli sensibilité aux antibiotiques. Résumé : Introduction : Les infections urinaires sont les infections communautaires les plus fréquentes après les infections respiratoires et représentent la première cause d’infection nosocomiale. Le germe le plus incriminé est Escherichia coli. L’objectif de cette étude est l’évaluation de la sensibilité des isolats d’Escherichia coli responsables d’infections urinaires féminines en comparant cette sensibilité en ville et à l’hôpital.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur tous les examens cytobactériologiques urinaires positifs à E coli provenant des patientes hospitalisées et des consultantes à l’HMIMV, durant une période de 12 mois s’étendant du 1er Janvier 2013 au 31 Décembre 2013.
Résultats : Nous avons rapporté 1074 ECBU positifs à E coli, dont 676 chez des femmes hospitalisées (442) et consultantes (234). Les taux de résistance des isolats hospitaliers et communautaires étaient respectivement de 57,26% et 56,56 % à l’Amoxicilline, 33,76% et 28,05 % à l’Amoxicilline-acide Clavulanique, 37,6% et 30,99 % au Cotrimoxazole, 10,68% et 3,85 % aux Céphalosporines de troisième génération, 32,48% et 23,76 % aux quinolones de première génération, 28,63 %et 19,91% aux Fluoroquinolones.
Conclusion : E coli constitue l’agent le plus fréquemment impliqué dans les infections urinaires et plus particulièrement chez la femme. Des recommandations sont établies pour contrôler la consommation élevée des antibiotiques et limiter les résistances aussi bien en ville qu’à l’hôpital.
La prévention est le meilleur moyen pour éviter ces infections, leurs complications et diminuer leur impact économique, en respectant les mesures d’hygiène et les indications de la prescription des antibiotiques et du sondage urinaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0582014 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Comparaison de la sensibilité aux antibiotiques d’isolats d’Escherichia coli responsables d’infections urinaires féminines en ville et à l’hôpital. [thèse] / SAAIDI Walaa, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : infection urinaire chez la femme – infection urinaire en ville et à l’hôpital Escherichia coli sensibilité aux antibiotiques. Résumé : Introduction : Les infections urinaires sont les infections communautaires les plus fréquentes après les infections respiratoires et représentent la première cause d’infection nosocomiale. Le germe le plus incriminé est Escherichia coli. L’objectif de cette étude est l’évaluation de la sensibilité des isolats d’Escherichia coli responsables d’infections urinaires féminines en comparant cette sensibilité en ville et à l’hôpital.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur tous les examens cytobactériologiques urinaires positifs à E coli provenant des patientes hospitalisées et des consultantes à l’HMIMV, durant une période de 12 mois s’étendant du 1er Janvier 2013 au 31 Décembre 2013.
Résultats : Nous avons rapporté 1074 ECBU positifs à E coli, dont 676 chez des femmes hospitalisées (442) et consultantes (234). Les taux de résistance des isolats hospitaliers et communautaires étaient respectivement de 57,26% et 56,56 % à l’Amoxicilline, 33,76% et 28,05 % à l’Amoxicilline-acide Clavulanique, 37,6% et 30,99 % au Cotrimoxazole, 10,68% et 3,85 % aux Céphalosporines de troisième génération, 32,48% et 23,76 % aux quinolones de première génération, 28,63 %et 19,91% aux Fluoroquinolones.
Conclusion : E coli constitue l’agent le plus fréquemment impliqué dans les infections urinaires et plus particulièrement chez la femme. Des recommandations sont établies pour contrôler la consommation élevée des antibiotiques et limiter les résistances aussi bien en ville qu’à l’hôpital.
La prévention est le meilleur moyen pour éviter ces infections, leurs complications et diminuer leur impact économique, en respectant les mesures d’hygiène et les indications de la prescription des antibiotiques et du sondage urinaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0582014 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0582014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible P0582014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible LE COMPORTEMENT DES BATERIES D’INTERET MEDICAL VIS-A-VIS DES ANTIBIOTIQUES. / ABDELAZIZ EL FASSI FIHRI
Titre : LE COMPORTEMENT DES BATERIES D’INTERET MEDICAL VIS-A-VIS DES ANTIBIOTIQUES. Type de document : thèse Auteurs : ABDELAZIZ EL FASSI FIHRI, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACINETOBACTER BAUMANNII BACTERIE MULTIRESISTANTE ESCHERICHIA COLI PREVALENCE PSEUDOMONAS AERUGINOSA STAPHYLOCOCCUS AUREUS Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction : Les résistances bactériennes commencent à générer de véritables problèmes thérapeutiques. Les antibiotiques qui longtemps faisaient la gloire de la médecine semblent devenir inefficaces face aux nouvelles résistances qui peuvent aboutir à terme, à de véritables impasses thérapeutiques. Les bactéries présentent de nombreux phénotypes, dont les bactéries multirésistantes (BMR).
Objectifs : Faire le point sur la situation épidémiologique des bactéries à intérêt médical au niveau de l’HMIM V de Rabat ainsi que leur comportement vis à vis des antibiotiques, et en déduire une stratégie de prévention.
Matériel et méthodes : Etude descriptive, retrospective couvrant la période allant du 04 juillet 2006 au 03 décembre 2008. Sont inclus dans cette étude tous les patients hospitalisés ou non à l’HMIM V de Rabat, tous les prélèvements à visée diagnostique analysés au niveau du service de microbiologie de l’hôpital et se révélant positif à l'une des souches incluses (Staphylococcus aureus, Entérobactéries, Pseudomonas aeruginosa et Acinetobacter baumannii). Sont exclus de cette étude tous les prélèvements de dépistage et d'environnement, toutes les souches différentes de celles précitées, celles isolées des prélèvements à visée écologique ainsi que les doublons épidémiologiques. Le recueil et l’uniformisation des données ont été faits sur le logiciel Microsoft Office Excel®, l’exploitation sur le logiciel SPSS® version 10.5.
Résultats : 1155 bactéries ont été recensés dont 19,8% S. aureus ; 64,3% entérobactéries ; 8,4% P. aeruginosa et 7,4% A. baumannii. E. coli représentait 54,1% du total des entérobactéries, Klebsiella pneumoniae 21,8%, Proteus mirabilis 9,6% et Enterobacter cloacae 7,4%. Au total 422 BMR non redondantes (soit 36,5% des isolats) ont été identifiées. Avec 45% d’ERC3G ; 19,4% de BAR ; 18% de SARM et 17,5% de PAR. Le site urinaire regroupait plus de 46% de l’ensemble des bactéries, suivi des pus (24,6%). Le service des externes est le service prédominant avec 11,9% des bactéries, suivie du service de pneumologie (10%) et du service de médecine interne (9,4%).
Conclusion : La prévalence des BMR au niveau de l’HMIM V de Rabat est alarmante. Il est nécessaire de passer par une formation et sensibilisation des prescripteurs, une application des procédures d’hygiène, une mise en place d’un réseau de surveillance des résistances bactériennes et une prescription des antibiotiques que si nécessaire et de façon raisonnée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0612010 Président : JAMAL TAOUFIK Directeur : SAKINA EL HAMZAOUI Juge : HICHAM AZENDOUR Juge : ABDERRAHMAN LATRACHE LE COMPORTEMENT DES BATERIES D’INTERET MEDICAL VIS-A-VIS DES ANTIBIOTIQUES. [thèse] / ABDELAZIZ EL FASSI FIHRI, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ACINETOBACTER BAUMANNII BACTERIE MULTIRESISTANTE ESCHERICHIA COLI PREVALENCE PSEUDOMONAS AERUGINOSA STAPHYLOCOCCUS AUREUS Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction : Les résistances bactériennes commencent à générer de véritables problèmes thérapeutiques. Les antibiotiques qui longtemps faisaient la gloire de la médecine semblent devenir inefficaces face aux nouvelles résistances qui peuvent aboutir à terme, à de véritables impasses thérapeutiques. Les bactéries présentent de nombreux phénotypes, dont les bactéries multirésistantes (BMR).
Objectifs : Faire le point sur la situation épidémiologique des bactéries à intérêt médical au niveau de l’HMIM V de Rabat ainsi que leur comportement vis à vis des antibiotiques, et en déduire une stratégie de prévention.
Matériel et méthodes : Etude descriptive, retrospective couvrant la période allant du 04 juillet 2006 au 03 décembre 2008. Sont inclus dans cette étude tous les patients hospitalisés ou non à l’HMIM V de Rabat, tous les prélèvements à visée diagnostique analysés au niveau du service de microbiologie de l’hôpital et se révélant positif à l'une des souches incluses (Staphylococcus aureus, Entérobactéries, Pseudomonas aeruginosa et Acinetobacter baumannii). Sont exclus de cette étude tous les prélèvements de dépistage et d'environnement, toutes les souches différentes de celles précitées, celles isolées des prélèvements à visée écologique ainsi que les doublons épidémiologiques. Le recueil et l’uniformisation des données ont été faits sur le logiciel Microsoft Office Excel®, l’exploitation sur le logiciel SPSS® version 10.5.
Résultats : 1155 bactéries ont été recensés dont 19,8% S. aureus ; 64,3% entérobactéries ; 8,4% P. aeruginosa et 7,4% A. baumannii. E. coli représentait 54,1% du total des entérobactéries, Klebsiella pneumoniae 21,8%, Proteus mirabilis 9,6% et Enterobacter cloacae 7,4%. Au total 422 BMR non redondantes (soit 36,5% des isolats) ont été identifiées. Avec 45% d’ERC3G ; 19,4% de BAR ; 18% de SARM et 17,5% de PAR. Le site urinaire regroupait plus de 46% de l’ensemble des bactéries, suivi des pus (24,6%). Le service des externes est le service prédominant avec 11,9% des bactéries, suivie du service de pneumologie (10%) et du service de médecine interne (9,4%).
Conclusion : La prévalence des BMR au niveau de l’HMIM V de Rabat est alarmante. Il est nécessaire de passer par une formation et sensibilisation des prescripteurs, une application des procédures d’hygiène, une mise en place d’un réseau de surveillance des résistances bactériennes et une prescription des antibiotiques que si nécessaire et de façon raisonnée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0612010 Président : JAMAL TAOUFIK Directeur : SAKINA EL HAMZAOUI Juge : HICHAM AZENDOUR Juge : ABDERRAHMAN LATRACHE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0612010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2010 Disponible Impact de l’usage vétérinaire des antibiotiques sur l’antibioresistance en santé animale et humaine / Siham KHOBOUZ
Titre : Impact de l’usage vétérinaire des antibiotiques sur l’antibioresistance en santé animale et humaine Type de document : thèse Auteurs : Siham KHOBOUZ, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibiotique Escherichia coli Promoteur de croissance Résistance bactérienne. Résumé : La résistance bactérienne aux antibiotiques est apparue rapidement après leur
introduction dans le traitement des maladies infectieuses son émergence a été
accéléré par le mauvais usage des antibiotiques chez l’homme et l’animal.
L’utilisation des antibiotiques en domaine vétérinaire s’est largement
développée depuis les années 1950 et concerne aussi bien le domaine de la
thérapeutique que celui de la zootechnie en tant qu’additifs alimentaires, et qui a
pour but l’augmentation de la vitesse de croissance des animaux d’élevage,
l'augmentation des quantités des denrées animales et la diminution du taux de
morbidité au sein de troupeaux animales. Les conséquences en sont, chez
l'animal, le développement des résistances d’où l'émergence de pathologies
nécessitant la recherche de nouvelles molécules capables de déjouer les
résistances ainsi mises à jour, et ce n'est pas douteux que l'antibiorésistance
animale peut trouver un prolongement chez l'homme et réciproquement. Les
possibilités d'intertransmission entre le réservoir animal et humain des bactéries
résistantes ou des supports génétiques impliqués reconnaissent des voies
multiples et complexes, dont les plus simples sont le contact direct ou
l’alimentation des denrées animales. Toutes ces conséquences ont donné
naissance à des règlementations qui restreignent l’utilisation des antibiotiques en
médecine vétérinaire et humaine ainsi que la considération d'alternatives aux
antibiotiques en tant que promoteur de croissance. Enfin le pharmacien en tant
que professionnel de santé doit avoir un rôle primordial dans la lutte contre la
résistance bactérienne.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0042020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Impact de l’usage vétérinaire des antibiotiques sur l’antibioresistance en santé animale et humaine [thèse] / Siham KHOBOUZ, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Antibiotique Escherichia coli Promoteur de croissance Résistance bactérienne. Résumé : La résistance bactérienne aux antibiotiques est apparue rapidement après leur
introduction dans le traitement des maladies infectieuses son émergence a été
accéléré par le mauvais usage des antibiotiques chez l’homme et l’animal.
L’utilisation des antibiotiques en domaine vétérinaire s’est largement
développée depuis les années 1950 et concerne aussi bien le domaine de la
thérapeutique que celui de la zootechnie en tant qu’additifs alimentaires, et qui a
pour but l’augmentation de la vitesse de croissance des animaux d’élevage,
l'augmentation des quantités des denrées animales et la diminution du taux de
morbidité au sein de troupeaux animales. Les conséquences en sont, chez
l'animal, le développement des résistances d’où l'émergence de pathologies
nécessitant la recherche de nouvelles molécules capables de déjouer les
résistances ainsi mises à jour, et ce n'est pas douteux que l'antibiorésistance
animale peut trouver un prolongement chez l'homme et réciproquement. Les
possibilités d'intertransmission entre le réservoir animal et humain des bactéries
résistantes ou des supports génétiques impliqués reconnaissent des voies
multiples et complexes, dont les plus simples sont le contact direct ou
l’alimentation des denrées animales. Toutes ces conséquences ont donné
naissance à des règlementations qui restreignent l’utilisation des antibiotiques en
médecine vétérinaire et humaine ainsi que la considération d'alternatives aux
antibiotiques en tant que promoteur de croissance. Enfin le pharmacien en tant
que professionnel de santé doit avoir un rôle primordial dans la lutte contre la
résistance bactérienne.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0042020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0042020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2020 Disponible P0042020-1 WA Thèse numérique Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2020 Disponible Documents numériques
P0042020URL
Titre : INFECTION URINAIRE MASCULINE ACTUALITES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES Type de document : thèse Auteurs : EL MOJAHID YASSINE, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibiothérapie Escherichia coli Homme Infection Urinaire Résistance Résumé : Les infections du tractus urinaires sont les infections bactériennes les plus communes.
Elles touchent près de 250 millions de personnes chaque année dans le monde. Elles
sont rares chez les hommes adultes de moins de 50 ans, mais leur incidence augmente par la
suite. Les entérobactéries, dont Escherichia coli, sont les principaux microorganismes
impliqués dans les IU. Les IU peuvent être localisées dans les voies urinaires basses (cystite,
prostatite) ou hautes (pyélonéphrites ou pyélite). Les formes cliniques varient d’une simple
colonisation urinaire au choc septique grave qui est souvent favorisé par la présence des
comorbidités. Les IU représentent un défi, non seulement en raison du grand nombre
d'infections en chaque année, mais aussi parce que le diagnostic des infections urinaires n'est
pas toujours simple. La prise en charge se base sur à la fois sur une antibiothérapie et le
respect de certains mesures hygiéno-diététiques. L’OMS a établi des schémas thérapeutiques
afin de faciliter la gestion des antibiotiques et de limiter l’apparition de souche des bactéries
multirésistantes. Une bonne compréhension de la physiopathologie permet de mieux prendre
en charge les infections urinaires. L’identification et le traitement adéquat chez les patients à
risque permet de limiter les formes graves et diminuer la mortalité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0072021 Président : ZOUHDI MIMOUN Directeur : SEKHSOKH YASSINE Juge : GAOUZI AHMED Juge : TELLAL SAIDA* INFECTION URINAIRE MASCULINE ACTUALITES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES [thèse] / EL MOJAHID YASSINE, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Antibiothérapie Escherichia coli Homme Infection Urinaire Résistance Résumé : Les infections du tractus urinaires sont les infections bactériennes les plus communes.
Elles touchent près de 250 millions de personnes chaque année dans le monde. Elles
sont rares chez les hommes adultes de moins de 50 ans, mais leur incidence augmente par la
suite. Les entérobactéries, dont Escherichia coli, sont les principaux microorganismes
impliqués dans les IU. Les IU peuvent être localisées dans les voies urinaires basses (cystite,
prostatite) ou hautes (pyélonéphrites ou pyélite). Les formes cliniques varient d’une simple
colonisation urinaire au choc septique grave qui est souvent favorisé par la présence des
comorbidités. Les IU représentent un défi, non seulement en raison du grand nombre
d'infections en chaque année, mais aussi parce que le diagnostic des infections urinaires n'est
pas toujours simple. La prise en charge se base sur à la fois sur une antibiothérapie et le
respect de certains mesures hygiéno-diététiques. L’OMS a établi des schémas thérapeutiques
afin de faciliter la gestion des antibiotiques et de limiter l’apparition de souche des bactéries
multirésistantes. Une bonne compréhension de la physiopathologie permet de mieux prendre
en charge les infections urinaires. L’identification et le traitement adéquat chez les patients à
risque permet de limiter les formes graves et diminuer la mortalité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0072021 Président : ZOUHDI MIMOUN Directeur : SEKHSOKH YASSINE Juge : GAOUZI AHMED Juge : TELLAL SAIDA* Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0072021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M0072021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M0072021URL Les infections urinaires chez l’enfant : Etude comparative entre le CHU de Rabat et le CHR de Tétouan / AJBAR Saad
Titre : Les infections urinaires chez l’enfant : Etude comparative entre le CHU de Rabat et le CHR de Tétouan Type de document : thèse Auteurs : AJBAR Saad, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infection urinaire ECBU enfant Escherichia coli ceftriaxone Résumé : Il s’agit d’une étude rétrospective comparative sur les infections urinaires chez des enfants hospitalisés au service de pédiatrie au CHU IBN SINA de Rabat et le CHR de Tétouan, sur une période de un an s’étalent du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2014.
La prévalence des infections urinaires était de 9% au CHU de Rabat et 0,9% au CHR de Tétouan avec une prédominance nette chez les nourrissons de moins de deux ans.
La symptomatologie est marquée par la prédominance de la fièvre, suivie des signes digestifs et des troubles urologiques.
L’examen cytobactériologique des urines a montré la présence de bactéries chez 182 patients soit 88% au niveau du CHU de Rabat, alors qu’à Tétouan il y’a que 30 patients soit 90%, pour les patients restants l’examen bactériologique n’était pas concluant.
Quel que soit le service et l’âge du patient, avec ou sans uropathie malformative, La bactérie le plus souvent retrouvée étant Escherichia coli.
La résistance aux antibiotiques diffère d’une bactérie à l’autre. En ce qui concerne Escherichia coli, Le taux de résistance à l’Amoxicilline est de 90% au CHU de Rabat contre 100% au CHR de Tétouan, pour le ceftriaxone 10% au CHU de Rabat versus 14,3%% au CHR de Tétouan
Le protocole thérapeutique retrouvé dans la littérature a été respecté. Ainsi, concernant l’infection urinaire haute, tous les patients aussi bien ceux de Rabat que de Tétouan ont reçu une bi antibiothérapie à base d’aminosides et de céphalosporines de 3em génération par voie parentérale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0182016 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : NAZIH.M Juge : CHADLI.M-TELLAL.S Les infections urinaires chez l’enfant : Etude comparative entre le CHU de Rabat et le CHR de Tétouan [thèse] / AJBAR Saad, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Infection urinaire ECBU enfant Escherichia coli ceftriaxone Résumé : Il s’agit d’une étude rétrospective comparative sur les infections urinaires chez des enfants hospitalisés au service de pédiatrie au CHU IBN SINA de Rabat et le CHR de Tétouan, sur une période de un an s’étalent du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2014.
La prévalence des infections urinaires était de 9% au CHU de Rabat et 0,9% au CHR de Tétouan avec une prédominance nette chez les nourrissons de moins de deux ans.
La symptomatologie est marquée par la prédominance de la fièvre, suivie des signes digestifs et des troubles urologiques.
L’examen cytobactériologique des urines a montré la présence de bactéries chez 182 patients soit 88% au niveau du CHU de Rabat, alors qu’à Tétouan il y’a que 30 patients soit 90%, pour les patients restants l’examen bactériologique n’était pas concluant.
Quel que soit le service et l’âge du patient, avec ou sans uropathie malformative, La bactérie le plus souvent retrouvée étant Escherichia coli.
La résistance aux antibiotiques diffère d’une bactérie à l’autre. En ce qui concerne Escherichia coli, Le taux de résistance à l’Amoxicilline est de 90% au CHU de Rabat contre 100% au CHR de Tétouan, pour le ceftriaxone 10% au CHU de Rabat versus 14,3%% au CHR de Tétouan
Le protocole thérapeutique retrouvé dans la littérature a été respecté. Ainsi, concernant l’infection urinaire haute, tous les patients aussi bien ceux de Rabat que de Tétouan ont reçu une bi antibiothérapie à base d’aminosides et de céphalosporines de 3em génération par voie parentérale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0182016 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : NAZIH.M Juge : CHADLI.M-TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0182016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M0182016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible
Titre : INFECTIONS URINAIRES CHEZ LA FEMME TRAITEMENT PAR PHYTOTHERAPIE. Type de document : thèse Auteurs : Ikram ZAHFIR, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibiothérapie Cystite Escherichia coli Infections urinaires Phytothérapie Résumé : Les infections urinaires sont un motif fréquent de consultation et de prescription en médecine générale.
A travers ce travail, nous avons étudié l’épidémiologie, la physiopathologie ainsi que le diagnostic des infections urinaires chez la femme avant de proposer, à partir de données actualisées, une prise en charge optimale en fonction du type de l’infection urinaire et du terrain sous-jacent bien codifiée par les différentes sociétés savantes afin de limiter l’évolution menaçante des résistances bactériennes aux antibiotiques.
Nous avons aussi décrit l’apport de la phytothérapie dans la prise en charge des infections urinaires comme traitement adjuvant. Cette étude nous a permis de mettre en évidence l’existence de plusieurs recettes thérapeutiques à base de plantes médicinales et aromatiques.
Par conséquent, la phytothérapie demande la prise de précautions et de prudence dans la préparation et la consommation des remèdes pour éviter toutes sortes d’intoxication.
Enfin, les industries de médicaments ont besoin de développer leur recherche pour extraire des principes actifs naturels substituant des antibiotiques dans le traitement des infections urinaires.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3572018 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : ABI.R INFECTIONS URINAIRES CHEZ LA FEMME TRAITEMENT PAR PHYTOTHERAPIE. [thèse] / Ikram ZAHFIR, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Antibiothérapie Cystite Escherichia coli Infections urinaires Phytothérapie Résumé : Les infections urinaires sont un motif fréquent de consultation et de prescription en médecine générale.
A travers ce travail, nous avons étudié l’épidémiologie, la physiopathologie ainsi que le diagnostic des infections urinaires chez la femme avant de proposer, à partir de données actualisées, une prise en charge optimale en fonction du type de l’infection urinaire et du terrain sous-jacent bien codifiée par les différentes sociétés savantes afin de limiter l’évolution menaçante des résistances bactériennes aux antibiotiques.
Nous avons aussi décrit l’apport de la phytothérapie dans la prise en charge des infections urinaires comme traitement adjuvant. Cette étude nous a permis de mettre en évidence l’existence de plusieurs recettes thérapeutiques à base de plantes médicinales et aromatiques.
Par conséquent, la phytothérapie demande la prise de précautions et de prudence dans la préparation et la consommation des remèdes pour éviter toutes sortes d’intoxication.
Enfin, les industries de médicaments ont besoin de développer leur recherche pour extraire des principes actifs naturels substituant des antibiotiques dans le traitement des infections urinaires.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3572018 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : ABI.R Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3572018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M3572018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numériques
M3572018URL INFECTIONS URINAIRES A ESCHERICHIA COLI : PREVALENCE ET EVOLUTION DE LA RESISTANCE AUX ANTIBIOTIQUES DE 2004 A 2008 / AISSA ISMAIL
Titre : INFECTIONS URINAIRES A ESCHERICHIA COLI : PREVALENCE ET EVOLUTION DE LA RESISTANCE AUX ANTIBIOTIQUES DE 2004 A 2008 Type de document : thèse Auteurs : AISSA ISMAIL, Auteur Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : INFECTIONS URINAIRES ESCHERICHIA COLI PREVALENCE RESISTANCE Résumé : Les infections urinaires sont un motif fréquent de consultation et de prescription d’antibiotiques et constitue un vrai problème de santé publique. Escherichia coli est par ordre de fréquence la bactérie la plus souvent isolée.
Nous avons procédé à une étude rétrospective durant une période de cinq ans allant du 01 janvier 2004 au 31decembre 2008 et ont été inclus des prélèvements urinaires de malades hospitalisés dans plusieurs services de l'hôpital militaire d'instruction Mohammed V de Rabat, ainsi que des malades externes. Seuls les prélèvements positifs à Escherichia coli ont été retenus.
Sur cette période de cinq ans 4421 ECBU répondaient aux critères d’IU, 2235 étaient positifs à Escherichia coli ce qui représente une prévalence de 50%. 40% de ces infections concernaient des patients hospitalisés et 60% ceux suivis à titre externe, La majorité des sujets étaient de sexe féminin avec un sex-ratio F/H de 1,63. L’âge des patients est essentiellement entre 30 et 70 ans. Cette étude a mis en évidence une évolution des souches cliniques vers la résistance vis-à-vis de presque la totalité des antibiotiques. En effet, le taux de résistance acquise le plus élevé chez E. coli a été observé avec l’Amoxicilline qui est passé de 55% en 2004 à 74% en 2008, de 41,6% à 65% pour l’ Amoxicilline+acide clavulanique, de 21,6% à 36,6% pour la Norfloxacine, de 37,6% à 34,4% pour le sulfaméthoxazole– triméthoprime, certaines études la situent entre 20 et 40%. Certaines molécules comme la Fosfomycine, l’Imipénème, les aminosides et Les Nitrofuranes gardent une excellente activité sur E. coli.
Ces résultats ne permettent plus d’utiliser l’amoxicilline , l’amoxicilline -acide clavulanique ou le sulfaméthoxazole– triméthoprime en antibiothérapie probabiliste, et nous incite à : réduire la prescription non documentée des fluoroquinolones,d’adopter d’autres alternatives thérapeutiques, et de mettre en place un système de surveillance continue de l’antibiorésistance.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1392011 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : YASSINE SEKHSOKH Juge : MOHAMMED GHADOUANE INFECTIONS URINAIRES A ESCHERICHIA COLI : PREVALENCE ET EVOLUTION DE LA RESISTANCE AUX ANTIBIOTIQUES DE 2004 A 2008 [thèse] / AISSA ISMAIL, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : INFECTIONS URINAIRES ESCHERICHIA COLI PREVALENCE RESISTANCE Résumé : Les infections urinaires sont un motif fréquent de consultation et de prescription d’antibiotiques et constitue un vrai problème de santé publique. Escherichia coli est par ordre de fréquence la bactérie la plus souvent isolée.
Nous avons procédé à une étude rétrospective durant une période de cinq ans allant du 01 janvier 2004 au 31decembre 2008 et ont été inclus des prélèvements urinaires de malades hospitalisés dans plusieurs services de l'hôpital militaire d'instruction Mohammed V de Rabat, ainsi que des malades externes. Seuls les prélèvements positifs à Escherichia coli ont été retenus.
Sur cette période de cinq ans 4421 ECBU répondaient aux critères d’IU, 2235 étaient positifs à Escherichia coli ce qui représente une prévalence de 50%. 40% de ces infections concernaient des patients hospitalisés et 60% ceux suivis à titre externe, La majorité des sujets étaient de sexe féminin avec un sex-ratio F/H de 1,63. L’âge des patients est essentiellement entre 30 et 70 ans. Cette étude a mis en évidence une évolution des souches cliniques vers la résistance vis-à-vis de presque la totalité des antibiotiques. En effet, le taux de résistance acquise le plus élevé chez E. coli a été observé avec l’Amoxicilline qui est passé de 55% en 2004 à 74% en 2008, de 41,6% à 65% pour l’ Amoxicilline+acide clavulanique, de 21,6% à 36,6% pour la Norfloxacine, de 37,6% à 34,4% pour le sulfaméthoxazole– triméthoprime, certaines études la situent entre 20 et 40%. Certaines molécules comme la Fosfomycine, l’Imipénème, les aminosides et Les Nitrofuranes gardent une excellente activité sur E. coli.
Ces résultats ne permettent plus d’utiliser l’amoxicilline , l’amoxicilline -acide clavulanique ou le sulfaméthoxazole– triméthoprime en antibiothérapie probabiliste, et nous incite à : réduire la prescription non documentée des fluoroquinolones,d’adopter d’autres alternatives thérapeutiques, et de mettre en place un système de surveillance continue de l’antibiorésistance.
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1392011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible MICROBIOTE INTESTINAL : IMPACT SUR LA CARCINOGENESE ET LE TRAITEMENT DU CANCER COLORECTAL. / Sara DILAL
Titre : MICROBIOTE INTESTINAL : IMPACT SUR LA CARCINOGENESE ET LE TRAITEMENT DU CANCER COLORECTAL. Type de document : thèse Auteurs : Sara DILAL, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : microbiote intestinal cancer colorectal bacteroides fragilis escherichia coli fusobacterium nucleatum Résumé : Le cancer colorectal (CCR) représente un réel problème de santé publique ; il occupe la deuxième place en termes de mortalité après le cancer du poumon. L’accumulation de mutations et de modifications épigénétiques au niveau des cellules tapissant la paroi interne du côlon et du rectum est responsable de l’apparition du CCR. Dans plus de 80 % des cas, un polype adénomateux, qui est une tumeur bénigne, dégénère lentement et finit par donner un CCR : on parle de séquence adénome-cancer. Ce processus est assez long et peut s’étendre sur plus de 10 ans.
Les études ont relié le microbiote intestinal au CCR, qui est une maladie multifactorielle, sous la dépendance de facteurs environnementaux et génétiques. Ainsi, chez les patients atteints de CCR, on constate une modification de la composition du microbiote intestinal : ce phénomène est appelé dysbiose. Il en résulte une surreprésentation anormale des bactéries commensales. Les études les pertinentes concernent, Bacteroides fragilis, Escherichia coli et Fusobacterium nucleatum.
Il semblerait que ces trois bactéries participent au développement du CCR par leurs différentes toxines et métabolites produites, qui ont des propriétés inflammatoires et oncogéniques. Le but de ce travail consiste donc à vérifier l’hypothèse selon laquelle ils existeraient une corrélation entre les trois espèces bactériennes et le CCR.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4142019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S MICROBIOTE INTESTINAL : IMPACT SUR LA CARCINOGENESE ET LE TRAITEMENT DU CANCER COLORECTAL. [thèse] / Sara DILAL, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : microbiote intestinal cancer colorectal bacteroides fragilis escherichia coli fusobacterium nucleatum Résumé : Le cancer colorectal (CCR) représente un réel problème de santé publique ; il occupe la deuxième place en termes de mortalité après le cancer du poumon. L’accumulation de mutations et de modifications épigénétiques au niveau des cellules tapissant la paroi interne du côlon et du rectum est responsable de l’apparition du CCR. Dans plus de 80 % des cas, un polype adénomateux, qui est une tumeur bénigne, dégénère lentement et finit par donner un CCR : on parle de séquence adénome-cancer. Ce processus est assez long et peut s’étendre sur plus de 10 ans.
Les études ont relié le microbiote intestinal au CCR, qui est une maladie multifactorielle, sous la dépendance de facteurs environnementaux et génétiques. Ainsi, chez les patients atteints de CCR, on constate une modification de la composition du microbiote intestinal : ce phénomène est appelé dysbiose. Il en résulte une surreprésentation anormale des bactéries commensales. Les études les pertinentes concernent, Bacteroides fragilis, Escherichia coli et Fusobacterium nucleatum.
Il semblerait que ces trois bactéries participent au développement du CCR par leurs différentes toxines et métabolites produites, qui ont des propriétés inflammatoires et oncogéniques. Le but de ce travail consiste donc à vérifier l’hypothèse selon laquelle ils existeraient une corrélation entre les trois espèces bactériennes et le CCR.
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M4142019URL LES PRINCIPALES BACTERIES ISOLEES DES PUS PROFONDS ET LEUR COMPORTEMENT VIS-A-VIS DES ANTIBIOTIQUES. / KARIMA SAMI
Titre : LES PRINCIPALES BACTERIES ISOLEES DES PUS PROFONDS ET LEUR COMPORTEMENT VIS-A-VIS DES ANTIBIOTIQUES. Type de document : thèse Auteurs : KARIMA SAMI, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : PUS PROFONDS ABCES ESCHERICHIA COLI STAPHYLOCOCCUS AUREUS BACTERIES ANAEROBIES. Résumé : Introduction :
L'abcès profond est une infection résultant de la rupture de la barrière anatomique permettant le développement de bactéries produisant du pus. Le pus est formé par des granulocytes neutrophiles, des cellules mortes, des débris et des compléments des tissus nécrotiques. L'abcès peut siéger sous la peau, dans les ganglions, organes, et leurs gravités est fonction de leurs localisations. Une antibiothérapie puissante et adaptée est essentielle, afin d'éviter le risque d'impasse thérapeutique.
Objectifs :
- Déterminer les principales bactéries isolées à partir des pus profonds et leur comportement vis-à-vis des antibiotiques utilisés.
- Rapporter les principales infections qui s’accompagnent de pus profonds recensés dans les services de l’HMIMV.
Matériel et méthodes :
Etude descriptive, rétrospective menée au laboratoire de Microbiologie de l’HMIMV. Elle s’étend sur toute l’année 2010. Sont inclus tous les prélèvements purulents analysés. L’uniformisation des données a été faite sur logiciel Microsoft Office Excel®. L’exploitation a été réalisée sur SPSS version 18.0®.
Résultats :
362 prélèvements purulents ont été recueillis en 2010 à partir de différents services. La majorité des prélèvements provenaient du service de la chirurgie viscérale et thoracique (16.8%). Les services pourvoyeurs étaient l'accueil (13.9%), la traumato-orthopédie (11,7%),… Nous avons isolé diverses bactéries, dont 13.5% sont des Escherichia coli, 10% des Staphylococcus aureus, 6.9% des Streptocoques alpha hémolytique, 6.6% des Pseudomonas aeruginosa, 3.7% des Enterococcus faecalis groupe D.
Conclusion :
Lors de la prescription des antibiotiques, le médecin doit être sensibilisé sur le bon usage de ces médicaments, l'application des procédures d’hygiène, et l’élaboration d’un réseau de surveillance des résistances bactériennes sont vivement conseillées.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0052012 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : SAKINA EL HAMZAOUI Juge : NAZHA MESSAOUDI LES PRINCIPALES BACTERIES ISOLEES DES PUS PROFONDS ET LEUR COMPORTEMENT VIS-A-VIS DES ANTIBIOTIQUES. [thèse] / KARIMA SAMI, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PUS PROFONDS ABCES ESCHERICHIA COLI STAPHYLOCOCCUS AUREUS BACTERIES ANAEROBIES. Résumé : Introduction :
L'abcès profond est une infection résultant de la rupture de la barrière anatomique permettant le développement de bactéries produisant du pus. Le pus est formé par des granulocytes neutrophiles, des cellules mortes, des débris et des compléments des tissus nécrotiques. L'abcès peut siéger sous la peau, dans les ganglions, organes, et leurs gravités est fonction de leurs localisations. Une antibiothérapie puissante et adaptée est essentielle, afin d'éviter le risque d'impasse thérapeutique.
Objectifs :
- Déterminer les principales bactéries isolées à partir des pus profonds et leur comportement vis-à-vis des antibiotiques utilisés.
- Rapporter les principales infections qui s’accompagnent de pus profonds recensés dans les services de l’HMIMV.
Matériel et méthodes :
Etude descriptive, rétrospective menée au laboratoire de Microbiologie de l’HMIMV. Elle s’étend sur toute l’année 2010. Sont inclus tous les prélèvements purulents analysés. L’uniformisation des données a été faite sur logiciel Microsoft Office Excel®. L’exploitation a été réalisée sur SPSS version 18.0®.
Résultats :
362 prélèvements purulents ont été recueillis en 2010 à partir de différents services. La majorité des prélèvements provenaient du service de la chirurgie viscérale et thoracique (16.8%). Les services pourvoyeurs étaient l'accueil (13.9%), la traumato-orthopédie (11,7%),… Nous avons isolé diverses bactéries, dont 13.5% sont des Escherichia coli, 10% des Staphylococcus aureus, 6.9% des Streptocoques alpha hémolytique, 6.6% des Pseudomonas aeruginosa, 3.7% des Enterococcus faecalis groupe D.
Conclusion :
Lors de la prescription des antibiotiques, le médecin doit être sensibilisé sur le bon usage de ces médicaments, l'application des procédures d’hygiène, et l’élaboration d’un réseau de surveillance des résistances bactériennes sont vivement conseillées.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0052012 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : SAKINA EL HAMZAOUI Juge : NAZHA MESSAOUDI Réservation
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Titre : PRODUCTION DE SHIGA-TOXINE Type de document : thèse Auteurs : Asmaa MATRANE, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dysentèrie Eschérichia coli Hémolyse Shiga-toxine Résumé : Les toxines Shiga, sont des toxines particulières codées par les gènes Stx. Elles sont sécrétées par certaines souches de bactéries Escherichia coli : les E. coli produisant des shiga-toxines (STEC), anciennement connues sous le nom de Verotoxin Producing Escherichia coli ou E. coli produisant des vérotoxines. Elles sont principalement produites par Shigella dysenteriae de sérotype 1, qui est un agent intestinal associé aux épidémies de dysenterie bacillaire. Il existe deux types de Shiga-toxines : Type 1 très proche de la Shiga toxine produite par la Shigella dysenteriae sérotype et type 2 qui représente moins de 60% d’homologie avec la séquence en acides aminés des Shiga-toxines 1.
Les Shiga-toxines sont les facteurs de virulence essentiels des STEC. Elles appartiennent au groupe des toxines protéiques bactériennes AB5 composées de deux sous unités, et elles ont pour cibles les cellules endothéliales du côlon, des reins et du cerveau chez l’homme. Toutes les souches d’Escherichia coli producteurs de Shiga-toxines se caractérisent par la présence dans leur génome des gènes codant pour les Shiga toxines. Ces toxines présentent des homologies avec la toxine de Shigella dysenteriae de type 1.
L’objectif de ce travail est de donner d’une part un aperçu sur la toxine Shiga en décrivant sa découverte, son organisme, sa structure, son mécanisme d’action et sa pathogénicité et de l’autre côté nous avons visé à souligner la symptomatologie clinique associée à la production de ces toxines par les STEC et d’élaborer les méthodes de diagnostic et les modalités thérapeutiques des maladies induites par ces toxines.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0092019 Président : GAOUZI.A Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Juge : ABOULALAA.K PRODUCTION DE SHIGA-TOXINE [thèse] / Asmaa MATRANE, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Dysentèrie Eschérichia coli Hémolyse Shiga-toxine Résumé : Les toxines Shiga, sont des toxines particulières codées par les gènes Stx. Elles sont sécrétées par certaines souches de bactéries Escherichia coli : les E. coli produisant des shiga-toxines (STEC), anciennement connues sous le nom de Verotoxin Producing Escherichia coli ou E. coli produisant des vérotoxines. Elles sont principalement produites par Shigella dysenteriae de sérotype 1, qui est un agent intestinal associé aux épidémies de dysenterie bacillaire. Il existe deux types de Shiga-toxines : Type 1 très proche de la Shiga toxine produite par la Shigella dysenteriae sérotype et type 2 qui représente moins de 60% d’homologie avec la séquence en acides aminés des Shiga-toxines 1.
Les Shiga-toxines sont les facteurs de virulence essentiels des STEC. Elles appartiennent au groupe des toxines protéiques bactériennes AB5 composées de deux sous unités, et elles ont pour cibles les cellules endothéliales du côlon, des reins et du cerveau chez l’homme. Toutes les souches d’Escherichia coli producteurs de Shiga-toxines se caractérisent par la présence dans leur génome des gènes codant pour les Shiga toxines. Ces toxines présentent des homologies avec la toxine de Shigella dysenteriae de type 1.
L’objectif de ce travail est de donner d’une part un aperçu sur la toxine Shiga en décrivant sa découverte, son organisme, sa structure, son mécanisme d’action et sa pathogénicité et de l’autre côté nous avons visé à souligner la symptomatologie clinique associée à la production de ces toxines par les STEC et d’élaborer les méthodes de diagnostic et les modalités thérapeutiques des maladies induites par ces toxines.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0092019 Président : GAOUZI.A Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Juge : ABOULALAA.K Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0092019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2019 Disponible P0092019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2019 Disponible Documents numériques
P0092019URL
Titre : Prostatite aigue bactérienne : Épidémiologie, diagnostic et thérapeutique Type de document : thèse Auteurs : Younesse El amraoui, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : prostatite aigue bactérienne syndrome infectieux Escherichia coli examencytobactériologique des urines (ECBU) fluoroquinolones, Résumé : La prostatite aiguë bactérienne est une inflammation aiguë d’origine microbienne de la prostate. Elle affecte environ 1 % des hommes au cours de leur vie avec des tableaux allant de simples brûlures urinaires à des sepsis sévères.
Dans sa forme typique, le patient présente un syndrome infectieux de survenue brutale, des signes fonctionnels urinaires (brûlures mictionnelles, pollakiurie, impériosité, dysurie ou hématurie), des douleurs pelviennes et une prostate augmentée de volume, tendue et douloureuse au toucher rectal.
Devant toute suspicion de prostatite aiguë bactérienne, il faut réaliser un examen cytobactériologique urinaire (ECBU). Le germe le plus fréquemment rencontré est Escherichia coli qui représente plus de 80 % des germes dans cette pathologie.
L’échographie des voies urinaires par voie sus pubienne est la seule à être recommandée dans les 24 premières heures. Elle permet en premier lieu de rechercher une complication (en particulier un obstacle sur les voies urinaires ou une rétention aigüe d’urine (RAU) pas toujours bien appréciée par la clinique). Elle peut également aider à affirmer le diagnostic en cas de présentation clinique atypique ou de rechercher une anomalie urologique sous- jacente.
Le traitement des PAB est probabiliste et doit être débuté immédiatement, il doit être suivi d’un traitement de relais adapté à l’antibiogramme.
Le choix de l’antibiotique repose alors d’une part sur la sensibilité présumée des germes en cause et d’autre part, sur la diffusion intra-prostatique des antibiotiques.
Ce traitement probabiliste quand il doit s’appliquer, repose sur les fluoroquinolones, Il s’agit d’un traitement suffisamment long et 3 semaines restent un plancher à ne pas dépasser.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2052015 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : AMEUR.A Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Prostatite aigue bactérienne : Épidémiologie, diagnostic et thérapeutique [thèse] / Younesse El amraoui, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : prostatite aigue bactérienne syndrome infectieux Escherichia coli examencytobactériologique des urines (ECBU) fluoroquinolones, Résumé : La prostatite aiguë bactérienne est une inflammation aiguë d’origine microbienne de la prostate. Elle affecte environ 1 % des hommes au cours de leur vie avec des tableaux allant de simples brûlures urinaires à des sepsis sévères.
Dans sa forme typique, le patient présente un syndrome infectieux de survenue brutale, des signes fonctionnels urinaires (brûlures mictionnelles, pollakiurie, impériosité, dysurie ou hématurie), des douleurs pelviennes et une prostate augmentée de volume, tendue et douloureuse au toucher rectal.
Devant toute suspicion de prostatite aiguë bactérienne, il faut réaliser un examen cytobactériologique urinaire (ECBU). Le germe le plus fréquemment rencontré est Escherichia coli qui représente plus de 80 % des germes dans cette pathologie.
L’échographie des voies urinaires par voie sus pubienne est la seule à être recommandée dans les 24 premières heures. Elle permet en premier lieu de rechercher une complication (en particulier un obstacle sur les voies urinaires ou une rétention aigüe d’urine (RAU) pas toujours bien appréciée par la clinique). Elle peut également aider à affirmer le diagnostic en cas de présentation clinique atypique ou de rechercher une anomalie urologique sous- jacente.
Le traitement des PAB est probabiliste et doit être débuté immédiatement, il doit être suivi d’un traitement de relais adapté à l’antibiogramme.
Le choix de l’antibiotique repose alors d’une part sur la sensibilité présumée des germes en cause et d’autre part, sur la diffusion intra-prostatique des antibiotiques.
Ce traitement probabiliste quand il doit s’appliquer, repose sur les fluoroquinolones, Il s’agit d’un traitement suffisamment long et 3 semaines restent un plancher à ne pas dépasser.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2052015 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : AMEUR.A Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2052015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M2052015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Documents numériques
M2052015URL
Titre : PYELONEPHRITE AIGUE BACTERIENNE CHEZ LES SUJETS DIABETIQUES. Type de document : thèse Auteurs : MACHINE Mohammed, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibiotique Bactérie Diabète Escherichia coli Pyélonéphrite Résumé : Les sujets diabétiques sont plus susceptibles de développer des pyélonéphrites aigues bactériennes avec un risque plus important de forme compliquée, que chez la population générale.
L’objectif de notre travail est de décrire les caractéristiques épidémiologiques de la pyélonéphrite aigue bactérienne chez les sujets diabétiques à partir d’une revue de la littérature.
En effet, les facteurs de risque sont l’âge avancé, le sexe féminin, l’ancienneté du diabète (>10 ans), le diabète type 2, diabète déséquilibre ainsi que l’hyperglycémie et l acidocétose.
Bien que l’évolution soit favorable dans 90% des cas, le risque de complications grave, notamment la pyélonéphrite emphysémateuse, chez les patients diabétiques hospitalisés pour pyélonéphrite aigue est important.
Par ailleurs les germes responsables de la pyélonéphrite aigue chez le diabétique sont Escherichia coli en premier lieu (61%) suivi de Klebsiella pneumoniae (20%) et Staphylococcus aureus (4.5%). Au Maroc la résistance de E.coli à l’amoxicilline est de 80%, au sulfaméthoxazole-trimethropine est de 54.5% et aux fluoroquinolones est de 16.7%. Ces valeurs varient d’un pays à un autre.
Par conséquent, la prévention et le traitement non antimicrobien constituent le meilleur moyen pour traiter les pyélonéphrites chez le diabétique. Une prise en charge multifactorielle des complications et des facteurs de risque du diabète est aussi indispensable
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0642020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S PYELONEPHRITE AIGUE BACTERIENNE CHEZ LES SUJETS DIABETIQUES. [thèse] / MACHINE Mohammed, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Antibiotique Bactérie Diabète Escherichia coli Pyélonéphrite Résumé : Les sujets diabétiques sont plus susceptibles de développer des pyélonéphrites aigues bactériennes avec un risque plus important de forme compliquée, que chez la population générale.
L’objectif de notre travail est de décrire les caractéristiques épidémiologiques de la pyélonéphrite aigue bactérienne chez les sujets diabétiques à partir d’une revue de la littérature.
En effet, les facteurs de risque sont l’âge avancé, le sexe féminin, l’ancienneté du diabète (>10 ans), le diabète type 2, diabète déséquilibre ainsi que l’hyperglycémie et l acidocétose.
Bien que l’évolution soit favorable dans 90% des cas, le risque de complications grave, notamment la pyélonéphrite emphysémateuse, chez les patients diabétiques hospitalisés pour pyélonéphrite aigue est important.
Par ailleurs les germes responsables de la pyélonéphrite aigue chez le diabétique sont Escherichia coli en premier lieu (61%) suivi de Klebsiella pneumoniae (20%) et Staphylococcus aureus (4.5%). Au Maroc la résistance de E.coli à l’amoxicilline est de 80%, au sulfaméthoxazole-trimethropine est de 54.5% et aux fluoroquinolones est de 16.7%. Ces valeurs varient d’un pays à un autre.
Par conséquent, la prévention et le traitement non antimicrobien constituent le meilleur moyen pour traiter les pyélonéphrites chez le diabétique. Une prise en charge multifactorielle des complications et des facteurs de risque du diabète est aussi indispensable
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0642020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0642020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M0642020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numériques
M0642020URL
Titre : RELATION ENTRE ESCHERICHIA COLI ET LE CANCER COLORECTAL. Type de document : thèse Auteurs : Hajar EL ACHAOUI, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer colorectal Colibactine Escherichia coli Inflammation Microbiote intestinal. Résumé : Escherichia coli est une bactérie à Gram négatif commensale du microbiote intestinal humain. Ce dernier possède des rôles incontournables pour la santé et le bien être de son hôte, comme il peut lui causer des pathologies telles que le cancer colorectal (CCR). Ce cancer est classé parmi les cancers les plus fréquents au monde.
Aux nombreux facteurs de risque du CCR, s’ajoute le port de certaines souches bactériennes dont E.coli, notamment celle productrice de cyclomodulines à savoir : la colibactine, Cycle-inhibiting factor, Cytoletal distending toxin et Cytotoxic necrotizing factor , qui sont capables de provoquer des lésions au niveau de l’ADN de la cellule hôte, induisant une réponse cellulaire aux dommages à l’ADN , à travers l’arrêt du cycle cellulaire des cellules infectées, ainsi qu’une sécrétion de facteurs de croissance qui stimulent la prolifération des cellules en sénescence .
En plus, E.coli peut engendrer le CCR par le maintien d’un environnement inflammatoire, par stimulation de sécrétion des cytokines pro-inflammaoires notamment le Tumour Necrosis Factor α et l’interleukine 6 qui contribuent à l’activation des voies de signalisation cellulaire et l’induction des facteurs anti-apoptotiques aboutissant par la suite à une hyperprolifération cellulaire.
En fin, l’activité enzymatique de la β-glucuronidase d’E.coli pourrait jouer un rôle dans la carcinogenèse colorectale en participant à la synthèse de métabolites cancérigènes tels que la diméthylhydrazine et son métabolite le méthylazoxyméthanol.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0282020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : CHADLI.M RELATION ENTRE ESCHERICHIA COLI ET LE CANCER COLORECTAL. [thèse] / Hajar EL ACHAOUI, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer colorectal Colibactine Escherichia coli Inflammation Microbiote intestinal. Résumé : Escherichia coli est une bactérie à Gram négatif commensale du microbiote intestinal humain. Ce dernier possède des rôles incontournables pour la santé et le bien être de son hôte, comme il peut lui causer des pathologies telles que le cancer colorectal (CCR). Ce cancer est classé parmi les cancers les plus fréquents au monde.
Aux nombreux facteurs de risque du CCR, s’ajoute le port de certaines souches bactériennes dont E.coli, notamment celle productrice de cyclomodulines à savoir : la colibactine, Cycle-inhibiting factor, Cytoletal distending toxin et Cytotoxic necrotizing factor , qui sont capables de provoquer des lésions au niveau de l’ADN de la cellule hôte, induisant une réponse cellulaire aux dommages à l’ADN , à travers l’arrêt du cycle cellulaire des cellules infectées, ainsi qu’une sécrétion de facteurs de croissance qui stimulent la prolifération des cellules en sénescence .
En plus, E.coli peut engendrer le CCR par le maintien d’un environnement inflammatoire, par stimulation de sécrétion des cytokines pro-inflammaoires notamment le Tumour Necrosis Factor α et l’interleukine 6 qui contribuent à l’activation des voies de signalisation cellulaire et l’induction des facteurs anti-apoptotiques aboutissant par la suite à une hyperprolifération cellulaire.
En fin, l’activité enzymatique de la β-glucuronidase d’E.coli pourrait jouer un rôle dans la carcinogenèse colorectale en participant à la synthèse de métabolites cancérigènes tels que la diméthylhydrazine et son métabolite le méthylazoxyméthanol.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0282020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : CHADLI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0282020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2020 Disponible P0282020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2020 Disponible Documents numériques
P0282020URL RESISTANCE D'ESCHERICHIA COLI ISOLE DES URINES AUX FLUOROQUINOLONES / NEJJAR BOUCHRA
Titre : RESISTANCE D'ESCHERICHIA COLI ISOLE DES URINES AUX FLUOROQUINOLONES Type de document : thèse Auteurs : NEJJAR BOUCHRA, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : INFECTIONS URINAIRES ESCHERICHIA COLI RESISTANCE FLUOROQUINOLONES Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0062008 Président : ADNAOUI MOHAMED Directeur : BENOUDA AMINA Juge : EL HAMZAOUI SAKINA Juge : HARMOUCHE RESISTANCE D'ESCHERICHIA COLI ISOLE DES URINES AUX FLUOROQUINOLONES [thèse] / NEJJAR BOUCHRA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : INFECTIONS URINAIRES ESCHERICHIA COLI RESISTANCE FLUOROQUINOLONES Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0062008 Président : ADNAOUI MOHAMED Directeur : BENOUDA AMINA Juge : EL HAMZAOUI SAKINA Juge : HARMOUCHE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0062008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2008 Disponible
Titre : SYNDROME HEMOLYTIQUE ET UREMIQUE A ESCHERICHIA COLI ENTEROHEMORRAGIQUE Type de document : thèse Auteurs : Meryem KSIR, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Escherichia coli Shigatoxine SHU Microangiopathie Thrombose Résumé : Le syndrome hémolytique et urémique à Escherichia coli entérohémorragique est défini par
l’association d’une anémie hémolytique de type mécanique, d’une thrombopénie et d’une insuffisance
rénale aiguë. Cette maladie est considérée comme la cause la plus fréquente d'insuffisance rénale aiguë
chez les enfants. Des manifestations extra-rénales sont également observées, dont les formes les plus
fréquentes sont : une atteinte neurologique, intestinale, cardiaque, pancréatique et hépatique. Le SHU
est une maladie épidémique, avec une prévalence élevée chez les enfants, le sérotype O157:H7 étant le
plus répandu.
Le mécanisme physiopathologique essentiel est la lésion des cellules endothéliales par les
shigatoxines, avec formation locale de thrombus fibrinoplaquettaire aboutissant à une
microangiopathie thrombotique. Le rôle de la voie du complément dans la physiopathologie a été
récemment souligné.
Le diagnostic de SHU est confirmé par une évaluation clinique approfondie et des tests de
laboratoire, en particulier par une coproculture positive à E. coli entérohémorragique ou à la
Shigatoxine.
Jusqu'à présent, aucun traitement spécifique visant le processus inflammatoire primaire n'est
disponible ; le traitement du SHU est basé sur une thérapie de soutien: expansion liquidienne précoce,
diurétiques, antihypertenseurs, dialyse, plasmaphérèse/perfusion de plasma et thérapie de
remplacement rénal. L’utilisation de l'échange plasmatique thérapeutique a été limitée au SHU avec
atteinte neurologique. Les agents antimicrobiens dans le cadre du SHU ont suscité une controverse
permanente. L'émergence de l'Eculizumab, un anticorps monoclonal C5, a permis de prouver
l'efficacité du traitement du SHU atypique génétique, cependant, les preuves de son efficacité dans le
SHU typique sont limitées et d'autres études sont actuellement en cours.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1362022 Président : Mimoun ZOUHDI Directeur : Yassine SEKHSOKH Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Saida TELLAL Juge : Mariama CHADLI SYNDROME HEMOLYTIQUE ET UREMIQUE A ESCHERICHIA COLI ENTEROHEMORRAGIQUE [thèse] / Meryem KSIR, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Escherichia coli Shigatoxine SHU Microangiopathie Thrombose Résumé : Le syndrome hémolytique et urémique à Escherichia coli entérohémorragique est défini par
l’association d’une anémie hémolytique de type mécanique, d’une thrombopénie et d’une insuffisance
rénale aiguë. Cette maladie est considérée comme la cause la plus fréquente d'insuffisance rénale aiguë
chez les enfants. Des manifestations extra-rénales sont également observées, dont les formes les plus
fréquentes sont : une atteinte neurologique, intestinale, cardiaque, pancréatique et hépatique. Le SHU
est une maladie épidémique, avec une prévalence élevée chez les enfants, le sérotype O157:H7 étant le
plus répandu.
Le mécanisme physiopathologique essentiel est la lésion des cellules endothéliales par les
shigatoxines, avec formation locale de thrombus fibrinoplaquettaire aboutissant à une
microangiopathie thrombotique. Le rôle de la voie du complément dans la physiopathologie a été
récemment souligné.
Le diagnostic de SHU est confirmé par une évaluation clinique approfondie et des tests de
laboratoire, en particulier par une coproculture positive à E. coli entérohémorragique ou à la
Shigatoxine.
Jusqu'à présent, aucun traitement spécifique visant le processus inflammatoire primaire n'est
disponible ; le traitement du SHU est basé sur une thérapie de soutien: expansion liquidienne précoce,
diurétiques, antihypertenseurs, dialyse, plasmaphérèse/perfusion de plasma et thérapie de
remplacement rénal. L’utilisation de l'échange plasmatique thérapeutique a été limitée au SHU avec
atteinte neurologique. Les agents antimicrobiens dans le cadre du SHU ont suscité une controverse
permanente. L'émergence de l'Eculizumab, un anticorps monoclonal C5, a permis de prouver
l'efficacité du traitement du SHU atypique génétique, cependant, les preuves de son efficacité dans le
SHU typique sont limitées et d'autres études sont actuellement en cours.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1362022 Président : Mimoun ZOUHDI Directeur : Yassine SEKHSOKH Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Saida TELLAL Juge : Mariama CHADLI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P1362022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2022 Disponible Documents numériques
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